Trêve d’hypocrisie…L’Etat doit interdire la vente de Jeune Afrique au Sénégal. Parce que, s’attaquer à Cheikh Ahmadou Bamba, c’est s’attaquer à l’islam vu la dimension spirituelle et internationale de l’homme de Dieu, de l’importance du mouridisme apprécié, respecté partout dans le monde.
Même si le directeur de Jeune Afrique a présenté ses excuses et lesquelles excuses ont été acceptées par le Khalife Général des mourides, Sidi Mockhtar Mbacké, le mal est déjà fait. C’est une plaie qui se cicatrisera difficilement. Et on n’est pas prêt d’oublier.
Cette offense de Bachir Ben Yahmed n’est qu’une suite logique des errances de ce grand responsable politique sénégalais qui a insulté les marabouts sénégalais en les qualifiant de citoyens ordinaires. Et cette brèche ouverte par ce candidat à la Présidentielle de 2012 sera également difficile à rembler.
Malgré les récriminations des Sénégalais d’interdire Jeune Afrique au Sénégal, le magazine contre toute attente trône fièrement ce lundi dans les kiosques du Sénégal.
Pourtant, avec le régime de Me Abdoulaye Wade, aucun groupe de presse ou un étranger quelconque n’osait s’attaquer à la foi des Sénégalais ou désacraliser ses références religieuses ?
En un mot, l’Etat doit être ferme sur toute la ligne. Il ne doit pas avoir peur du bâton de la France qui vulgarise aujourd’hui, à l’imitation des autres pays de l’Occident, l’homosexualité.
Sans doute, ils ont espéré trouver en la personne du Tunisien Ben Yahmed Béchir, persona non grata dans son pays, un transmetteur de leurs valeurs sordides dans notre pays. Mais c’est peine perdue. Car pour Serigne Touba, qui s’y frotte s’y pique. Dieuredieuf Serigne Touba, ! Que Dieu Maudisse Jeune Afrique!
Balla MBAYE
776422055
[email protected] Malgré les récriminations des Sénégalais d’interdire Jeune Afrique au Sénégal, le magazine contre toute attente trône fièrement ce lundi dans les kiosques du Sénégal.
Pourtant, avec le régime de Me Abdoulaye Wade, aucun groupe de presse ou un étranger quelconque n’osait s’attaquer à la foi des Sénégalais ou désacraliser ses références religieuses ?
En un mot, l’Etat doit être ferme sur toute la ligne. Il ne doit pas avoir peur du bâton de la France qui vulgarise aujourd’hui, à l’imitation des autres pays de l’Occident, l’homosexualité.
Sans doute, ils ont espéré trouver en la personne du Tunisien Ben Yahmed Béchir, persona non grata dans son pays, un transmetteur de leurs valeurs sordides dans notre pays. Mais c’est peine perdue. Car pour Serigne Touba, qui s’y frotte s’y pique. Dieuredieuf Serigne Touba, ! Que Dieu Maudisse Jeune Afrique!
Balla MBAYE
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