Barthélemy Dias, est différent des proches du président de la république en terme d’encagement, qui souvent se contentent des communiqués pour défendre leur mentor. Quant il s’agit de défendre, Khalifa Sall, Barth, le fasse au prix de sa vie. Le jeudi a osé interrompe le discours du premier ministre et provoquer le président de l’assemblée.
«Il n’existe pas de fonds politiques dans ce pays.» Barthélemy Dias, qui était resté sage depuis le début des questions d’actualité, n’a pu encaisser cette phrase du Premier ministre. «Objection, monsieur le président !», crie le proche de Khalifa Sall.
La réponse de Moustapha Niasse ne s’est pas fait attendre. «Vous n’avez pas la parole, cher collègue. Vous ne pouvez pas intervenir. Vous violez le Règlement intérieur. Pour prendre la parole, on la demande. Demandez la parole ! Assoyezvous, je vous en pris. Au nom de tous les députés, je vous demande de vous asseoir», insistetil. Ce sera sans compter avec un Barth’ furieux qui continue de rouspéter dans son coin. Un dialogue de sourds s’installe entre le maire de MermozSacré Cœur et le président de l’Assemblée. Dans la foulée, d’autres députés se mêlent à la danse. Un brouhaha règne dans l’Hémicycle. Barthélemy revient à la charge. «Vous n’avez pas le droit de juger le maire de Dakar. Je m’excuse, s’il vous plaît, ne jugez pas le maire de Dakar ici. Ce n’est pas le Tribunal, je vous remercie», ajoutet il.
Le député Barthelemy Dias s’est révolté quand le premier ministre, a soutenu que la mairie de Dakar ne dispose des fonds politiques mais plutot une caisse d’avance « Nous avons un premier ministre qui ne dit pas la vérité. Je ne suis pas venu à l’assemblée nationale pour m’applatire devant le PM. Je suis venu pour qu’il me dit la vérité sur cette affaire. Mais nous avons vu un premier ministre qui racontait des histoires sur l’affaire Khalifa Sall, en disant qu’à la ville de Dakar, il y’a pas de fonds politiques. Il ment à la ville de Dakar, il y’a des fonds politique. » Et pendant deux minutes, le PM n’a pas pu continuer, malgré la menace du président de l’Institution parlementaire,