ENCORE UN DRAME ENTRE COEPOUSE: La « aawo» retrouve sa co-épouse en Chine pour se battre avec elle, les médecins Chinois refusent de toucher le bras mordu
Les scènes d’horreur se poursuivent et se ressemblent. Encore une histoire de coépouses qui dégénère. Et c’est Nabou Diallo et Mame Binta Ndoye qui viennent étoffer la longue liste de scandales entre deux coépouses. Seulement, cette fois, c’est dans la lointaine Chine que les deux femmes se sont données en spectacle. Les images laissent sans voix : Un bras ensanglanté avec une morsure digne d’un film d’horreur.
C’est en Chine que Nabou Diallo Mame binta Ndoye et sa coépouse ont préféré régler leur différend. Agée de 35 ans et commerçante de son état, Nabou n’oubliera pas de sitôt son séjour dans l’Empire du milieu. En effet, la «niaarel» avait voyagé dans le cadre de son travail. Informée de la présence de sa coépouse en Chine, sa coépouse Mame Binta Ndoye, âgée de 45 ans, a fait le déplacement pour en découdre avec elle, loin des regards indiscrets. D’après la « niaarel», c’est au marché qu’elle l’a trouvée. «J’étais dans une boutique en train de prendre en photo des lustres. C’est en sortant que je l’ai vue. J’ai fait deux pas en arrière. Quand elle est entrée dans un magasin, j’en ai profité pour tracer mon chemin. J’ai pris la route qui mène vers un restaurant de Sénégalais».
A en croire Nabou Diallo, c’est à ce moment que sa coépouse est sortie de la boutique pour l’abreuver d’injures. «Elle a commencé par me traiter de prostituée juste venue en Chine pour se trouver des hommes. J’ai pris mon téléphone et j’ai commencé à la filmer. Je lui dis d’arrêter de me provoquer», explique-t-elle. Avant de poursuivre : «elle a demandé à sa cousine N. D ce qu’elle attendait, avant de commencer à me frapper. N.D également s’y est mise. Elles m’ont aussi mordue», laisse-t-elle entendre.
Et jusqu’à présent, le lambeau de chair, d’après Nabou Diallo, est introuvable. «Les Chinois refusent de toucher à mon bras, parce qu’ils disent qu’ils ne peuvent pas me soigner alors qu’ils n’ont pas vu cette partie de la peau», explique-t-elle. D’après Nabou Diallo, ses relations avec sa coépouse n’ont jamais été au beau fixe : «ça fait sept ans qu’elle essaye de me tuer. Elle a dit partout qu’elle mettra fin à mes jours. Donc, quand elles sont venues en Chine, c’était juste pour passer à l’acte».
Et pour la «niaarel», Mame Binta Ndoye, qui est pourtant l’homonyme de sa fille aînée, n’est pas à son coup d’essai. «Lors de l’Appel des Layènes, j’étais allée chez elle pour y passer l’évènement. Avec une demi-sœur de mon mari D.B.N et une de ses sœurs A.N, elles m’ont frappée, humiliée, insultée. Et depuis lors, je reste chez moi et j’invite mes proches lors de la fête», raconte-t-elle.
Mame Binta Ndoye : «le moment venu, je parlerai»
Nos efforts pour avoir la version des faits de Mame Binta Ndoye sont restés vains. En effet, il a été impossible d’arracher un mot à la «aawo», qui soutient que, le moment venu, elle parlera.
C’est en Chine que Nabou Diallo Mame Binta Ndoye et sa coépouse ont préféré régler leur différend. Âgée de 35 ans et commerçante de son état, Nabou n’oubliera pas de sitôt son séjour dans l’Empire du milieu. En effet, la «niaarel» avait voyagé dans le cadre de son travail. Informée de la présence de sa coépouse en Chine, sa coépouse Mame Binta Ndoye, âgée de 45 ans, a fait le déplacement pour en découdre avec elle, loin des regards indiscrets. D’après la « niaarel», c’est au marché qu’elle l’a trouvée. «J’étais dans une boutique en train de prendre en photo des lustres. C’est en sortant que je l’ai vue. J’ai fait deux pas en arrière. Quand elle est entrée dans un magasin, j’en ai profité pour tracer mon chemin. J’ai pris la route qui mène vers un restaurant de Sénégalais».
A en croire Nabou Diallo, c’est à ce moment que sa coépouse est sortie de la boutique pour l’abreuver d’injures. «Elle a commencé par me traiter de prostituée juste venue en Chine pour se trouver des hommes. J’ai pris mon téléphone et j’ai commencé à la filmer. Je lui dis d’arrêter de me provoquer», explique-t-elle. Avant de poursuivre : «elle a demandé à sa cousine N. D ce qu’elle attendait, avant de commencer à me frapper. N.D également s’y est mise. Elles m’ont aussi mordue», laisse-t-elle entendre.
Et jusqu’à présent, le lambeau de chair, d’après Nabou Diallo, est introuvable. «Les Chinois refusent de toucher à mon bras, parce qu’ils disent qu’ils ne peuvent pas me soigner alors qu’ils n’ont pas vu cette partie de la peau», explique-t-elle. D’après Nabou Diallo, ses relations avec sa coépouse n’ont jamais été au beau fixe : «ça fait sept ans qu’elle essaye de me tuer. Elle a dit partout qu’elle mettra fin à mes jours. Donc, quand elles sont venues en Chine, c’était juste pour passer à l’acte».
Et pour la «niaarel», Mame Binta Ndoye, qui est pourtant l’homonyme de sa fille aînée, n’est pas à son coup d’essai. «Lors de l’Appel des Layènes, j’étais allée chez elle pour y passer l’évènement. Avec une demi-sœur de mon mari D.B.N et une de ses sœurs A.N, elles m’ont frappée, humiliée, insultée. Et depuis lors, je reste chez moi et j’invite mes proches lors de la fête», raconte-t-elle.
Mame Binta Ndoye : «le moment venu, je parlerai»
Nos efforts pour avoir la version des faits de Mame Binta Ndoye sont restés vains. En effet, il a été impossible d’arracher un mot à la «aawo», qui soutient que, le moment venu, elle parlera.