Dans un communiqué fleuve dont nous détenons copie, Samuel Sarr explique pourquoi il refuse de soutenir Ousmane Sonko à la Présidentielle prochaine. Publicité 1
“Sonko m’a accusé sans prendre la peine de vérifier ses informations Je n’ai pas soutenu Ousmane Sonko. Le leader de Pastef m’a paru trop léger dans ses positions dû peut être par son défaut d’expérience. Et, il a un talent rare de diffuseur de fausses nouvelles. Ousmane Sonko m’a accusé plusieurs fois sans prendre la peine de vérifier les informations qu’il avance contre moi. C’est le style de l’homme. Il m’a accusé dans un dossier à la Société Africaine de Raffinage (SAR) avec des arguments d’une légèreté ahurissante. Il revient à nouveau dans son livre nous accuser Pierre Goudiaby Ateap et moi. L’aisance d’Ousmane Sonko dans la contradiction et les contrevérités m’intrigue. Dans son livre à la Page 138, il écrit : «C’est donc le duo Samuel Sarr-Pierre Goudiaby Atepa qui a introduit Franck Timis au Sénégal et servi de «bélier » pour enfoncer la porte du Président Abdoulaye Wade et imposer la signature de Contrats de Recherches et de Partage de production, le 21 Octobre 2010, des blocs de Sénégal Offshore Sud profond et Rufisque Offshore profond au profit de sa société African Petrolum». Jamais Ousmane Sonko qui a porté ces accusations contre ma personne ne pourra produire les preuves de ces allégations devant le tribunal. Je me suis gardé de le trainer en Justice, et comme il n’est pas à son premier coup d’essai, il fera tôt ou tard l’objet d’un procès pour diffamation. La suite m’a donné raison. On s’est rencontré, on a parlé et je pense qu’il a compris ma position. Aujourd’hui, Sonko sollicite le soutien d’Atépa et de Me Wade qu’il dénigrait avec fierté. Voilà cette façon de faire la politique que j’ai toujours décriée. Le leader de PASTEF possède un talent incontestable et exclusif en manière de diffusion de fausses nouvelles et de diffamation. Ce monsieur est capable de rejoindre un jour les hommes qu’il critique aujourd’hui, car il surfe sur la capacité d’oubli des sénégalais.»Publicité