Pour justifier son tir, le gendarme a souligné le fait qu’il était de son devoir de dégager les hommes étaient sous sa responsabilité. Devant les enquêteurs, le tireur révèle que lui et ses hommes étaient encerclés par des milliers d’étudiants qui leur jetaient des pierres.
Il faut aussi que seul le chef de l’unité était armé. Le gendarme a, en outre, indiqué que sa volonté n’était pas de tuer le jeune Fallou Sène. Dans les colonnes de Libération qui donne l’information, il est aussi indiqué qu’au niveau de la gendarmerie, on signale que 18 hommes ont été blessés durant ces affrontements.