La transhumance est devenue institutionnelle. C’est devenu habituel dans la classe politique traditionnelle. Donc, pourquoi s’en émouvoir ? Le problème est qu’il n’y a jamais d’offre sans demande. Il ne faut pas oublier que c’est le président de la République qui a fait l’apologie de la transhumance. Si les Sénégalais se dotent d’un président qui condamne ces pratiques, il n’y aura plus de transhumance.