Les Diack, domiciliés à Pikine, dans la ville de Saint-Louis font partie de ces centaines de familles qui ont perdu leurs fils en mer dans le cadre de l’émigration clandestine.
Un des leurs, le jeune B.Diack, qui voyageait à bord de la pirogue ayant explosé en pleine mer, le 23 octobre dernier, est passé de vie à trépas, selon l’observateur.
Lorsque la mauvaise nouvelle est parvenue à son père, qui trainait une maladie ,celui-ci, pris au dépourvu, a commencé à transpirer à grosses gouttes d’après les proches de la famille.
Finalement, le choc psychologique a eu raison de la santé chancelante du vieil homme qui est mort, tout comme son fils cadet qu’il chérissait tant.