La violence est la chose la mieux partagée dans les rangs de l’APR à l’approche des élections législatives. En effet, les partisans du Président de la République ne semblent pas avoir les argument nécessaires pour convaincre, ce qui les pousse à user de leurs biceps. Des foyers de tensions se créent dans toutes les localités où des manifestations politiques sont organisées. Ce jeu favori des Apréristes est dû, selon l’analyste politique, Alassane Samb , par le fait qu’il n’y a pas de structuration au niveau de l’APR. Ce dernier de préciser que cela ne peut, en aucun cas, justifier les tensions qui existent au niveau du parti au pouvoir: « Ce n’est pas normal parce qu’on en est arrivé à la violence, ce qui est déplorable en politique et en toute chose », a fait remarquer M. Samb.
« on ne règle pas les questions par la violence et ce que les gens de l’APR ne semblent pas avoir compris », a-t-il dit parce que cela risque d’avoir des conséquences au niveau du choix des élections lors de sélections législatives du 30 juillet 2017: « Cela peut pousser à un taux d’abstention très fort, cela peut pousser aussi les gens à aller vers d’autres responsables, de nouveaux leaders qui sont venus sur le landerneau politique et qui prétendent pouvoir changer les choses », a-t-il soutenu.