Thione Seck plaide la libération de Khalifa Sall. « Un ami qui a un gros cœur ». Et le chef de l’Etat, Macky Sall, souligne-t-il, est une institution qui mérite respect. Mais il faut qu’il « conjugue les verbes « diégueulé », « bayi mou dialeu », « A bon bakhna ». Autrement dit, le président Sall doit faire preuve de dépassement et de clémence dans le dossier du maire de Dakar qui doit recouvrer la liberté.
Regardez le père de Waly Seck au micro de Bour Guéwel