« Conditions remplies pour passer le concours »
Selon la note, le CEMGA les accuse d’avoir utilisé des voies de contournement pour passer le concours. Ce que les mis en cause récusent, soutenant que tous les documents dont la présence au corps, leur ont été délivrés par la hiérarchie. Et, ils avaient déjà entamé leur formation. Aussi, sans salaire depuis un an, ils se disent confrontés à « d’énormes difficultés » pour étudier, dénoncent-ils, face à la presse ce matin, mercredi 2 août, au siège d’Amnesty international section Sénégal.
Soutenus par les organisations de droits de l’homme, ils annoncent avoir saisi la Cour suprême pour l’annulation de cette décision. Depuis un an, signalent-ils, des médiations sont menées pour le règlement de leur situation. Mais, ils n’ont pas eu gain de cause, jusqu’à présent.