Video: Assane Diouf arrive au Sénégal… Découvrez la réaction surprenante de Baba Aïdara, correspondant de la radio sénégalaise RFM à Washington
Video: Assane Diouf arrive au Sénégal… Découvrez la réaction surprenante de Francoise Helene Gaye
Séjour illégal aux Etats-Unis: Assane Diouf arrive au Sénégal, ce mercredi
Le sort de Assane Diouf est scellé. Après 16 ans passés aux États-Unis, le Sénégalais connu pour ses déclarations incendiaires contre Macky Sall et son régime, sera rapatrié au Sénégal. Ce sera après demain, mercredi 31 août, à 2h du matin à bord d’un vol charter. Il arrive en même temps que 20 autres compatriotes devant être rapatriés pour diverses raisons.
La décision a été prise par Washington le 23 août dernier via le service US. Immigration and Costums Enforcement.
Assane Diouf n’est pas expulsé des États-Unis pour raison terroriste mais plutôt pour séjour illégal et des actes de violence qu’il aurait exercé sur son ex compagne.
Séjour illégal aux Etats Unis : Assane Diouf rapatrié à Dakar ce 30 août à 2 H du matin
La messe est dite pour Assane Diouf, tristement célèbre par ses vidéos incendiaires à l’endroit de hautes personnalités de l’Etat dont le président Macky Sall. La justice américaine a décidé de le rapatrier au Sénégal.
L’insulteur public n° 1 comme le nomme la presse sénégalaise, arrive à Dakar mercredi prochain à 2 heures, en compagnie de 20 autres sénégalais, frappés par la mesure d’expulsion, à bord d’un vol charter et sous bonne escorte policière.
Il s’agit entre autres de A. Sow M. Niang, N. Fall, M. Niang, M. Wilane, A. Diallo, S. Samb, A. Sène, A. Diedhiou, O. Baldé, B. Ndiaye, Y. D. Bousso, M. Lô, B. Dieng, El H. Top, M. B. Diop, A. A. Diallo Barry. Khala Diagne, S. Gaye et W. Faye.
Mais, avant de fouler le tarmac de l’aéroport de Dakar, l’avion devra faire un détour à Lagos (Nigéria) et Accra (Ghana) où il doit déposer d’autres émigrés dans le même cas. D’après L’Observateur qui donne l’information, Assane Diouf n’a été perdu, comme soutenu par la rumeur par les faits de terrorisme, mais, plutôt pour séjours irréguliers et des actes de « violences commis sur la personne de son ex ».
Source l’Observateur