Avec 63 000 euros par jour, le géant de 2m16 est le sportif français le mieux payé du monde.
Il fait partie de ces géants français adoubés aux États-Unis. Tout comme Tony Parker ou Nicolas Batum, Rudy Gobert s’est imposé comme une vedette incontournable de la NBA. Du haut de son impressionnant 2,16 m pour 111 kg, le jeune basketteur de 24 ans est depuis quelques mois le sportif français le mieux payé du monde grâce au contrat de 102 millions de dollars (93 millions d’euros) pour quatre ans qu’il a signé l’automne dernier avec l’équipe de l’Utah Jazz.
Installé à Salt Lake City, ville connue pour avoir accueilli les Jeux olympiques en 2002 et avoir une population à 50% mormone, Rudy Gobert vient de s’offrir « une maison gigantesque avec neuf chambres aussi vaste que votre studio sur les hauteurs de Salt Lake », rapporte Le Parisien le 22 mars. L’immense propriété dispose bien évidemment d’un terrain de basket à l’extérieur. « Celui de tennis, je vais le casser et en faire une piscine », a-t-il déjà prévu.
Célèbre et riche à seulement 24 ans, le pilier tient à garder la tête froide. « L’argent ne m’a pas changé. J’ai été éduqué comme ça. Je ne ressens pas le besoin d’être bling-bling. L’important est d’être heureux dans la vie, de rendre mes proches heureux aussi », confie-t-il. Contrairement à d’autres, Rudy Gobert ne collectionne pas les voitures de luxe : « C’est marrant, mais je ne veux montrer à personne que je gagne plus que lui. » Et lorsqu’il se montre généreux, c’est dans la discrétion la plus totale. « À Noël, j’ai donné quelques milliers d’euros de ma proche sans le dire à personne. Je sais d’où je viens et comment j’ai grandi », révèle-t-il. Le colosse regrette que le sujet de l’argent soit toujours aussi tabou en France : « Quand tu gagnes de l’argent, tu es mal vu. J’aimerais pourtant qu’on reconnaisse aussi les sacrifices fournis pour en arriver là. »
Actuellement célibataire, Rudy Gobert sait que sa situation avantageuse ne laisse pas les filles indifférentes. Le basketteur avoue avoir une préférence pour les demoiselles simples et contenues : « Je n’aime pas les filles trop entreprenantes. Je fais attention quand c’est un peu chelou. Je préfère les vraies rencontres. » Avis aux intéressées !