Une journée sans tickets, plus connue sous le nom de « Nguènté Toubab » avait été à la base de la mort de l’étudiant Fallou Sène.
Le syndrome de l’affaire Fallou Sène refait surface à Sanar comme si aucune leçon n’a été retenue des événements de l’année dernière, tant du côté des autorités que des étudiants.
A l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, après 48 heures de Journées Sans Tickets (JST) lancées dans le temple du savoir par les étudiants, la Coordination des étudiants de Saint-Louis (CESL) décrète 72 heures, ce vendredi.
Une manière de dénoncer le non-paiement de leurs bourses du mois de Décembre et la non réception des codes de paiement pour certains étudiants.
Quoi qu’il puisse advenir, les autorités sont invitées à réagir vite avant que l’irréparable ne se produise à nouveau.