Depuis que le téléphone s’est démocratisé au Sénégal, ceux qui prient dans les mosquées ne cessent d’être perturbés par les sonneries. Les incessants rappels n’y font rien. Oustaz Hady Niass pensent que c’est l’oeuvre d’individus dépassés par la technologie moderne.
Le prêcheur soutient même que le téléphone a accentué le désir de se faire remarquer, avec des snapchats à la Mecque, des appels vidéos près de la Kaaba et des selfies dans des lieux de dévotion.