Accueil Blog Page 242

Sonko brutalisé Cheikh Oumar Talla Charge le Macky et alerte “ Sunu Maytou woul Rewmi dinaa…”(Vidéo)

Sonko brutalisé Cheikh Oumar Talla Charge le Macky et alerte “ Sunu Maytou woul Rewmi dinaa…”(Vidéo)

« Gouvernement inactif » : Un responsable de l’APR demande à Macky Sall de remanier son équipe

Macky Sall
Macky Sall

L’annonce du retour du poste de Premier Ministre avait suscité beaucoup d’espoir chez les Sénégalais. Mais trois mois après les difficultés quotidiennes se multiplient et le gouvernement de combat tarde à étre au front. Nourou NIANG, membre fondateur du parti a écrit à une lettre au Président de la République dans laquelle il demande à son mentor Macky Sall de nettoyer son entourage et son équipe gouvernementale.

« Son Excellence, je vous adresse cette missive en vous sollicitant très prochainement un remaniement du gouvernement pour plusieurs raisons. Nous ressentons jusque là un gouvernement inactif et dans quasi tous les secteurs. Mais également beaucoup de défaillances que je ne saurais énumérer dans une lettre ouverte », déplore Nourou Niang, responsable de la mouvance Présidentielle à Grand Yoff.

Il ajoute : « À cet effet, par la grâce de Dieu et pour tout ce qui nous lie, je vous prie très solennellement qu’on ressente mieux la présence des jeunes dans ce prochain gouvernement. Ainsi, je renouvelle encore une fois mon engagement et ma collaboration loyale auprès de vous. »

Plus de 91 mille personnes en temps réel : Ousmane Sonko fait exploser l’audimat

« Quand Sonko est attaqué, il tient le haut du pavé. S’il attaque, il tient le haut du pavé. Ses adversaires doivent faire attention parce qu’ils sont en train de le propulser comme une fusée » ! L’analyste politique, Babacar Justin Ndiaye n’avait pas du tout tort en tenant ces propos en 2018, puisque la fusée politique, Ousmane Sonko a atteint aujourd’hui, cinq ans après, sa vitesse de croisière.

En plus de drainer des foules monstres lors de ses meetings (notamment à Keur Massar et aux Parcelles Assainies), celui qu’on caricaturait de « candidat des réseaux sociaux », arrivé troisième à la présidentielle de 2019 avec plus 687 000 voix (soit 15% des suffrages), Ousmane Sonko fait également exploser l’audimat sur la toile.

Lors de sa sortie de ce lundi 20 mars 2023, le leader de Pastef a démontré, une fois de plus, qu’il fait le buzz sur les réseaux sociaux. Malgré l’heure tardive (il s’est prononcé à 23h45mn), plus de 91 000 personnes suivaient en temps réel sa déclaration.

Une audience qui prouve à suffisance, le virtuose politico-médiatique qu’est devenu l’ancien inspecteur des domaines radié de la fonction publique en 2016.

3e mandat : Les Etats-Unis disent NON à Macky

Après Macron qui a déconseillé à Macky Sall de tenter un 3e mandat, c’est au tour du Département d’Etat américain de s’opposer à une troisième candidature du chef de l’Etat sénégalais.

Dans son rapport 2022 sur les droits humains au Sénégal, le Département d’Etat américain qui se veut formel sur une éventuelle 3e candidature de Macky Sall, souligne qu’en 2019, Macky a été réélu pour un « second mandat de 5 ans ».

Cette mise au point rapporte Walfadjri, vient contredire la thèse de Macky Sall et de ses partisans qui théorisent un deuxième quinquennat.

Dans un entretien avec le journal français L’Express, le chef de l’Etat a tranché le débat sur sa troisième candidature. Interrogé sur ce sujet, le président a répondu qu’il a le droit de se présenter.

« Sur le plan juridique, le débat est tranché depuis longtemps. J’ai été élu en 2012 pour un mandat de sept ans. En 2016, j’ai proposé le passage au quinquennat et suggéré d’appliquer cette réduction à mon mandat en cours. Avant de soumettre ce choix au référendum, nous avons consulté le Conseil constitutionnel. Ce dernier a estimé que mon premier mandat était intangible et donc qu’il était hors de portée de la réforme. La question juridique est donc réglée. Maintenant, dois-je me porter candidat pour un troisième mandat ou non ? C’est un débat politique, je l’admets. »

Vidéo-Liquide jetée sur son visage: Sonko lâche une info de taille sur des prélèvements envoyés à l’étranger

Liquide jetée sur son visage: Sonko lâche une info de taille sur des prélèvements envoyés à l’étranger

Les dessous de la rencontre entre Macky Sall et la nouvelle patronne de la Banque mondiale au Sénégal

Le Président Macky Sall s’est entretenu, lundi, avec le Vice-Président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Ousmane Diagana est venu présenter au Chef de l’État la nouvelle directrice des opérations de la Banque mondiale au Sénégal.
Cette visite de la japonaise Keiko Miwa s’inscrit dans une dynamique de renforcement de la coopération et du partenariat avec le Sénégal.
Les secteurs ciblés sont l’agriculture et les infrastructures.

