Les populations vivent le calvaire des longues attentes interminables et infernales devant les locaux de la Direction de l’automatisation du fichier au centre ville (Daf).
Chaque jour qui passe, du beau monde y fait le pied de grue, depuis que le Sénégal a lancé officiellement le 4 octobre dernier, la phase d’élaboration de la carte d’identité biométrique à puce de la Cedeao sous la présidence du chef de l’Etat.
En attendant, l’odyssée continue, parce que les commissions administratives et les centres d’instruction ne sont pas encore ouverts sur l’ensemble du territoire national, voire dans les 45 départements du pays, des communes, commissariats de police ou encore Brigades de gendarmerie et préfecture…
Contrairement à l’ancienne carte nationale d’identité numérique, note L’Obs, la carte d’identité biométrique à puce sert d’office de carte de séjour et joue doublement les rôles de carte d’identité nationale et d’électeur.
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