Déterminée à rendre la vie dure à Thérése Faye, Marieme Thiam Babou prise dans son propre piège

Déterminée à rendre la vie dure à Thérése Faye, Marieme Thiam Babou prise dans son propre piège

Marième Thiam Babou a un drôle de façon de faire de la politique. Elle est déterminée à remplacer la patronne de la Cojer, par tous les moyens. Malheureusement pour elle la façon dont elle s’y prend est très maladroite. Elle préfère utiliser la force à la place de la diplomatie. Au mois de novembre dernier, elle a voulu, accéder à la permanence de l’Apr pour y tenir une réunion, mais l’accès lui a été refusé.

Déterminée à rendre la vie dure à Thérése Faye, Marieme Thiam Babou prise dans son propre piège

Des affrontements s’en sont suivis et ont été soldés par des violences qui ont fait couler du sang. En début décembre, elle fait encore parler d’elle en stoppant le cortège du Président Macky Sall qui se rendait à Saly pour assister à l’Université Républicaine de la Cojer. Marième Thiam Babou s’est encore signalée il y’a quelques semaines à Ndagane Sambou provocant des affrontements entre son camp et celui de Thérèse Faye Diouf.

Si elle n’a pas été inquiétée lors de ses sorties précédentes, ce ne sera pas le cas pour cette fois-ci puisque le maire de Fimela  a décidé de porter plainte contre Maréme Thiam Babou. Karim Sène, puisque c’est de lui qu’il s’agit, se dit dépassé par le comportement de la dame: « je suis obligé de la poursuivre », a-t-il fait savoir.  «C’est moi qui ai organisé cette rencontre et non  Thérèse Faye Diouf. J’ai déposé une demande d’autorisation qui a été signé et approuvé  par le sous- préfet, alors,  elle a eu l’audace de faire le tour de la commune sans mon aval, et intervenir pour perturber mon événement, je trouve cela inadmissible  et je ne peux pas l’accepter», a-t-il ajouté

Ce dernier de  lancer  un appel au Président Macky Sal pour qu’il puisse régler ce problèmes au niveau du parti : « Il faut aussi que les militants et militantes respectent la discipline du parti », a-t-il indiqué avant de conclure : « si quelqu’un veut être leader, ce n’est pas par la violence qu’il va gagner la confiance des sénégalais ».

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