Sénégal, pays de gémissements et de lamentations

Sénégal, pays de gémissements et de lamentations

 

Sénégal: On l’appelle pays de la téranga, pays hospitalier où il est fait bon vivre. Ses habitants sont, il faut le dire, très particuliers et se croient au dessus de la moyenne.

En effet, les Sénégalais se croient plus intelligents, plus beaux, plus, plus… que le commun des mortels.

Prenez le cas du football, ils n’ont jamais rien gagné, mais ils pensent être les meilleurs, quel contraste !

La première conséquence, dans le domaine politique, est que personne n’écoute personne mettant ainsi le pays dans un état de permanente campagne électorale. Dans ce singulier pays tout le monde croit avoir raison sur tout le monde.

Nous avons remarqués que la classe politique a fini de mettre ce pays dans un état de politique permanente où tout est politique. Un berger du Fouta aurait-il l’outrecuidance de trancher le bras d’un antagoniste, nos experts en politique expliqueront ce malheureux geste par des raisons politiques.

Mieux ou pire, c’est selon, lorsqu’un homme politique a maille à partir avec la justice et, est mis aux arrêts, ne cherchez pas loin, c’est pour des raisons politiques diront nos experts.

Et c’est le début des gémissements, des plaintes et autres jérémiades. « libérez notre leader », « il n’a rien a fait ou n’est pas le seul à l’avoir fait », « vous avez peur de lui » et tutti quanti.

Dans ce pays où l’indiscipline règne en maître, toute cette agitation permanente donne l’impression que tout tourne autour de la politique et que les Sénégalais ne savent que faire cela et ne travaillent pas. Cette assertion est d’ailleurs soutenue par plusieurs observateurs avertis qui ont fini d’affirmer que le Sénégal est un pays en état de permanente campagne électorale où la plupart des protagonistes ont fini de faire de la politique une véritable profession.

Ces politiciens professionnels se crêpent le chignon, chaque jour que Dieu fait, non pas pour défendre les intérêts du peuple, au nom duquel il prétendent parler, mais leurs propres poches.

Nous pensons qu’il est temps de sauver le soldat SÉNÉGAL mais qui donc le fera ?

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