Après la lecture du projet de loi portant révision du Code électoral, le président du groupe parlementaire « Liberté et Démocratie » Me Madické Niang a posé une question préalable dénonçant la mise sur pied d’une commission ad hoc alors que le texte était toujours entre les mains de l’Assemblée nationale. Selon lui le texte devait d’abord être retiré avant de le soumettre à une telle commission.
Suffisant pour Me Madické Niang, de dire que « le gouvernement passe tout son temps à dormir et à violer les lois »