Une Ethiopienne a été exécutée après avoir été condamnée pour le meurtre d’une fillette, égorgée dans des toilettes, a annoncé le ministère de l’Intérieur. Une Ethiopienne a été exécutée lundi en Arabie Saoudite après avoir été condamnée pour le meurtre d’une fillette, a annoncé le ministère de l’Intérieur.
Il s’agit de la 124ème exécution depuis le début de l’année, selon un décompte établi à partir des communiqués officiels. Zamzam Abdallah Boric a été exécutée à Ryad, a précisé le ministère.
L’Ethiopienne a été reconnue coupable d’avoir « égorgé une fillette saoudienne et de l’avoir laissée se vider de son sang dans des toilettes », selon un communiqué du ministère.
Le 2 janvier, 47 personnes avaient été exécutées en une journée pour « terrorisme », notamment l’opposant chiite saoudien Nimr al-Nimr, dont la mise à mort a provoqué une crise avec l’Iran.
En Arabie Saoudite, la peine de mort est appliquée dans des affaires de terrorisme, de meurtre, de viol, de vol à main armée et de trafic de drogue.
Avec Afp