A la guerre comme à la guerre! L’ancien président ne se gêne plus à donner des coups à son successeur à qui il demande de justifier son patrimoine car les milliards qu’il a annoncés détenir, ne viendrait pas de lui. En effet, Me Wade, lors de son face à face avec la presse hier jeudi, a ressuscité l’affaire du patrimoine de Macky Sall estimé à 7 ou 8 milliards de Francs Cfa et qui avait défrayé la chronique il y a quelque temps.
«Samuel Sarr l’accusait d’avoir dans son compte 7 milliards. Où il a pris ces 7 milliards? Vous savez son alibi ? Il dit que ‘‘c’est Wade qui m’a donné ça’’. Jamais!!! Ce n’est pas vrai!!! Vous m’avez vu, donner 7 milliards à mes collaborateurs les plus proches?
Mais si je n’ai rien dit, damako doon saang soutoureu, bien qu’il soit mon adversaire. Mais maintenant j’ai décidé de me battre. Et que le meilleur gagne »!
Président hier l’Assemblée générale du réseau des enseignants de la commune de Thiès, Youssou Touré a affirmé qu’il va demander au président de la République, par ailleurs chef de file de l’APR, Macky Sall, de le décharger des fonctions de coordonnateur national du réseau.
Le réseau, c’est pour mieux avoir les coudées franches pour se consacrer aux tâches liées au secteur important dont il a la charge dans le gouvernement. Selon lui, l’alphabétisation et la promotion des langues nationales constituent les défis majeurs qui s’accommodent mal avec une telle fonction politique. C’est la raison pour laquelle, note-t-il après « avoir joué ma partition, j’ambitionne de laisser la place à d’autres pour poursuivre le chemin. Youssou Touré présidait la réunion de restitution des travaux de mise en œuvres des stratégies pour réélire Macky Sall en 2017
Le Préfet de Dakar, Alioune Badara Diop arrête Malick Noël Seck et Cie qui entendaient organiser un contre-sommet, marquant ainsi leur désaccord sur les événements de ces 29 et 30 novembre du Sommet de la Francophonie. Leur marche pacifique prévue le samedi, le concert le même jour et le sit in, ce 30 novembre à partir de 10 heures à Diamiadio qui abrite le Centre International de Conférence de Dakar (CICD), ont été interdits. L’autorité invoque l’indisponibilité des forces de sécurité, toutes mobilisées pour les manifestations du XVe sommet.Reste à savoir s’ils vont respecter la mesure. L’arrêté préfectoral en pièce jointe.
Mouvement de veille et d’alerte, le M23 a salué la tenue du meeting du Front patriotique autour de Me Wade, avant de s’indigner «des dérapages contraires à l’esprit républicain consistant dans l’appel à des élections anticipées corrélées à des propos incendiaires traduisant un désir inavouable de coup d’Etat ainsi que des velléités insurrectionnelles» de Me Abdoulaye Wade. Pour les camarades de Mamadou Mbodj, « des initiatives anti constitutionnelles de Me WADE et l’inclination des membres de son entourage, militants et alliés à le suivre aveuglément, ont déjà valu à notre pays des événements tragiques avec de nombreux morts et blessés et des dégâts matériels importants». Ainsi, disent-ils, «les conséquences d’une nouvelle initiative s’inscrivant dans la logique des propos du meeting du 21 risquent d’être aussi périlleuses que dommageables à notre démocratie».
Face aux députés hier pour vote du budget de son département, l’ex avocat de Bibo Bourgi dans la traque des biens mal acquis, Me Sidiki Kaba a essuyé plusieurs questions des parlementaires, surtout de l’opposition qui l’interrogé sur le bilan de cet exercice « budgétivore ». Sur l’enquête de la mort de l’étudiant Bassirou Faye, Me Kaba a rassuré que toute la vérité d’Etat sera dite dans cette affaire. « Il y a un début de clarté dans cette histoire. Rassurez-vous que la vérité d’Etat sera dite et non le mensonge d’Etat », joue t-il ces expressions.
Macky Sall a de sérieux clients en direction du Sommet de la Francophonie. En effet, à quarante-huit heures de l’ouverture dudit Sommet prévu, à Dakar, le 29 novembre prochain, les animateurs du contre-Sommet entrent en action, dès ce jeudi.
A cet effet, “suite à de nouvelles informations, le Front contre le Sommet de la Francophonie tiendra un point de presse, à 10h à la Place de l’Obélisque”.
Ce face-à-face entre les journalistes et les initiateurs du contre-Sommet ne manquera pas de piquant.
Car Malick Noel Seck coordonnateur du front , le commissaire Cheikhna Cheikh Sadibou Keita,qui se charge de la Commission culturelle, Lamine Bâ, en charge de la Commission communication et Fatima M’bengue, coordonnatrice du mouvement “Nittu Degg” vont, à coup sûr, la claquer grave.
Reste maintenant à savoir est-ce que Macky Sall et son régime, qui se montrent assez prompts à interdire les manifestations, les laissera dérouler normalement leur conférence de presse.
Une question pertinente, si l’on sait que les tenants du Pouvoir pourraient évoquer l’argument du “trouble à l’ordre public” aux fins d’empêcher le démarrage du contre-sommet.
Le Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr) a fait le bilan de son meeting de vendredi dernier. Et, hier, les responsables se sont félicités de la mobilisation réussie de leur manifestation. Occasion saisie par Oumar Sarr pour réitérer les propos de Me Wade et réclamer des poursuites pénales contre Aliou Sall, frère du Président Macky Sall.
