Le choix de cette catégorie est justifié par le fait que les œuvres religieuses n’ont pas été prises en compte dans le calcul des droits de la répartition du mois d’avril 2017 du fait des montants assez substantiels qui ont été avancés pour ce type d’exploitation, renseigne un communiqué. Qui ajoute que cette répartition complémentaire permet à la SODAV de solder les instances 2015 et 2016 dont elle a hérité du Bureau sénégalais des droits d’auteurs (BSDA) et qui concernent justement le répertoire religieux.
Cela ressort des travaux de répartitions complémentaires du mois de juillet organisés par le Conseil d’administration et la direction gérante sur les droits numériques payés. Dans ce communiqué publié à cet effet, la présidente du Conseil d’administration Ngoné Ndour et le directeur gérant Aly Bathyly, réitèrent leur volonté de « gérer dans la rigueur, l’efficacité et la transparence » afin d’asseoir « un cadre de gestion collective sain, vertueux et transparent » dans notre pays.