Le TIME Magazine a dévoilé sa liste des « 100 personnes les plus influentes du monde 2017 ». Une ribambelle de personnalités parmi lesquelles un footballeur émerge : Neymar.
Donald Trump, le Pape François, Theresa May, Tom Brady, Ed Sheeran… et Neymar. L’énumération peut paraître étonnante, mais elle est tout à fait cohérente puisque basée sur un même paramètre : l’influence.
Le mythique magazine américain TIME a ainsi sorti hier soir sa liste annuelle des 100 personnalités les plus influentes du monde, rangées selon 5 catégories : les « pionniers », les « titans », les « artistes », les « leaders » et les « icônes ».
Un seul footballeur a réussi à se frayer un chemin au milieu des leaders politiques et économiques, des scientifiques et des autres artistes les plus marquants de l’année. Il s’agit du Brésilien Neymar. Le joueur du FC Barcelone se trouve au milieu de la catégorie « icône ».
L’ailier de 25 ans représente l’avenir du football, du « soccer » comme les américains le nomment. Il dispose d’une aura exceptionnelle, d’un charisme important. Neymar est tout simplement un modèle pour tous les jeunes joueurs de la génération 2000 voire un peu plus, et cela vous donne forcément une influence conséquente aux yeux du monde.
En 2013, l’international auriverde avait déjà fait l’objet d’un long article dans l’hebdomadaire US. Il était, à cette occasion, devenu le premier athlète brésilien à apparaître en couverture du TIME.
Meet Neymar, Brazil’s stay-at-home soccer superstar | http://ti.me/XaR6xU
« Un footballeur comme il n’y en a qu’un par génération »
Le TIME a pour habitude de déléguer à une autre personnalité, plus ou moins proche de l’homme ou la femme nommée dans leur classement, la tache d’établir un petit portrait personnalisé.
Pour Neymar, c’est David Beckham qui s’y est collé. Sans être transcendent, le papier du golden boy anglais a été un bel hommage assorti d’un gros compliment :
« Neymar est un talent extraordinaire, un footballeur comme il n’y en a qu’un par génération, qui fait lever les foules dès qu’il reçoit le ballon. »
Et encore, le meilleur reste à venir…