« Sur l’affaire du pétrole, c’est le Président Macky Sall qui a signé, le 19 juin 2012, les décrets 2012-96 concernant Saint-Louis Offshore profond, portant approbation du contrat de recherche et de partage des productions d’hydrocarbures sur Saint-Louis et Kayar. Le contrat est conclu entre l’Etat du Sénégal, la Société des pétroles du Sénégal (Pétrosen) et la société Pétro-Tim limited. Suite à la signature de ces décrets, le frère du Président Macky Sall, Monsieur Aliou Sall, qui a été mandaté par la société Pétro- Tim Limited pour créer Pétro-Tim Sénégal le 4 juillet 2012, avec un apport de 10 millions de FCfa. C’est une société anonyme unipersonnelle (Sau). Alors Aliou Sall est le seul propriétaire. La zone contractuelle qui couvre le permis de Kayar Offshore profond est d’une superficie totale réputée de 1,895km2. Donc les 10 millions qu’ils ont investis vont leur apporter des centaines de milliards FCfa. C’est ce qu’on appelle le vol, d’autant plus que les blocs appartiennent à tous les Sénégalais. Nous pensons que nous ne devons pas nous laisser faire. Personne, fût-il un Président, n’a le droit de voler notre Nation au profit de son frère. C’est pourquoi, non seulement, ils doivent nous remettre ce qu’ils nous ont volé, mais nous demandons des poursuites pénales contre Aliou Sall, les co-auteurs et les complices. Nous allons déclencher toute une procédure judiciaire autour de cette affaire qui est quand même une affaire grave. On les a pris la main dans le sac pour ne pas dire dans les blocs. Il faudrait que nous allions jusqu’au bout de cette affaire. Si on va jusqu’au bout, un Président qui fait une chose pareille, devrait démissionner », a expliqué le coordonnateur du Pds.
Amadou Tidiane Wone, Directeur de cabinet de Abdoulaye Wade vient de confirmer de la révocation de Abdoulaye Samassa comme aide de camp de l’ancien président. Mais, sur les motifs de son départ, il tient à préciser que d’après « les informations portées à notre connaissance par les plus hautes autorités de l’Armée Nationale, cette mesure fait suite à une demande exprimée par le Commandant Samassa auprès de sa hiérarchie ». Amadou Tidiane Wone, loue à travers un communiqué dont Sans Limites détient copie la loyauté et la magnanimité du général Samassa à servir l’ex chef d’Etat durant tout son service. Et demande par conséquent, « l’affectation imminente de son successeur conformément aux dispositions du décret portant statut des anciens chefs de l’Etat du Sénégal ».
Macky Sall a apporté une riposte à la mesure des propos incendiaires de l’ancien président Abdoulaye Wade au meeting du Front patriotique le 21 novembre dernier. Selon Direct Info, le chef de l’Etat a pris la décision de retirer à Wade son aide de camp, le commandant Alioune Samassa. Une mesure prise au lendemain de ce meeting qui a refusé du monde, vendredi dernier Place de la Nation et qui prive ainsi Wade d’un privilège de taille que lui attribue son statut d’ancien chef de l’Etat. De Diouf à Senghor, il s’agit d’une première dans l’histoire du Sénégal de voir un chef d’Etat privé de ce droit.
Mais vraisemblablement,Macky Sall n’aurait pas digéré les propos de l’ancien président qui a demandé des élections anticipées en juin 2015 pour son départ.
Madické Niang sur les menaces des ‘faucons du palais: « Je les attends de pied ferme » « Je voudrais dire à ces suppôts de satan, qui sont désignés comme les faucons du palais et qui cherchent à m’atteindre, en tant que musulman et de surcroit talibé de Serigne Touba, je ne crains personne et les attends de pied ferme », déclare Madické Niang. L’ancien ministre de la justice a tenu à démenti les accusations d’avoir dénigré Macky Sall lors d’un entretien avec le Khalife général des Mourides. « Prenant à témoin le Khalife général des mourides, Serigne Sidy Makhtar Mbacké, j’apporte un cinglant démenti à ce tissu de mensonges qui ne repose que sur des manipulations qui depuis 2012 sont entreprises contre ma personne, par des politiciens véreux incompétents et impopulaires dans les familles religieuses« , a-t-il conclu.
Des sources de l’opposition et du pouvoir renseignent que cette position s’explique par le fait que plusieurs contacts avaient eu lieu entre les deux parties qui étaient dans une logique d’apaisement avant que Me Wade ne jette de l’huile sur le feu. Le limogeage brutal du procureur spécial près, la Crei, Alioune Ndao prouvait que quelque chose se passait. Si l’on sait que le seul crime de ce dernier a été de vouloir vérifier les comptes de trois pontes de l’ancien régime. Les sources renseignent de plusieurs rencontres entre Serigne Mbacké Ndiaye et Abdoulaye Daouda Diallo. Et, le cas, Karim Wade figurait en bonne place dans les discussions. « Serigne Mbacké Ndiaye et tant d’autres veulent la libération de Karim Wade et Cie. D’ailleurs, Serigne Mbacké Ndiaye était allé voir encore Karim, lundi dernier. Le problème, c’est que Wade s’y prend mal et nous avons décidé de contourner sa logique qui est improductive et dangereuse pour le pays », renseigne une source libérale qui dit être en phase avec Serigne Mbacké Ndiaye à propos de la sortie de Wade.
