Que deviennent les présidents africains battus dans les urnes ?

Yahya Jammeh est désormais en exil à Malabo, en Guinée équatoriale. Villa tout confort et bolides de luxe devrait lui assurer une paisible retraite. Mais tous les chefs d’État africains battus dans les urnes ont-ils choisi la même voie ?

Comment négocie-t-on, quand on a occupé un palais présidentiel pendant de nombreuses années, un retour à une vie plus normale ? Privilégie-t-on un repos plus ou moins mérité ? Utilise-t-on son expérience pour servir, encore, son pays ? Ou vogue-t-on vers d’autres cieux, régionaux ou internationaux, comme si, désormais, le territoire national ne suffisait plus ?

Jeune Afrique s’est penché sur la question en faisant le tour des destins « post-défaite » des anciens chefs d’État du continent, de Mathieu Kérékou à Yahya Jammeh. Ils sont seize. Et il vous suffit de cliquer sur leur portrait pour savoir ce qu’ils sont devenus.

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