Appelez-moi Mbissine Guèye, et ne voyez en moi, et n’entendez dans mes propos que la fulmination incoercible d’une femme éprise de justice, qui ne peut souffrir de voir autant de méchancetés polluer les jugements que nous tenons vis-à-vis de nos prochains.
En fait, ma décision de prendre la parole a été motivée par la fâcheuse récurrence de médisances à peine voilées portées contre la personne de Marème Faye Sall. Je n’ai aucune relation avec madame la Première Dame, j’ai pris tout le temps qu’il a fallu pour soumettre son action publique et privée, ses agissements quotidiens et ses intentions manifestées ou insinuées, à une analyse critique autonome, personnelle et complètement détachée de toute forme d’influence extérieure. Et, sincèrement, j’ai fini par m’aligner à l’idée qu’avec l’épouse de notre actuel président de la République, nous tenons une femme de très grande qualité, une « servante au grand cœur », pour reprendre le titre d’un célèbre poème que l’immense Charles Baudelaire dédia à une femme humble et simple qui l’avait tellement marqué pendant son adolescence.
Je crois sincèrement que madame SALL est une Première Dame que beaucoup de peuples nous envient, et pour cause. Contrairement à bien des Premières dames de sous nos Tropiques et d’ailleurs, nous avons en elle une femme simple et volontiers effacée, qui fuit les paillettes et strass comme la peste, ce qui transparaît à travers son port qui, comme on le sait, est et demeure très dépouillé, très essentialiste.
Ceux qui ont avec elle une proximité réelle la décrivent comme une personne très agréable à l’échange, qui a un sens élevé de l’écoute et du respect de la dignité de l’autre. Nous tenons aussi de sources médiatiques dignes de confiance qu’elle incarne un important facteur de rapprochement entre son époux et le peuple sénégalais, mais aussi un important levier de renforcement des liens entre ce dernier et ses compagnons de première heure.
Autre chose, dont nous tous sommes des témoins privilégiés, c’est sa présence sans relâche au cœur de l’Action charitable. Une action toujours teintée de discrétion au profit des citoyens déshérités. Les nécessiteux qu’elle ne connait ni d’Eve ni d’Adam qui sollicitent avant de bénéficier des coups de pouce de Marième Faye lors du mois béni de Ramadan et/ou des fêtes de Tabaski, Korité, Tamxarit, festivités de Pâques et j’en passe ne me démentiront pas. Ce, compte non tenu des soutiens inlassables aux malades démunis qu’elle tend de jour comme de nuit des bouées de sauvetage ne me contrediront pas, du tout alors…
Une Première dame de cette qualité, en quoi devrait-elle mériter qu’on la brûle au quotidien dans le feu de la médisance gratuite ? Je suis tellement outrée de constater qu’il y a certains de nos compatriotes mus par des dessins immondes, qui n’ont pour profession que de construire, à longueur de journée, à longueur de mois, à longueur d’année, des mythes dégradants et diaboliques, mais toujours totalement cousus de fil blanc, sur cette femme admirable, qui a sans nul doute beaucoup plus de vertu et de bonté d’âme que leurs sœurs, leurs mamans et leurs tantes.
Évidemment, je peux comprendre que malgré toutes les qualités dont elle fait montre (et qui sont loin d’être cosmétiques !) on ne soit pas, malgré tout, disposé à l’aimer. Mais elle mérite quand le respect de tous. Et ne pas la respecter c’est par exemple se permettre de faire courir le bruit (très grossier, franchement) selon lequel elle aurait perdu la tête par ces temps qui courent. Ça, franchement, c’est dégueulasse et foncièrement disproportionné, même venant des plus irréductibles de ses ennemis.
C’est vrai que la station qu’elle occupe aujourd’hui, et qui est loin d’être usurpée, ne peut pas ne pas susciter d’âpres jalousies. Mais les vautours devraient veiller à ne pas franchir les…démesures barrières ! Au risque de tomber dans une lamentable lâcheté.
Je crois sincèrement que madame SALL est une Première Dame que beaucoup de peuples nous envient, et pour cause. Contrairement à bien des Premières dames de sous nos Tropiques et d’ailleurs, nous avons en elle une femme simple et volontiers effacée, qui fuit les paillettes et strass comme la peste, ce qui transparaît à travers son port qui, comme on le sait, est et demeure très dépouillé, très essentialiste.
Ceux qui ont avec elle une proximité réelle la décrivent comme une personne très agréable à l’échange, qui a un sens élevé de l’écoute et du respect de la dignité de l’autre. Nous tenons aussi de sources médiatiques dignes de confiance qu’elle incarne un important facteur de rapprochement entre son époux et le peuple sénégalais, mais aussi un important levier de renforcement des liens entre ce dernier et ses compagnons de première heure.
Autre chose, dont nous tous sommes des témoins privilégiés, c’est sa présence sans relâche au cœur de l’Action charitable. Une action toujours teintée de discrétion au profit des citoyens déshérités. Les nécessiteux qu’elle ne connait ni d’Eve ni d’Adam qui sollicitent avant de bénéficier des coups de pouce de Marième Faye lors du mois béni de Ramadan et/ou des fêtes de Tabaski, Korité, Tamxarit, festivités de Pâques et j’en passe ne me démentiront pas. Ce, compte non tenu des soutiens inlassables aux malades démunis qu’elle tend de jour comme de nuit des bouées de sauvetage ne me contrediront pas, du tout alors…
Une Première dame de cette qualité, en quoi devrait-elle mériter qu’on la brûle au quotidien dans le feu de la médisance gratuite ? Je suis tellement outrée de constater qu’il y a certains de nos compatriotes mus par des dessins immondes, qui n’ont pour profession que de construire, à longueur de journée, à longueur de mois, à longueur d’année, des mythes dégradants et diaboliques, mais toujours totalement cousus de fil blanc, sur cette femme admirable, qui a sans nul doute beaucoup plus de vertu et de bonté d’âme que leurs sœurs, leurs mamans et leurs tantes.
Évidemment, je peux comprendre que malgré toutes les qualités dont elle fait montre (et qui sont loin d’être cosmétiques !) on ne soit pas, malgré tout, disposé à l’aimer. Mais elle mérite quand le respect de tous. Et ne pas la respecter c’est par exemple se permettre de faire courir le bruit (très grossier, franchement) selon lequel elle aurait perdu la tête par ces temps qui courent. Ça, franchement, c’est dégueulasse et foncièrement disproportionné, même venant des plus irréductibles de ses ennemis.
C’est vrai que la station qu’elle occupe aujourd’hui, et qui est loin d’être usurpée, ne peut pas ne pas susciter d’âpres jalousies. Mais les vautours devraient veiller à ne pas franchir les…démesures barrières ! Au risque de tomber dans une lamentable lâcheté.
