En couple ou non, la peur d’être trompé un jour reste omniprésente. Cette éternelle angoisse remet parfois en cause nos projets d’engagement mais aussi notre vision du couple. On se demande même si l’infidélité mérite d’être pardonnée tant celle-ci annihile toute la beauté d’une relation en apparence épanouie. On a beau cherché au plus profond de nous des indices qui auraient pu, d’une certaine manière, nous mettre sur la piste, on ne trouve rien. Et que l’on se dise, nous n’avions absolument pas signé pour ça. Si les motivations du serial cheater sont à analyser au cas par cas, des chercheurs scientifiques ont révélé qu’il y aurait un âge propice à l’adultère.
L’infidélité, le fruit défendu des quadragénaires
L’infidélité n’est absolument pas une tentation marginale pour les couples. En 2015, une étude menée par des scientifiques de l’Université du New-Hampshire a révélé que 60% des hommes seraient infidèles au moins une fois dans leur vie, soit 7% de plus que les femmes. En plus d’avoir dévoilé au grand jour ce résultat pour le moins frustrant, les chercheurs auraient trouvé grâce à leur sondage, l’âge moyen de l’adultère. Pour ces messieurs, le 55èmeanniversaire serait celui de toutes les tentations. Par question d’opportunité mais aussi de volonté de s’épanouir encore et toujours plus, ils seraient d’autant plus aptes à passer à l’acte au moment de ce carrefour de la vie. Pour la gent féminine, ce moment d’égarement pourrait avoir lieu 10 ans plus tôt, soit à l’âge de 45 ans.
De manière générale, chaque changement de décennie incarne plus ou moins une période de tentation tant les individus souffrent de ce passage de » l’autre côté « . 29 ans, 39 ans, 49 ans sont des âges charnières pour l’infidélité.
