La suppression du poste de Premier ministre n’est pas seulement un simple projet de loi constitutionnelle. Chez les travailleurs de la Primature, c’est leur avenir qui est en jeu. Le Syndicat national des cadres et employés de l’Administration publique tire la sonnette d’alarme.
« Tout d’abord, regretter que le poste soit supprimé. Ensuite, nous avons pensé aux conséquences sur les travailleurs qui sont au niveau de la Primature. Aujourd’hui, nous souhaiterions avoir une vision très claire des rattachements institutionnels qui ont été faits pour certaines structures qui ont été hébergées au niveau de la Primature », a déclaré le secrétaire général du syndicat sur les ondes de iRadio
M. Dabo : « Certains de nos camarades nous ont signifié avoir été rattachés au Secrétariat général du gouvernement. »