Vidéo-Arrestation sur les posts Facebook: Sonko met en garde les Patriotes “ Bayilén di bind Ay….”

Arrestation sur les posts Facebook: Sonko met en garde les Patriotes “ Bayilén di bind Ay….”

Rencontre Tony Blair-Macky Sall

Tony Blair a été reçu cet après-midi par le président de la République, Macky Sall. L’ancien Premier ministre britannique compte accompagner le processus de croissance économique du Sénégal sur la voie de l’émergence, à travers, Tony Blair Institute for Global Change.
L’audience a également été l’occasion pour l’ancien Premier ministre britannique de magnifier les progrès du Sénégal, en mettant l’accent sur la coopération dans le domaine de l’agriculture et l’augmentation des investissements.

Dernière minute- Ousmane Sonko annonce une importante déclaration.

Sonko
Sonko

Mes chers compatriotes,

Nous vous donnons rendez-vous dans un instant pour une importante déclaration a écrit le leader de Pastef

Vidéo-Xoulo bou tang en plein direct entre élément Barth et un cadre de l’APR » soma waxaté… »

Xoulo bou tang en plein direct entre élément Barth et un cadre de l’APR » soma waxaté… »

(Vidéo) 3 eme Mandat Cheikh O Talla brûle le discours de Macky “ So Fogué ni douniou…”

Cheikh O Talla brûle le discours de Macky
Cheikh O Talla brûle le discours de Macky

Manifestants interpellés à Dakar : Me Khoureyssi Ba donne des nouvelles des 21 personnes arrêtées

D’après Me Khoureyssi Ba, les interpellés des récents événements de Dakar sont en train d’être édifiés sur leur sort.

« Le doyen des juges procède en ce moment à l’inculpation de 21 personnes réparties en deux dossiers (numéro 11/23 : Assane Sall et Serigne Moda Drame, et numéro 10/23 : Ousseynou Ndiaye, Yarga Sy, Babacar Baldé, Elimane Mouhamadou Salif Thiello et 15 autres). Le juge Mamadou Seck du 2e cabinet hérite de deux dossiers polarisant 40 personnes dont l’inculpation va attendre demain, faute de greffier », a détaillé l’avocat dans un post.

Il ne manque pas d’ajouter que plus de 100 dossiers seront répartis entre les 3e et 7e cabinets d’instruction.

« L’article 80 du Code pénal a été visé par le procureur qui a requis, en outre, le mandat de dépôt pour l’ensemble des inculpés. Retour de parquet ordonné pour le reste des manifestants. Quant aux mineurs en provenance du commissariat des Parcelles-Assainies, ils vont comparaître devant le tribunal pour enfants le vendredi. Cheikh Oumar Diagne et Karim Guèye Xrum Xaax sont également de retour de parquet, dans l’attente de la désignation d’un cabinet pour instruire leur dossier », explique la robe noire.

Air Sénégal va porter plainte contre Airbus

Air Sénégal
Air Sénégal

Air Sénégal et Air Tanzania sont confrontées, depuis plusieurs mois, à des problèmes concernant leur flotte d’Airbus A 220-300. Ces problèmes ont affecté les réseaux des deux compagnies. L’indisponibilité opérationnelle de l’A 220-300, le manque de fiabilité et d’efficacité, en plus des retards dans les vols, ont déclenché une série de complications pour les deux compagnies.

Le préjudice est énorme et les compagnies ne comptent pas se laisser faire. Air Sénégal et Air Tanzania envisagent ainsi une action commune contre le fabricant motoriste des avions Airbus A 220-300 qui sont cloués au sol depuis plusieurs mois, pour des problèmes techniques, rapporte L’Observateur.

Les deux compagnies n’écartent pas de saisir le Tribunal arbitral, si le fabricant de l’Airbus refuse de coopérer.

