Aux fins d’en savoir davantage, notamment sur les vraies raisons de leur absence au concert du chanteur Waly Seck à Paris, dakarposte.com a fait des pieds et des mains pour tirer les vers du nez à l’une des pièces maitresses de la troupe théâtrale « SOLEIL LEVANT ». Cheikhou Guèye plus connu sous le sobriquet de « Saneekh » de préciser d’emblée: « je crois que tout le monde connait ma nature. Je dis les choses telles quelles se sont passées. Je vais donc vous dire la vérité et je le jure sur le saint Coran, Walahi, je vous le jure thi barké Seydouna Mohamed, thi barké Serigne Babacar Sy, Youssou NDOUR n’a jusque là pipé mot sur Waly Seck, encore moins nous interdire ou nous faire des remontrances comme d’aucuns veulent le faire croire. Je vous dis, nous sommes retenus à Dakar parce que nous devons honorer le concept : GFM à Thiès, entre autres. Machallah, le « SOLEIL LEVANT » a un emploi du temps au pas de charge, nous devons boucler pas moins de 30 skecthes pour le Ramadan sans compter le tournage de la série Wiri Wiri, mais walahi, je le répète encore une fois Youssou Ndour ou un quelconque responsable de Gfm n’ a dit du mal de Waly ou de son concert. Je vais vous faire une révélation:
nous avons discuté de beaucoup de choses et il m’a prodigué des conseils de grand frère comme il l’a toujours fait. Pour qui connait Youssou Ndour sait qu’il n’est pas du genre à gérer des détails. A la télé Futurs Médias, nous y sommes des animateurs et pour votre gouverne, nous, du Soleil Levant, sommes libres, nous avons notre autonomie sur toute la ligne; je veux dire par-là que personne ne nous canalise encore moins nous demander de faire quoi que ce soit. Et, mieux, lorsqu’il s’est agi de tourner le concept « Waly dans ma ville » au seuil de ce concert de BERCY, c’est Ndiaga Ndour qui nous a dit: tournez le maximum de votre série Wiri Wiri et allez soutenir votre jeune frère Waly; pour ainsi dire qu’il n’y aucune dissonnance entre eux, Walahi… »
Poursuivant , Cheikhou Guèye rappelerra que l’interprétation est un processus par lequel la pensée tire des conclusions à partir de faits perçus.
En somme, Cheikhou Guèye étayera son argumentaire pour dire que les interprétations deviennent problématiques lorsqu’on les confond avec les faits. Les faits, soit dit en passant, étant indiscutables alors que les interprétations sont toujours subjectives.
« Et si, on les confond, on oublie de vérifier le bien-fondé des interprétations. On les prend pour acquises, on est convaincu d’avoir raison et on se comporte comme tel »
Et, Sanekh de lancer un cri du coeur: « de grâce, que certains arrêtent de chercher la petite bête un peu partout »