Nous ne nourrissons aucun complexe à l’égard du Toubab, mais laisser passer les agrammaticalités et maladresses d’orthographe de Samuel Sarr, c’est se faire prendre pour un demeuré. En clair, la déclaration de candidature envoyée par l’ex-ministre d’État à la presse contient au moins quatorze fautes, puisque nous n’avons pas indexé l’absence de la majuscule, comme c’est le cas avec « les Sénégalais ». Et dire que nous n’avons pas souligné en rouge les bêtises qui s’imposent à l’usage.
S’il faut ajouter à ses fautes de gestion passées des fautes de français de cette ampleur, il y a de quoi avoir peur de l’effet Trump sous nos tropiques avec ce « wadiste éternel ». Jugez en vous-mêmes!