En recevant hier les membres de l’opposition réunis autour de son parti, le (PDS), Me Wade a réitéré ses propos. Il est plus que jamais déterminé envers sa cible, en l’occurrence Macky Sall. « Je mettrai toute la pression jusqu’à ce que Macky Sall quitte le pouvoir… », réitère t-il. Comme quelqu’un qui ne compte pas du tout reculer sur son projet d’éjecter Macky Sall du pouvoir, Me Wade ajoute qu’avec 1.000.000 de personnes il peut faire quitter Macky Sall du Palais de la République. Le Populaire!
Malgré la levée de boucliers qu’ont suscité ses déclarations à la Place de l’Obélisque vendredi dernier, Me Wade revient de plus belle pour réaffirmer sa détermination à déloger Macky du Palais. Le pape du Sopi s’exprimait hier devant les membres du Front patriotique pour la défense de la République.
« Ce qui s’est passé avec 250 personnes et que Compaoré soit exfiltré du Burkina, avec un million de personnes, on peut faire mieux. Avec un million de personnes, je peux faire partir Macky. Je mettrai la pression jusqu’à ce que Macky Sall quitte le pouvoir », a-t-il dit Me Abdoulaye Wade. « Si on n’avait pas emprisonné certaines personnes, on ne me verrait pas descendre sur le terrain. Mais, aujourd’hui, on restreint les libertés des Sénégalais pour avoir un second mandat. Macky qui accuse Karim de voleur alors que son frère est le plus grand voleur« , a-t-il fulminé, selon Le Populaire. C’était en présence de Oumar Sarr, de Mamadou Diop « Decroix », de chefs religieux, de leader de mouvements et de partis politiques regroupés au sein du FPDR.
Dans cet entretien vérité, Le petit fils de Leuk Darou répond sans hésitations aux questions de la présentatrice de votre émission.IL parle de son problème avec les dirigeants de l’équipe nationale,des prédictions sur les prochains combats etc… il dévoile son arsenal mystique:
Mansour Sy Djamil considère que Macky Sall n’a aucun compte à rendre à Wade, encore moins de répondre à son ultimatum de trois jours. « Il était le président de la République, il ne l’est plus. Le Parlement peut fixer un ultimatum à l’Exécutif, mais pas un citoyen lambda. Nous sommes en session budgétaire, que cela soit Mittal ou le pétrole, il n’a qu’à demander à ses députés qui sont à l’Assemblée nationale de poser des questions aux membres du gouvernement, fait-t-il savoir. Mais, il n’a pas à interpeller le Président de la République publiquement pour lui fixer un ultimatum de 72 heures ». Même si Abdoulaye Wade a été élu démocratique, Djamil estime que l’actuel locataire du palais a été mieux élu que lui en remportant 65 % de l’électorat dans une quasi-unanimité. Pour le leader de Bës duu Niak, Macky Sall n’a juste pas encore eu le temps de faire l’état des lieux mais il est loin d’avoir échoué dans sa politique.
Un mouvement dénommé NADEMS (Nouvelle alliance démocratique du Sénégal) avait voulu faire de Youssou Ndour son candidat à l’élection présidentielle de 2017. Mais c’était sans compter avec la fidélité et la loyauté de Youssou Ndour à Macky Sall. Ce dernier a fait aussitôt paraître un communiqué à travers lequel il décline l’invitation du mouvement NADEMS et réaffirme son ancrage auprès de Macky. Communiqué « Dans un article mis en ligne samedi 22 novembre 2014 par le site d’information Leral.net, inspiré par un communiqué de presse transmis par la Nouvelle alliance démocratique du Sénégal (NADEMS) fondée par M. Samba Kara NDIAYE, il est prêté audit fondateur, la décision de son parti d’investir «dans quelques semaines» le leader de Fekkee ma ci boole (FMCB), Youssou NDOUR, comme son candidat à l’élection présidentielle de 2017″.
Remerciant NADEMS pour le respect et l’admiration nourris et manifestés à son endroit à travers l’article, le leader de Fekkee ma ci boolee décline l’offre.
Le leader de FMCB réaffirme sa doctrine et sa foi en l’éthique, martèle son encrage en le compagnonnage franc et fraternel avec Son Excellence, Monsieur Macky SALL Président de la République, avec lequel il nourrit et partage la vision d’un Sénégal émergent et prometteur pour ses fils et ses filles.»
C’est en tout cas le souhait émis par le Comité des intellectuels républicains pour le suivi des engagements et de la massification de l’Alliance pour la république(Cirgem). Dans un communiqué rendu publique, ces cadres du parti de Macky Sall qui ne tolèrent pas la sortie musclée de Me Wade, sur un élection anticipée en 2015 a estimé que Me Wade doit être assigné à résidence surveillée, dès le 1er janvier 2015.Pour eux, cet appel « malheureux » de Me Wade est appel à une « insurrection ».
La sortie de Me Abdoulaye Wade contre Macky Sall et celle de Babacar Gaye, qui indique que Karim Wade doit être le candidat du Pds à la prochaine Présidentielle, n’ont pas plu à tous les dignitaires du Pds. Ne se retrouvant pas dans les propos du secrétaire général du Pds et du Porte-parole dudit parti, beaucoup de libéraux qui ruminaient leur colère ont fini par tourner le dos à Wade et son parti.