(Vidéo) Le gros coup de gueule de Cheikh Omar Talla sur le Jeune tué à Ziguinchor et la Santé de Sonko

Cheikh Omar Talla sur le Jeune tué à Ziguinchor
Cheikh Omar Talla sur le Jeune tué à Ziguinchor

(Vidéo) Les militaires invalides arrêtés reviennent sur les faits “ Dama bourlé dem Si Macky, Wa GIGN .”

militaires invalides
militaires invalides

Présidentielle de 2024 : Cheikh Niass, PDG de Walf, sera candidat si…

Cheikh Niass, PDG de Walf
Cheikh Niass, PDG de Walf

Le groupe Wal fadjri a organisé un sit-in ce dimanche devant son siège à Front de terre. Ce rassemblement qui a attiré une foule immense avait pour but d’appeler à la libération du chroniqueur judiciaire de Walf TV Pape Ndiaye et à l’arrêt de l’«acharnement» dont serait victime le maison de presse fondée par Sidy Lamine Niass.

Le PDG du groupe, Cheikh Niass, a profité de l’occasion pour annoncer qu’il pourrait investir l’arène politique «pour mettre un terme à la violation de la liberté d’expression» au Sénégal. Mieux, il n’écarte pas de se présenter à la présidentielle de 2024, «si jamais ce sit-in du 19 mars 2023 n’a pas pour effet la libération immédiate de Pape Ndiaye et l’arrêt du tout acharnement envers Walf».

Dans des propos rapportés par Walf Quotidien, le quotidien d’information générale de son groupe, Cheikh Niass martèle : «Puisqu’à la fin de cette année 2023, j’aurais 35 ans, l’âge requis par la Constitution, je pourrais, par conséquent, me présenter et devenir président de la République du Sénégal pour mettre fin à toutes ces injustices envers les journalistes et les groupes de presse en général.»

Pape Ndiaye a été placé sous mandat de dépôt pour diffusion de fausses nouvelles et outrage à magistrats, notamment. Il avait déclaré sur le plateau de Walf TV, entre autres, que dix-neuf substituts du procureur s’étaient opposés au renvoi en chambre criminelle de l’affaire de viol opposant Ousmane Sonko à Adji Sarr.

Meeting de Ndiaffate : Comment Pape Mademba Bitéye. et Cie ont sauvé les meubles face aux dissidents

Mademba Bitéye et Cie
Mademba Bitéye et Cie

La coalition Benno Bokk Yakaar de la région de Kaolack a tenu un méga meeting d’investiture à Ndiaffate, département, ce dimanche. Miné par les dissidences et autres batailles de positionnement, le rassemblement allait virer au fiasco n’eut été l’apport du mouvement Kaolack sur les rampes de l’émergence (KREM) du directeur général de la société nationale d’électricité (Senelec) Pape Mademba Bitéye.

« Malgré le boycott et le sabotage contre son meeting tenu au stade Lamine Guèye de Kaolack, orchestrés par certains ténors de la mouvance présidentielle en perte de vitesse à force d’accumuler des défaites électorales, Pape Mademba Bitèye a mis la main à la pâte pour une réussite de l’initiative  » a révélé Cheikh Ibrahima Diallo du parti justice et Développement ( PJD).

Selon le chef religieux, le directeur général de la Senelec a mis 20 millions de francs Cfa sur la table des organisateurs. En plus de cet apport financier, il a mobilisé tous les militants du mouvement KREM de la région de Kaolack pour accueillir l’émissaire du président Macky Sall, en l’occurrence le premier ministre Amadou Ba.

 » Quand la médiocrité veut guider les pas des valeureux aux esprits éclairés, la cacophonie plombe l’élan de l’émergence, faute d’ingénierie, un simple soufflement du vent fait tout tomber avant l’arrivée de l’ouragan. Durant le meeting de Ndiaffate, seul Pape Demba Biteye a livré un discours fiable, qui fait rêver les masses et les incitent à renouveler un nouveau mandat au président Macky Sall », a-t-il conclu.

Kaolack : Amadou Ba à Macky Sall : « Nga Beugko dinga Beuré, Nga Bagnko Dinga Beuré » (Vidéo)

Amadou Ba
Amadou Ba

Le Premier ministre Amadou Ba a pris part ce weekend au meeting régional de Benno Bokk Yaakaar à Kaolack dans la localité de Ndiaffate. Et son mot à Macky s’est voulu tonifiant vers le scrutin de 2024.

Devant de très nombreux militants, Amadou Ba a réitéré sa fidélité au Président Macky Sall, salué la dynamique unitaire qui se profile dans les rangs de BBY avec les retrouvailles de Modou Ndiaye Rahma, Pape Malick Ndour, Benjelloume, Pape Demba Bitèye, entre autres responsables de la mouvance présidentielle et membres importants de la coalition Bby, dont les partis alliés, comme le Ps.

