Le vainqueur du premier tour de l’élection présidentielle français n’a même pas eu le temps de boire un quinquéliba en famille, qu’il a été envahi par d’anciens camarades et de nouveaux fans. Des blancs, des bleus et des noirs authentiques. Ils étaient tous là-bas dimanche dernier, au QG du jeune Macron. Et parmi eux, le Sénégalais Ousmane Tanor Dieng, le seul chef de parti qui fait coffrer ses militants.
Qu’est-ce qu’il faisait sur les lieux, ce cher copain de Tonton Max ? N’aurait-il pas dû, (pour le consoler), se trouver aux côtés du malheureux Benoit Hamon, le camarade socialiste que son parti avait désigné pour mener la bataille. ?
A croire que Macron n’a pas tort de redessiner le paysage politique international. Il n’y a plus de droite ou de gauche. Juste des chemins qui convergent, et qui font penser aux fameuses grappes d’Idy, quand il était au faite de sa gloire.
Cébé