Cheikh Touré, ancien membre du Comité directeur et ancien président de la coordination des cadres du Pds, Me Bidjilé Fall, ancien Directeur de cabinet d’Idrissa Seck, Amadou Barry, ancien député et sénateur du Pds, Modibo Diop, ancien Dg de l’Aser, Yaye Kane Gassama, ancienne ministre de la Recherche scientifique, Marie Thèrèse Diedhiou, ancienne Dg de l’Adpm, Dr Safiétou Thiam, ancienne ministre de la Santé, Sophie Ndiaye, ancienne ministre de la Culture et ambassadeur, Sidy Faye actuel Dg Nca, Amadou Yoro Ndiaye, ancien Dircab d’Awa Guèye Kébé, Mamadou Wane, ancien 1er adjoint au maire des Parcelles Assainies ont tout simplement quitté le Pds. Du coup, ils ont été reçus en audience par le Chef de l’Etat Macky Sall, hier, de 17 heures à 19 heures 30. La délégation de ces désormais anciens libéraux a été conduite par Baïla Wane, ancien directeur général de la Lonase. Joint par téléphone, ce dernier confirme la rencontre non sans ajouter que Macky Sall a reçu ces anciens ministres avec son staff politique composé de Mbaye Ndiaye, Mahmoud Saleh, Marième Badiane, Thierno Alassane Sall, Farba Ngom et Abdourahmane Ndiaye, chargé de la coordination de l’Apr. Au cours de l’audience, il a été porté à la connaissance de Macky Sall la mise en place d’une association dénommée « Les amis de Macky Sall ». Cette association sera lancée le 03 décembre prochain au cours d’une assemblée générale », révèle Baïla Wane à L’Observateur.
L’ancien chef de gouvernement sous Me Wade, Souleymane Ndéné Ndiaye estime que les retrouvailles de la famille libérale sont possibles sans Macky Sall. Il a choisi les adversaires du PDS pour arriver au pouvoir a déclaré l’ex premier ministre : «La famille libérale, avec Pape Diop et Idrissa Seck, c’est possible mais les retrouvailles de la grande famille libérale, ce n’est pas possible. Macky Sall de l’Apr est avec ses alliés. Nous, on est de l’opposition. Je pense qu’il est plus facile qu’on se retrouve avec Pape Diop et Idrissa Seck qu’avec Macky Sall. Lui, qui ‘est arrivé au pouvoir avec nos adversaires. Macky Sall de l’Apr est avec ses alliés. Nous, on est de l’opposition. Je pense qu’il est plus facile qu’on se retrouve avec Pape Diop et Idrissa Seck qu’avec Macky Sall. Lui, qui ‘est arrivé au pouvoir avec nos adversaire. Nous, nos véritables adversaires dans la politique, ce sont l’Afp et le Ps. Toute notre vie, nous avons combattu ces deux formations qui n’étaient en réalité qu’un seul parti. On ne peut pas donc par un jeu de ruse se retrouver. En tout point de vue, il n’est même pas souhaitable que le Sénégal puisse se retrouver un jour sans un pouvoir qui exerce le pouvoir et une opposition qui s’oppose. Il est donc illusoire de parler de retrouvailles. Maintenant, ce qu’il faut, c’est un dialogue politique entre les deux partis sur les sujets d’intérêts communs pour éviter certains débordements».
Le Comité Directeur du Front Républicain « Jammu Askan – Wi », a félicité les autorités administratives du Sénégal d’avoir autorisé la tenue du meeting du Parti Démocratique Sénégalais ce vendredi 21 Novembre 2014. Le Comité Directeur a aussi félicité également le Parti Démocratique Sénégalais pour l’organisation d’un meeting sans trouble de l’ordre public. Appréciant le discours du Secrétaire Général du PDS, le Comité Directeur du Front Républicain a demandé au président Macky Sall d’éclairer davantage l’opinion publique sur les accords entre le Sénégal et la société Arcelor Mittal. Il a aussi condamné fermement l’appel du Secrétaire Général du PDS à des élections anticipées et à la mise en place d’une commission transitoire. Me Ousmane Sèye et ses camarades de rappeler que le Sénégal est un pays démocratique avec un président démocratiquement élu pour un mandat déterminé. Lequel est garant des institutions qui fonctionnent régulièrement, ce qui fait qu’aucun acte tendant à mettre un terme à la mandature du président de la République avant l’échéance fixée par la Constitution ne sera toléré par le peuple Sénégalais.
Le meeting du Front patriotique pour la défense de la République continue de faire des vagues. Au cours de cette manifestation, Me Wade, en fin politicien, a essayé de remporter la bataille de l’opinion comme il l’avait dit lors de son retour en avril dernier. Aussi, en lançant qu’il a quitté le Palais avec 700.000 FCfa, Wade cherche-t-il à donner l’image d’un ex-Président pauvre dont le fils se se voit emprisonné pour enrichissement illicite. Mais, les archives étant là, le pape du Sopi oublie qu’il est facile de démontrer qu’il est loin d’être « fauché ». Le journal EnQuête, dans sa livraison du jour, a apporté les preuves des contrevérités du leader du Pds.