Répondant à la requête des Kaolackois qui exigent que le Président Macky Sall candidate en 2024, le Pm a fait savoir que cette exigence n’entrera pas dans l’oreille d’un sourd, car le Président Macky Sall sera candidat, qu’il le veuille ou pas.

« N’est-ce pas vous avez dit qu’il sera candidat et que vous êtes prêts pour 2024 ? Oui ! », a scandé la foule euphorique et déterminée à traduire en actes électoraux cette mobilisation unitaire. Le PM a fait savoir « qu’il le veuille ou pas, le Président Macky Sall sera candidat en 2024, conformément à votre volonté… »

(Vidéo) Mimi Touré tire encore sur le Pds « Yewwi Molén Yobalé, Wayé Niom Rék Douniou… »

Mimi Touré tire encore sur le Pds
Mimi Touré tire encore sur le Pds

Direct: Bougane apporte de nouvelles preuves pour enfoncer Mansour Faye .Regardez

Bougane apporte des preuves pour enfoncer Mansour Faye
Bougane apporte des preuves pour enfoncer Mansour Faye

« J’ai dit et je répète que si Pape Ndiaye … », Guy Marius Sagna répond à la polémique

Guy Marius Sagna
Guy Marius Sagna

Le député Guy Marius Sagna, accusé de diviser la presse nationale, répond à la polémique sur sa comparaison de l’affaire Pape Ndiaye de Walf et de Papis Diaw de GFM. Après la sortie des acteurs de la communication, le député a réitéré ses propos sur sa conception de traitement des organes de presse.

« Il y a un deux poids deux mesures inacceptable dans la manière dont la justice est rendue au Sénégal.

Pour illustrer mon propos, j’ai dit et je répète que si Pape Ndiaye du groupe walf était membre du groupe GFM il ne serait pas en prison. J’ajoute que la justice n’a pas traité Pape Ndiaye du groupe Walf comme elle a traité Ndiaga Ndour et Papis Diaw du groupe GFM.

Dire cela ne revient pas à critiquer le groupe GFM mais à critiquer la justice de notre pays particulièrement le président Macky Sall qui a fait de la justice un pouvoir croupion comme il l’a d’ailleurs fait pour l’assemblée nationale. Des pouvoirs croupions du présidentialisme néocolonial au service de Macky, de sa fratrie, de son parti et de sa 3e illégale et illégitime candidature.

Le danger n’est pas de montrer par des exemples précis le deux poids deux mesures de la justice selon qu’il s’agit d’un journaliste de tel groupe ou de tel autre groupe. Le danger est cette pratique de Macky Sall qui traite les journalistes selon leur ligne éditoriale mettant en danger tous les groupes de presse y compris ceux qui pensent ou dont on pense qu’ils bénéficient de ce « Kumba am ndey et de Kumba amul ndey »

Selon que vous serez puissant ou misérable les jugements de la cour vous rendront blanc ou noir disait le fabuliste. Selon que vous serez un journaliste de telle ligne éditoriale ou de telle autre ligne éditoriale Macky Sall vous enverra en prison où vous décernera un contrôle judiciaire. Cette justice qui est rendue selon la tête du client affecte aujourd’hui tous les citoyens sénégalais. C’est cela le danger. C’est cela qui menace tout le monde. C’est cela qu’il faut dénoncer. C’est cela qu’il faut combattre », a pesté Guy Marius Sagna
Free Pape Ndiaye !
GMS,

Commissariat des parcelles assainies : Alioune Tine dénonce la privation de nourriture aux détenus

Alioune Tine
Alioune Tine

Le fondateur du Think-Thank Afrikajom Center Alioune Tine s’est fendu d’un tweet, dimanche, pour dénoncer la privation de nourriture aux détenus du commissariat des Parcelles Assainies. 

« La privation de nourriture aux détenus est une violation des droits humains qui peut être considéré comme des mauvais traitements ou de la torture. Il faut immédiatement cesser ces pratiques« , a-t-il notamment tweeté.

Dans un tweet, samedi, le directeur exécutif annonce avoir été informé par des proches de manifestants détenus au commissariat des Parcelles Assainies que la police refuse de prendre la nourriture qui leur est apportée alors même que les commissariats disent qu’ils n’ont pas de budget pour leur nourriture.

