Ne voulant pas s’arrêter en si mauvis chemin, l’équipe de Moustapha Niasse argue que « l’erreur a été effectivement signalée aux services du pays hôte, qui a présenté ses excuses » et indique que la « réaction devant ce genre de situation est gradué, n fonction des rapports entre les deux parties ».
Pour faire court face à cette bourde, les hommes de Niasse diront que ce sont « des données à appréhender de manière intelligente, avec un esprit de discernement qui manque à des censeurs qui ignorent tout des arcanes de la diplomatie ».