C’est un état d’urgence qui ne dit pas son nom. Désormais, toute activité politique est suspendue sur l’étendue du territoire jusqu’à nouvel ordre a indiqué a indiqué la police gambienne dans un communiqué de presse. Cette décision fait suite aux violences notées la semaine dernière à Busumbala et à Mankamang Kunda dans la région de Bassé selon Les Echos.
« La police nationale gambienne informe les partis politiques que toutes les autorisations accordées pour mener des activés politiques ont été suspendues dans l’étendue du territoire jusqu’à nouvel ordre » dit le texte.