Birama Thior 

Macky Sall parle enfin de l’affaire Hadjibou Soumaré : «Il s’agit d’un cas de diffamation…»

Macky Sall ,Hadjibou Soumaré
Macky Sall ,Hadjibou Soumaré

Les paragraphes de la  lettre polémique que l’ancien Premier ministre avait adressée au Président Macky Sall sont toujours décomptés. Ce qui l’explique, c’est cette sortie du président de la République qui donne sa version sur cette affaire aux analyses tranchées dans l’espace politique et même public. Pour le chef de l’Etat, ce n’est ni une question ni une interrogation de la part de l’ancien PM Hadjibou Soumaré. C’est plutôt, une accusation gratuite. « Là, il s’agit d’un cas de diffamation. Comment un individu peut-il insinuer gratuitement que le président de la République a versé 12 millions d’euros à Marine le Pen ? Dans ce courrier, il me demande si j’ai donné cet argent ; demain, certains diront que je l’ai fait. S’il possède la preuve d’un tel financement, qu’il la fournisse » déclare le Président Macky Sall dans un entretien accordé au groupe de média, « l’Express ».

Sans extrapoler sur le sujet, le Président Macky Sall estime qu ‘ « on ne peut pas lancer ainsi des accusations sans preuves, puis, lorsque la justice est saisie et effectue son travail, crier à la chasse aux opposants » une chose trop facile selon Macky Sall.

Incroyable : Oumar Sow plaide pour « la dissolution du Pastef… »

Yeumbeul Sud : Oumar Sow
Yeumbeul Sud : Oumar Sow

La Commune de Yeumbeul/Sud (dép.de Keur Massar) a renoué, ce week-end, avec la mobilisation des grands jours. Une cérémonie de financements octroyés aux femmes de Monsieur Oumar Sow, responsable politique APR dans la doté localité et, non moins, Conseiller spécial du Président de la République Macky Sall. Ainsi, l’Administratrice Générale du FONGIP, Madame Thérèse Faye Diouf, a sorti une enveloppe financière de 40 (quarante) millions de FCFA pour aider les femmes à s’autonomiser davantage. Un geste vivement salué et applaudi par M. Sow et les bénéficiaires de cette manne.

Occasion faisant le larron, l’ancien Coordonnateur de la COJER/ Gabon s’est aussi prêté au jeu de questions-réponses avec les journalistes. Revenant sur l’actualité politique nationale, il dira: « Ousmane Sonko est un ennemi de la paix sociale. Il est un perturbateur doublé d’un violeur patenté. Il ne dit jamais la vérité et cherche toujours à tromper son monde. Il sème, au quotidien, les graines de la discorde dans notre pays. Nous ne lui laisserons pas faire.

Ce que le Président Macky a fait pour le Sénégal tape à l’œil et, même, les aveugles le ressentent », lance-t-il avec verve. Le proche collaborateur du Chef de l’Etat, d’avertir:  » Trop, c’est trop. On a laissé Sonko et sa bande d’irresponsables et d’aigris trop faire. Ils sont à la solde de forces occultes et leur façon de faire le montre au jour le jour. Je demande au Ministre de l’Intérieur de dissoudre purement et simplement le parti Pastef car il a une idéologie aux antipodes de nos réalités, donc foncièrement anti-républicaines (ses réseaux, financements, ses discours martiaux, etc.) »

Rappelons que cette cérémonie a aussi permis à OSYS (Oumar Sow Yeumbeul/Sud) de faire une véritable démonstration de force avec ses militants et sympathisants.

“Amadou Sall sama kaw ladon tok” balance un soldat invalide du palais, Wayé Macky dafma..”

“Amadou Sall sama kaw ladon tok” balance un soldat invalide du palais, Wayé Macky dafma..”

Le Tourondo de Palla révèle « yagoul dra la yaye am décédé kou gooré lawone, Khalifa Sall mo niakkeu »(Vidéo)

Le Tourondo de Palla révèle « yagoul dra la yaye am d*écédé kou gooré lawon, Khalifa Sall mo niakkeu »

D*écés Palla ses sœurs inconsolables « Baye Fall lawon,di dox si social yagoul dioxéna Sentv 500mille (Vidéo)

D*écés Palla ses sœurs inconsolables « Baye Fall lawon,di dox si social yagoul dioxéna Sentv 500mille

Macky Sall: « Un individu ne peut pas bloquer Dakar, au seul prétexte qu’il est convoqué au Tribunal »

Émeutes à Dakar, guerre en Ukraine, Poutine et Françafrique. Dans un entretien exclusif à L’Express, le président du Sénégal livre ses quatre vérités.

