Le leader de Pastef ne rate jamais des occasions pour tirer sur le président Macky Sall et son systeme de gouvernance. Depuis Kafrine, il accuse le gouvernement de Macky Sall d’utiliser a gendarmerie, la police et même la justice pour réprimer la population. Regardez
« Les agressions quotidiennes de nos militants à Thiénaba, l’irruption de la gendarmerie chez ma mère au lendemain de la présentation de mon livre vision, et un ensemble de chose qui se passe et les gens veulent orienter vers des débats qui n’existent pas ».
Sonko justifie ses propos en ces termes : « Cela n’a jamais été de dire qu’il faut fusiller qui que ce soit. Pourtant un acteur politique a dit publiquement que les transhumants, doivent être pendus et fusillés, ça n’a pas créer autant d’émois, par ce que ce n’était pas dans le fond. Dire qu’il faut les fusiller, c’était pour montrer la gravité des actes qu’ils ont posé ».
« Lorsqu’on a fait confiance à des gens à qui on leur a donné tous les moyens et malgré cela, des femmes continuent à mourir en accouchant sur des charrettes, des bébés soient rejetés dans des hôpitaux, les jeunes souffrent par ce qu’ils ne trouvent pas du travail », narre-t-il sur les ondes de la Rfm.
« Ils veulent maintenant semer la zizanie entre les membres de l’opposition. J’ai beaucoup d’admiration pour Me Wade, d’ailleurs je lui ai rendu hommage », rappelle le leader de Pastef.
Pour lui : « C’est deux objectifs qui sont visés par mes adversaires ; Il y a une tentative de diabolisation de Ousmane Sonko depuis plusieurs semaines. La deuxième ; ils veulent créer une scission qui n’existe pas entre l’opposition, qui a plus que jamais de s’unir, on est ensemble dans le même front ».