Entre la couverture d’une visite de deux centres de santé et une marche des travailleurs de l’hôpital régional de Tambacounda, les journalistes ont vite fait leur choix.
Et c’est le ministre des Affaires étrangère qui l’a emporté avec, à la clé, cinq cent mille (500 000) francs à se partager. Un triste constat qui pousse à la réflexion: le journalisme nourrit-il son homme ? C’est un comportement indigne de la profession que nos confrères de la capitale du Sénégal oriental ont infligé à toute la presse nationale.
Reste à connaître les motivations de Sidiki Kaba qui a organisé cette « grande vadrouille » au même moment où le Syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale (SUTSAS), section régionale de Tamba, tenait son activité.
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