Président du Sénégal depuis 2012, Macky Sall, 61 ans, est à la tête d’un pays en ébullition. A un an de la présidentielle, le chef de l’Etat n’exclut pas de se présenter à un troisième mandat tandis que son opposant Ousmane Sonko – poursuivi pour viols et diffamation – mobilise ses partisans dans la rue depuis deux ans. En 2021, des émeutes se sont soldées par la mort de 14 personnes. La semaine dernière, de nouveaux heurts ont éclaté à Dakar en marge des marches organisées par les supporters de Sonko contre la procédure judiciaire qui vise leur champion. Aux manettes d’un pays de 17 millions d’habitants, Macky Sall vient également de terminer son mandat d’un an à la présidence de l’Union africaine, marqué par la crise alimentaire liée à la guerre en Ukraine.

L’Express : Une vingtaine de pays africains – y compris le Sénégal – se sont abstenus d’exiger le retrait de l’armée russe d’Ukraine lors du vote des résolutions à l’ONU en mars 2022 et février 2023. Pourquoi ?

Macky Sall : Dès le premier jour de la guerre, les États africains ont su que la guerre aurait un impact direct sur la vie de leurs citoyens. Le continent est importateur net de blé, qui vient en majorité de Russie et d’Ukraine. L’Afrique est confrontée à une pénurie de plus 30 millions de tonnes de denrées alimentaires, notamment de blé, de maïs et de soja ! En outre, l’arrêt brutal de l’exportation des engrais a touché de plein fouet nos cultures locales : l’arachide, le mil, le coton. Voilà pourquoi, depuis le début, nous privilégions le dialogue avec l’Union européenne, les Etats-Unis, mais aussi avec la Russie et l’Ukraine. Il s’agit de maintenir les chaînes d’approvisionnement et de lever les contraintes sur les denrées alimentaires stratégiques.

Comment s’est déroulée votre rencontre avec Vladimir Poutine, le 3 juin à Sotchi ?

Notre échange a duré 3 heures et demie, où nous avons plaidé en faveur d’un accord sur les céréales. Vladimir Poutine était seul et, moi, j’étais accompagné du président de la Commission de l’Union africaine [et ancien Premier ministre du Tchad] Moussa Faki. Pour nous, il était impératif que le message de l’Afrique parvienne directement au président russe afin qu’il comprenne l’urgence de la situation dans notre continent où vivent 1,4 milliard d’habitants, dont certains menacés de famine.

Nous souhaitions aussi apporter un message de paix afin que les Russes essaient, avec les Ukrainiens, de conclure un cessez-le-feu. De cet entretien, je retiens une chose : tout ce que Poutine m’a dit s’est vérifié ultérieurement : un accord sur l’exportation des céréales par la mer Noire a bien été conclu, sous l’égide de la Turquie et les Nations Unies. Cette rencontre a eu une autre utilité : elle me permet aujourd’hui de faire passer des messages au Kremlin en faveur d’un retour à la paix.

Dans quel état d’esprit était-il ?

Il paraissait content de nous recevoir. Il est évident que le président russe a tout intérêt à séduire les États africains. Il nous a expliqué son point de vue sur le conflit en répétant la propagande connue, à savoir : cette guerre a débuté en 2014 ; elle a été provoquée par les Occidentaux et par l’avancée de l’OTAN ; le Donbass est un ancien territoire russe qui souhaite sa sécession. Il a ajouté que ce conflit était une guerre de civilisation entre l’Occident et la Russie.

Quel est le bilan de votre mandat à la tête de l’Union africaine, qui a coïncidé avec la guerre en Ukraine ?
Nous avançons sur la question de la représentation de l’Afrique dans les instances internationales. Notre continent, dont le PIB global équivaut à celui de la huitième économie mondiale, doit intégrer le G20, qui réunit les vingt premières puissances de la planète. J’ai plaidé en ce sens devant les dirigeants du G7, en juin dernier. La France a été la première à répondre favorablement. La Chine, la Russie et l’Arabie saoudite m’ont également réservé un accueil favorable.

En décembre 2022, le président américain Joe Biden a, à son tour, soutenu notre candidature. Et, dans la foulée, le Japon, la Turquie, le Royaume-Uni et l’Italie. Il ne reste qu’une poignée de pays à convaincre. C’est un pas important vers une autre réforme majeure, celle du Conseil de sécurité des Nations unies, où nous visons l’obtention de deux sièges permanents.

La société militaire privée russe Wagner, liée au Kremlin, étend son emprise en Afrique. Êtes-vous inquiet ?