S’il y a un fait sur lequel tout le monde s’accorde à propos d’Abdoulaye Wade, selon le journal, c’est sans doute sa ruse politique et sa propension à manipuler l’opinion publique à chaque fois qu’il est éprouvé. Un exercice auquel le pape du Sopi s’est livré le 21 novembre dernier, à l’occasion du meeting organisée par le FPDR. Dans sa volonté de vouloir disculper son fils Karim Wade poursuivi pour enrichissement illicite, l’ex-Président de la République affirme avoir quitté le pouvoir avec 700.000 FCfa. « Je savais que le jour où je perdrais le pouvoir, les gens se mettraient sur mes traces pour savoir ce que j’ai et ce que je n’ai pas. C’est pourquoi tous mes fonds politiques, je les ai offerts aux Sénégalais. Je leur ai tout distribué, parce que je m’étais dit que le jour où je perdrais le pouvoir, je quitterais le Palais sans argent (…). Je savais qu’ils n’allaient rien trouver dans mes comptes qu’ils ont épluchés », disait-il. En d’autres termes, Me Wade pense que tous les biens qui lui sont attribués, ainsi qu’à son fils, ne sont qu’une vue de l’esprit.
Mais, cette image d’un ancien chef de l’Etat « fauché » qu’il veut faire passer tranche, selon EnQuête, d’avec la réalité des faits. La simple évocation de l’affaire Aïdara Sylla laisse penser que Me Wade est riche comme Crésus. L’ancien député libéral avait été interpellé le 3 janvier 2013 à l’aéroport Léopold Sédar Senghor en provenance de Dubaï avec un chèque de 2,5 milliards que lui a remis l’ancien président de la République. Il sera inculpé par la Justice pour n’avoir pas pu justifier la provenance de ces chèques dont le nom des destinataires avait été révélé, à l’époque, par nos confrères du journal Le Quotidien. Au bout d’un an d’investigation, Aïdara Sylla sera libéré le 22 mars 2014. L’homme d’affaires révélera par la suite : « Me Abdoulaye Wade a récupéré ses chèques ».
Alors qu’on n’a pas fini d’épiloguer sur cette affaire, rappellent nos confrères, Me Wade a accusé son ancienne ministre Ngoné Ndoye de l’avoir grugé. Par le biais de ses conseils, l’ancien président de la République porte plainte le 13 janvier 2014 contre l’ancienne maire de Rufisque-Est pour « complicité d’escroquerie » portant sur 2 milliards de FCfa. L’ancienne responsable libérale, aujourd’hui à l’APR, avait, en effet, recommandé à Wade le marabout et homme d’affaires Abdou Mangane pour qu’il puisse « récupérer » les 2,5 milliards déposés dans une banque dubaïote. Dans la correspondance transmise à ses conseils, l’ancien chef d’Etat écrit : « Je vous demande, en mon nom personnel, de porter plainte contre Abdou Mangane – citoyen sénégalais se disant homme d’affaires établi à Dubaï, mais en réalité marabout – pour manœuvres frauduleuses dans le but de susciter la confiance du requérant et se faire remettre par lui une somme de 5 millions de dollars Us (2,5 milliards FCfa) pour diverses dépenses et en détourner une partie à des fins personnelles, soit 2.645.730 euros (1.735.598.880 FCfa) et la dame Ngoné Ndoye, demeurant à la Cité Biagui, Yoff (Dakar-Sénégal) pour complicité d’escroquerie et d’abus de confiance portant sur la somme de 2.645.730 euro (1.735.598.880 FCfa) ». Cette affaire, qui avait fait les choux gras de la presse, sera vite enterrée. Puisque, selon des sources dignes de foi, Me Wade est finalement entré dans ses fonds. En toute discrétion.
1,3 milliard de Monaco
Quid du 1,3 milliard trouvé dans les comptes de Karim Wade à Monaco ? Cet argent, qui a été découvert par la Commission rogatoire désignée par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), a été l’objet d’une polémique entre les enquêteurs et Me Wade qui en réclame la propriété. Dans une correspondance adressée au Président Macky Sall, Me Wade indique que cette somme représenterait « le reste d’un don » que le Roi d’Arabie Saoudite lui avait fait. Selon toujours Wade, le Roi avait mis à sa disposition la somme de 10 millions de dollars (5 milliards FCfa), mais il avait demandé à son bienfaiteur de virer l’argent dans le compte de son fils, Karim Wade. Seulement, quelque temps après, Karim Wade a fait migrer, selon nos confrères, les fonds des Etats-Unis à Monaco.
Très en colères contre cette sortie de l’ex président du Conseil régional de Kaffrine, Babacar Gaye dimanche à l’émission Grand-Jury à la Rfm, d’anciens pontes du PDS ont décidé de prendre leur destin en main. Il s’agit de l’ex Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, de Baîla Wane(Lonase), de Modibo Diop(Aser) de Marie Thérese Diédhiou(Adepme) de Yaye Kane Gassame( ministre), Dr Safiètou Thiam( ministre de la santé), de Sophie Ndiaye(Ministre), de Sidy Faye-Dg Nca), Amadou Yoro Ndoaye(Dircab- Awa Gueye Kébé, Mamadou Wane, ancien premier adjoint au maire des Parcelles Assainies. Tout ce beau monde a été reçu hier lundi 24 novembre à 17 heures par Macky Sall. Tout a été bien passé. Et ces derniers comptent créer une association dénommée : « les amis de Macky Sall ».
Suite et pas fin du dossier Petro Tim, car après Me Abdoulaye Wade, c’est « Actions de Solidarité et de Soutien à Karim WADE » (ASS-KAW) dirigée par Hélène N’della Chaupin qui rue dans les brancards.
