Conformément au réquisitoire du parquet, le patron de Yerimpost, Cheikh Yérim Seck vient d’être placé une seconde fois, sous contrôle judiciaire, selon les sources proches du journaliste.
Cette même mesure a été appliquée aux trois autres co-prévenus dans une présumée histoire d’avortement.
Une sorte d’épée de Damoclès sur la tête du journaliste d’investigation qui a été placé une première fois, sous contrôle judiciaire dans le dossier à 4 milliards F Cfa de Batiplus