Il faut examiner le contexte régional africain. Le terrorisme constitue une menace existentielle qui gagne l’ensemble du continent. Quand le Sénégal siégeait au Conseil de sécurité de l’ONU en tant que membre non-permanent en 2016-2017, nous n’avons eu de cesse de réclamer des mandats plus robustes [afin de combler les lacunes des opérations de maintien de la paix, NDLR], un financement et des équipements pour soutenir le combat contre le terrorisme en Afrique. Il en va de la responsabilité du Conseil de sécurité en matière de sécurité collective, inscrite au chapitre 7 de la Charte des Nations Unies.

En outre, toute menace sur l’Afrique, et le terrorisme en est assurément une, est une menace globale qui exige une réponse globale. Or, les opérations de maintien de la paix telles qu’elles fonctionnent actuellement sont inefficaces. C’est une doctrine dépassée et inadaptée à la lutte contre le terrorisme. J’ai réitéré ce plaidoyer lors de mon mandat à la tête de l’Union africaine ; hélas en vain.

En matière de lutte contre le terrorisme en Afrique, le système de sécurité collective ne fonctionne donc pas, et dans ce cas, pour les États menacés, c’est un peu le « sauve qui peut ». Chacun essaye de se défendre en fonction de ses moyens et de ce qu’il pense être la voie de son salut. C’est ce qui arrive progressivement dans certains pays africains. Quant à la pertinence et la légitimité de recourir à tel ou tel partenaire, ce n’est pas à moi de juger. Deux principes me l’empêchent : la souveraineté des États et la non-ingérence dans leurs affaires intérieures.

Le Sénégal est-il menacé par la progression du djihadisme ?

Absolument. Non seulement, notre voisinage immédiat est dangereux, mais nous savons qu’il existe des cellules dormantes sur notre propre territoire. N’oubliez pas que nous sommes membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui prévoit la libre circulation des personnes et des biens. Un individu peut donc se déplacer sans passeport dans 15 pays de la région. C’est un facteur de vulnérabilité. Mais nous ne restons pas les bras croisés. Nous musclons notre réponse militaire à la frontière du Mali et participons au désenclavement de cette zone frontalière qui manque de tout. Et cela, au moyen de programmes de développement communautaires qui apportent des services sociaux, de l’eau, de l’électricité, améliorent la voirie et renforcent l’employabilité des jeunes.

Au Sénégal, l’opposition est fortement mobilisée en soutien de son leader Ousmane Sonko, poursuivi dans une affaire de viols présumés et une autre de diffamation. Son camp accuse le pouvoir de vouloir l’écarter de la course à la présidentielle de février 2024. Votre commentaire ?

Dans un État de droit, un leader politique ne peut chercher à se soustraire à la loi en instrumentalisant la rue. Ce qui se passe n’est acceptable dans aucune démocratie. Un individu ne peut pas bloquer la capitale, Dakar, au seul prétexte qu’il est convoqué au tribunal. Si le Sénégal n’était pas une authentique démocratie, croyez- moi, son sort aurait été réglé depuis longtemps…

Craignez-vous des émeutes comme celles de mars 2021, qui avaient fait 14 morts ?

J’ignore ce qui peut se passer. Je ne suis pas devin. Mais une chose est sûre : ceux qui s’imaginent pouvoir intimider le pouvoir et bloquer la justice se bercent d’illusions. Chacun devra assumer ses responsabilités.

Serez-vous candidat à votre succession en février 2024 ?

Cette question m’a été posée des dizaines de fois. Dans mon camp, les gens se sont déjà positionnés pour m’investir comme candidat. Je n‘ai pas encore apporté ma réponse. J’ai un agenda, un travail à faire. Le moment venu, je ferai savoir ma position, d’abord à mes partisans, ensuite à la population sénégalaise.

La perspective d’un troisième mandat inquiète une partie de la société civile et certains de vos partenaires occidentaux…

Sur le plan juridique, le débat est tranché depuis longtemps. J’ai été élu en 2012 pour un mandat de sept ans. En 2016, j’ai proposé le passage au quinquennat et suggéré d’appliquer cette réduction à mon mandat en cours. Avant de soumettre ce choix au référendum, nous avons consulté le Conseil constitutionnel. Ce dernier a estimé que mon premier mandat était intangible et donc qu’il était hors de portée de la réforme. La question juridique est donc réglée. Maintenant, dois-je me porter candidat pour un troisième mandat ou non ? C’est un débat politique, je l’admets.