En effet, elle annonce dans un communiqué qu’ASS-KAW va demander l’ouverture d’une information judiciaire et poursuivre Aliou Sall en justice. Les raisons : « Jusqu’en 2000, il était mon voisin de chambre colocataire d’un loyer de 30.000 CFA dans une maison à Dieuppeul. Il peinait à payer son loyer. Aliou Sall ne pouvait même pas participer aux frais de nourriture, et bouffait à lui seul plus que toute la maisonnée réunie. A ce titre, je l’ai moi-même gracieusement nourri. Le plus difficile, c’est qu’Aliou ne pouvait même pas payer un lit pour son ex-femme et son nourrisson qui venait de naître, il les couchait par terre. Sa situation était insupportable et peinait beaucoup à voir. Il a fallu qu’on lui prête un lit blanc, transporté de Pikine. C’est moi qui ai aidé à monter le lit, et ce ne sont pas ses amis journalistes qui vont me contredire », rappelle Mme Chaupin.
Alors, exige la dame de ASS-KAW que Macky Sall nous dise comment il a osé faire de son frère un vulgaire prête nom détenteur de 30/° d’une société de recherche et d’exploitation de notre pétrole au Sénégal? ». Pour finir, elle annonce l’ouverture d’une information judiciaire contre le frère Sall…
iGFM – (Dakar) L’ancien Premier ministre Aminata Touré a qualifié la sortie de l’ancien président de la république, Me Abdoulaye Wade hier lors du meeting des Libéraux, de » de propos de meeting à ranger aux oubliettes ». Elle a aussi demandé à Me Wade de tenir son rang de personne de 3ème âge, en prodiguant des conseils. Elle s’exprimait ce samedi sur les ondes de la RFM.
Le 11 Novembre 2014, le Président de la République, par voie de correspondance, a invité le Président Abdoulaye Wade, son prédécesseur à la tête de l’Etat du Sénégal, à assister à l’ouverture du XVème Sommet de la Francophonie qui se tiendra à Dakar, les 29 et 30 Novembre 2014.
Répondant à cette invitation, le 15 Novembre 2014, le Président Abdoulaye Wade a opposé son refus de satisfaire à cette requête du Président Macky SALL. Celui – ci, fidèle à l’élégance et à la tradition Républicaines respectées par tous les Hommes d’Etat dignes de ce nom, a estimé devoir inviter l’ancien Président de la République, surtout que ce dernier, à 05 reprises, avait honoré de sa présence, au nom du Sénégal, les Sommets de la Francophonie tenus entre 2002 et 2010.
Le Secrétariat Exécutif National (SEN) de l’Alliance Pour la République prend acte de ce refus, non sans relever que pour la circonstance, Me Abdoulaye Wade s’est plus préoccupé du sort de son fils, que d’adopter sa posture d’ancien Président de la République du Sénégal soucieux des intérêts supérieurs de notre pays.
Se prononçant sur une affaire pendante devant la Justice, se voulant Juge et Partie, Me Abdoulaye Wade confirme, de manière on ne peut plus limpide, que la dévolution dynastique du pouvoir, était bien l’Axe de son Programme Politique durant ses dernières années de règne. En décidant d’oublier que des milliers de jeunes, fils de braves Sénégalais, parfois au prix d’innombrables sacrifices, l’avaient accompagné dans sa marche, puis dans la conquête du pouvoir, Me Wade est à la limite de la fixation obsessionnelle.
Autrement dit, c’est exclusivement, au nom et pour son fils, comme dans les vieilles sagas et épopées monarchiques, que Wade s’active et mobilise.
Pour leur part, les Forces patriotiques, démocratiques et républicaines qui se sont toujours battues pour que soit sauf l’honneur de la République et de l’Etat de Droit, veilleront à ce que les Libertés Publiques soient garanties et que la stabilité de notre pays, le maintien de la cohésion de notre nation et la sécurité des biens et des personnes, soient assurés.
Fait à Dakar, le 19 Novembre 2014 Le secrétariat exécutif national de l’Alliance pour la République
Pourquoi le pouvoir rend « bête » au point d’oublier les valeurs essentielles qui régissent notre société ? La dernière sortie de Seydou Guèye, porte-parole de l’Alliance pour la république (Apr), illustre à merveille les ravages du pouvoir sur la conscience humaine. Commentant le refus de Wade à l’invitation de Macky Sall pour le sommet de la Francophonie, Seydou Gueye déballe : « En rejetant la lettre d’invitation que lui a adressé le président Macky Sall, l’ancien Président, Abdoulaye Wade, a réagi en simple père de famille et en simple citoyen et c’est dommage qu’il ne comprenne pas son rôle et sa place. Ce n’est pas parce que son fils a maille à partir avec la justice que notre pays est une non démocratie. C’est justement parce que la justice est souveraine et indépendante et son fils est un justiciable comme tout le monde que nous sommes une démocratie ». Seydou Gueye est-il normal ?
Il ose parler de justice souveraine et indépendante. Un procureur viré en plein procès après avoir produit une accusation de 47000 pages…Cette même justice qui bloque des dossiers sur instructions du président de la République…Cette justice à deux vitesses qui innocente des politiciens qui rejoignent le camp présidentiel et poursuit les opposants…Et c’est cette même justice qui enlève l’immunité parlementaire de trois députés opposants et les interdit de sortir du territoire…
Et Seydou Gueye accepterait-il de s’asseoir à la même table que le bourreau de sa famille ? Serait-il prêt à saluer et embrasser celui qui met son fils en prison sans raison ? Si Seydou Gueye accepte de le faire, c’est qu’il n’est pas un père de famille…C’est un sanguinaire… Sidy Niang pour xibaaru.com
La Convergence des cadres«Bokk gis gis» crache du feu sur le pouvoir. Les ouailles de Pape Diop «dénoncent avec vigueur» ce qu’il qualifie de «jeu du pouvoir politique vis-à-vis des libertés fondamentales consacrées par notre Constitution». Selon eux, «la mesure d’interdiction du meeting du Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr), puis autorisée sous le poids de la pression populaire et de l’indignation collective, témoigne, à suffisance, de la duplicité des autorités et de leur mépris quant au respect des principes de la liberté de réunion et d’expression en démocratie». Et forts de ce constat, les cadres de Pape Diop annoncent qu’ils vont «participer activement à ce meeting politique». Ils invitent «toutes les forces éprises de démocratie et de liberté à soutenir ce meeting pour le triomphe des valeurs qui ont toujours honoré (le Sunugaal)».
