Ainsi, l’ONG caricature le contrôle administratif qu’il compare à « une sorte de version moderne du “crime de pensée” d’Orwell, ces mesures sont prises sur la base d’actes qu’une personne pourrait commettre à l’avenir, au lieu de se fonder sur des infractions déjà commises. Ces interventions “préventives” peuvent avoir des conséquences dramatiques sur la vie des personnes concernées et celle de leur famille
», fustige l’organisationCette dernière ajoute également que «les mesures de contrôle, qui reposent sur des critères imprécis et généralement sur des informations tenues secrètes, permettent au ministère de l’Intérieur d’imposer aux personnes un large éventail de restrictions. Par exemple, il peut leur interdire de quitter une ville spécifique, les obliger à pointer chaque jour au commissariat et leur interdire de fréquenter certaines personnes
», informe le figaro.