Mais, a-t-il ajouté, « il est là, bien présent. Il nous donne ses inspirations, ses idées, ses conseils. Il a bon pied, bon œil et surtout bonne conscience ». Selon l’ancien ministre d’Etat, ministre de la Justice, Garde des sceaux, « notre parti a le devoir de se redéployer ».
Quid de Karim Wade ? « Karim est là ou il est, il fait partie de nos dirigeants », s’est-il limité à dire. Sur une éventuelle amnistie pour le fils de l’ancien président, Me Sall estime qu’« il faut poser la question au Président de la République. C’est lui qui a dit qu’il va proposer une loi d’amnistie, nous attendons de voir ».