Car cette manifestation, disent-ils, «constituera un moment fort d’expression des revendications populaires et sociales contre l’arbitraire et l’ingérence de l’exécutif dans la marche de la justice, la cherté de la vie, les pénuries d’eau potable, les délestages intempestifs d’électricité, l’opacité dans la passation des marchés publics et la marginalisation du secteur privé national dans la mise en œuvre du Plan (Sunugaal) émergent (Pse)». Ce meeting est aussi, à les en croire, «l’occasion de fédérer toutes les sensibilités libérales de l’opposition autour du leader charismatique, Me (Wax waxeet Wade)». Cependant la Convergence des cadres de Bgg qui «réaffirme son ancrage à la famille libérale» n’en précise pas moins être «favorable à toute idée de retrouvailles autour du Président Pape Diop».
Le résponsable politique de l’AFP de Guédiawaye l’a annoncé à Linguère où il était en visite le week-end dernier. Malick Gackou en a profité pour rencontrer tous les responsables locaux du parti pour leur faire part de sa volonté de se présenter à l’élection présidentielle de 2017. Il a, à cette occasion, reçu Mame Ngoné Dioum , présidente départementale des femmes de l’AFP de Linguère, Lamine Ndiaye le responsable du parti à Dahra et Babacar Gaye le coordonnateur départemental de l’AFP. Pour l’heure Malick Gackou est en discussion avec toutes les forces vives en vue de recueillir leurs avis sur la question avant d’officialiser sa candidature Avec Senenews
La capitale du N’diambour s’apprête à recevoir le 3 décembre prochain plus de 50 journalistes de la presse nationale et internationale pour les besoins de la couverture de la visite du président Abdou Diouf. la révélation en a été faite mardi par l’adjoint au maire de Louga, Mr Ismaila M’bengue Fall qui faisait le point sur les préparatifs de la visite prochaine du président Abdou Diouf. A cette occasion, Mr Fall a fait remarquer que toutes les dispositions nécessaires ont été prises par le comité d’organisation, pour que la couverture médiatique tant nationale qu’internationale de l’événement soit effective et ceci dans de bonnes conditions. Parlant, d’autre part, du programme des manifestations prévues, il a indiqué qu’en dehors du cachet officiel protocolaire des manifestations folkloriques artistiques et culturelles inscrites au menu pour l’animation et l’ambiance de la cérémonie, le président DIOUF rendra visite à ses parents à la maison familiale, avant d’aller certainement se recueillir sur la tombe de sa maman au cimetière PERRON de LOUGA.
Correspondance Régionale de M’bargou Diop, journaliste.
Sortis ragaillardis des confrontations avec les autres inculpés et témoins, Aïda Ndiongue, Aziz Diop et Amadou Ndiaye n’ont pas traîné les pieds pour déposer une nouvelle demande de liberté provisoire. C’est hier que la requête a été déposée sur la table du juge d’instruction du deuxième cabinet.
Dans les premières requêtes déposées devant le magistrat instructeur, Aïda Ndiongue, Aziz Diop et Amadou Ndiaye avaient soulevé comme motif des contestations sérieuses, mais également les biens de l’ancienne mairesse des Hlm qui ont été saisis. Mais, cela n’avait convaincu ni le juge Samba Sall, ni la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar qui avait opposé un niet catégorique.
En fait, l’obstacle majeur semblait être la confrontation programmée par le juge d’instruction. Ainsi, « cela étant fait, rien ne s’oppose maintenant à ce que l’on dépose une demande de liberté provisoire d’autant que les déclarations sorties des confrontations nous sont favorables », confie une source proche des avocats de Mme Ndiongue au journal l’As de ce jeudi parcouru par senego.
Pour la publication des mémoires de Abdou Diouf et le tollé qu’il a soulevé, Amadou Tidiane Wone, directeur de cabinet du président Abdoulaye Wade estime que ce sont les vieux démons du fameux congrès sans débat qui refont surface.
«Nous pensons que le temps de solder les comptes du congrès sans débat de 1996 est venu. Nous pensons également que beaucoup de non-dits sur la participation d’un certain nombre partis de gauche à des gouvernements de Diouf commencent à apparaître, commencent à voir beaucoup de masques tomber ».
La Nouvelle gagnante du prix découvertes RFI 2014, est l’invitée de votre émission préférée, elle nous parle de son enfance, de ses parents ect …
Elle décortique le single qui cartonne « Femme d’affaires » après y avoir travaillé pendant 18 mois…
Elle cite les ténors de la musique Sénégalaise qu’elle a accompagné dans leur nouvel album, comme Waly Seck , Viviane Ndour, Idrissa Diop, Yoro Ndiaye ect ….
Et Pour terminer Maréma était sur qu’elle va remporter ce prix qui lui est très cher, et enfin elle est la première Sénégalaise à gagner ce lauréats.
Le porte-parole du Parti démocratique sénégalais s’offusque du non-lieu prononcé par le doyen juges contre Awa Ndiaye et consorts dans l’affaire de la surfacturation au ministère de la Femme et de la Famille. Babacar Gaye dénonce une justice à deux vitesses sous la coupe de l’exécutif. « Cette justice tant décriée est une justice dirigée contre les adversaires politique. Elle a une démarche sélective. Elle n’est pas à égale distance des citoyens. Ceux qui sont restés au Pds sont traqués, poursuivis, vilipendés. Alors que certains de nos frères et sœurs de parti, qui ont choisi le chemin de la transhumance, ont bénéficié de la mansuétude de cette même justice », s’indigne Babacar Gaye dans L’Obs. D’ailleurs, il en veut pour preuve la sortie du Président Macky Sall dans laquelle il affirmait qu’il a sciemment gardé des dossiers contre d’anciens dignitaires du régime de Me Abdoulaye Wade.
Comme si Macky avait besoin d’un autre sabotage sur son sommet. Les deux ex-présidents tiennent le haut du pavé, l’un pour le meeting grandiose qu’il prépare, l’autre pour avoir lâché ce bouquin qui pue la chasse au fric à quelques jours du sommet de la francophonie qui devrait consacrer sa retraite tant attendue. Un demi-siècle en effet qu’il traine sa nonchalance de girafe dans les palais. Diouf, chassez le naturel, il revient au galop ! L’homme est tout sauf un grand, pas en terme de morphologie bien sûr mais dans sa conduite. Il a fait trainer le Sénégal, fait perdre beaucoup de temps à notre pays…le voilà au moment où il devait se taire, il ouvre sa bouche pour profiter de la médiatisation du sommet pour vendre des livres et alourdir davantage la poche familiale. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a raté sa sortie et ouvre la possibilité à ses collaborateurs d’hier de nous rappeler qu’il n’est pas toujours lucide, passant le plus clair de son temps dans les bras de Bacchus ! Bon vent Petit Sieur Diouf !
A quelques jours du Sommet de la Francophonie qui se tiendra à Dakar les 29 et 30 novembre, les services secrets français ont envahi les différents coins et recoins de Dakar et de ses banlieues. Figurez que ces hommes du pays de Hollande parlent le wolof, le Toucouleur, le Diola, le Serer et même le Socé, l’arabe, l’anglais, l’italien, et bien sur le français. Ils sont sénégalais de teint mais français de nationalité et espions au service du colon Hollande Ils sont présents partout et à toute heure dans la capitale sénégalaise. Ils prennent la température de Dakar dans les cars rapides, bus tata, taxis, gargotes, chawarmas, tangana, pâtisseries, restaurants, grand place, marchés et même sur les terrains de foot ou s’entraînent les équipes de navetanes. Ces experts en sécurité surveillent comme du lait sur le feu sur le Sénégal qui doit accueillir des Chefs d’état et de délégation
Il faut avoir moins de mémoire pour savoir que l’ex Président Abdou Diouf est le seul président qui n’a pas construit un seul édifice au Sénégal. Même Macky qui a fait deux et demi vient de faire sortir un centre de conférence international, celui de Diamniadio. Mais Diouf avec ses 10 ans à la primature et ses 20 ans à la présidence n’a jamais construit un bâtiment ou une route. sanslimitesn demande aux Sénégalais de montrer un seul édifice construit par Diouf. Les routes nationales, celles que l’on nomme les RN ont été faites par Senghor qui a utilisé les anciennes pistes de productions des colons pour construire ces routes. Senghor a érigé le Théâtre Daniel Sorano. Senghor a construit la Maison Douta Seck : normal puisque Senghor était culturel. Mais le plus grand bien que Senghor a fait au Sénégal, ce sont les chancelleries qu’il a achetées pour le Sénégal à l’extérieur. C’est pour cela que les ambassades et consulats du Sénégal à l’extérieur appartiennent au Sénégal… Wade n’est pas besoin d’être raconté. Ses réalisations sont visibles, palpables et utiles. Autoroutes, routes, ponts, monuments, places, cités…Tous les Sénégalais savent que Wade est un grand bâtisseur. Et Macky suit ses traces. Dès son arrivée, le seul président né après les indépendances, fait du Wade. Il veut égaler son mentor et sa référence : il veut construire…Et il est en chemin. Mais Diouf, qu’a-t-il fait ? Le pont Sénégal 92 qui est en train de s’effondrer ? Comment un président qui a fait 10 ans de primature et 20 ans de présidence n’a réalisé qu’un seul pont (et encore avec le financement de l’OCI) qui n’a même pas fait 25 ans. Et c’est cet homme qui ose venir faire la morale au Sénégal. Cet homme qui n’a jamais vu une facture de la Senelec…Car le Sénégal a tout fait pour lui et tout payé pour lui. Diouf n’a jamais payé de loyer. Diouf n’a jamais payé de factures (Eau et Electricité). Le Sénégal a tout fait pour lui. Mais qu’a-t-il fait pour le Sénégal ? Il a préféré servir la…France.
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Les déclarations de Abdoulaye Wade au meeting du 21 novembre dernier continuent à alimenter les débats. Au tour de Mansour Sy Djamil, leader de Bës du Niak d’apporter la réplique au pape du Sopi. Dans une interview accordée au journal Le Populaire le marabout politicien a fait savoir à l’ancien président que « Macky Sall a été élu, bien élu et mieux élu que lui ». 