Dans votre autobiographie publiée avant la présidentielle de 2019, Le Sénégal au cœur, vous affirmiez briguer votre « deuxième et dernier mandat ». Direz-vous comme votre prédécesseur Abdoulaye Wade, en 2012 : « Ma waxoon waxeet » (Je l’ai dit, je me dédis) ?

Je ne me dédis pas. J’ai donné une opinion qui correspondait à ma conviction du moment. Celle-ci peut évoluer et les circonstances peuvent m’amener à changer de position. Nous sommes en politique. Mais pour l’instant, je n’ai pas déclaré ma candidature. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit.

Il se murmure qu’Emmanuel Macron a tenté de vous en dissuader…

Je ne vais pas faire état de mes conversations avec le président français devant la presse. Nous avons des discussions sur différents sujets, y compris celui-là. Il est libre d’avoir son opinion, d’exprimer des désirs, de faire part de sa volonté et, même, de prodiguer des conseils. Moi aussi, j’ai un point de vue personnel sur la politique qu’il mène.

Au classement de Reporters sans frontières sur la liberté de la presse, établi en 2022, le Sénégal perd 24 places. Quelle est votre explication ?

Ceux qui parlent d’un recul de la liberté de la presse au Sénégal ne font qu’écouter notre opposition, pour laquelle nous sommes la pire démocratie qui soit. Mais regardez le paysage médiatique du Sénégal : nous avons au moins une trentaine de quotidiens, aussi libres les uns que les autres. Il n’y a absolument aucune limitation sur la liberté de la presse. Cependant, il ne faut pas tout confondre : le journaliste arrêté récemment [Pape Ndiaye, chroniqueur à la télévision Wal Fadjri, NDLR] ne l’a pas été pour délit de presse, mais pour « diffusion de fausses nouvelles » [il avait mis en cause l’indépendance de la justice dans l’affaire Sonko, NDLR]. La justice sénégalaise est reconnue pour son impartialité.

L’ancien Premier ministre Cheikh Hadjibou Soumaré a également été inculpé en janvier pour « diffusion de fausses nouvelles », pour avoir demandé, dans une lettre ouverte, si vous aviez versé un don à Marine le Pen ?

Là, il s’agit d’un cas de diffamation. Comment un individu peut-il insinuer gratuitement que le président de la République a versé 12 millions d’euros à Marine le Pen ? Dans ce courrier, il me demande si j’ai donné cet argent ; demain, certains diront que je l’ai fait. S’il possède la preuve d’un tel financement, qu’il la fournisse ! L’on ne peut pas lancer ainsi des accusations sans preuves, puis, lorsque la justice est saisie et effectue son travail, crier à la chasse aux opposants. C’est trop facile.

La relation France-Afrique semble dans l’impasse. En plaidant pour un nouveau partenariat lors de son récent voyage sur le continent, Emmanuel Macron a-t-il trouvé le ton juste ?

Emmanuel Macron, qui constate le recul des intérêts français, cherche une voie pour bâtir une nouvelle relation de confiance avec l’Afrique. C’est légitime. Une chose me semble importante : il a insisté sur la nécessité de dépasser certains préjugés hérités du passé et de construire une relation d’égal à égal, en partenariat, car c’est aussi cela
la nouvelle donne en Afrique. Par ailleurs, il dit qu’il souhaite s’adresser directement aux citoyens et au secteur privé. C’est bien… mais il ne faut pas oublier que les États demeurent incontournables.

Vous faites-vous ici référence au sommet de Montpellier, en octobre dernier, qui s’est tenu avec les sociétés civiles africaines, mais sans les chefs d’Etat ?

Soyons clairs : les présidents africains n’ont pas apprécié ce format. Le chef de l’État français peut rencontrer la jeunesse africaine, cela ne pose aucun problème. Mais ce forum ne peut pas remplacer un sommet de chefs d’États élus qui représentent leurs pays. J’ai eu une discussion intéressante à ce sujet avec le président Macron. Tout cela est maintenant derrière nous et nous entretenons d’excellentes relations. Nous devons aller de l’avant avec la France et, plus largement, l’Europe. Nos deux continents sont voisins et ils ont beaucoup en partage. Ensemble, ils représentent près de 2 milliards d’habitants. Nous devons bâtir des synergies, mais sans considérer que l’Afrique est une quelconque « chasse gardée ». Ça, c’est terminé !

L’hostilité à l’égard de la politique française en Afrique est à son apogée. Comment l’expliquez-vous ?

Plusieurs facteurs expliquent ce « France bashing ». Les réseaux sociaux ont facilité la diffusion de messages négatifs, sur fond, parfois, de manipulations. La France doit donc mener un vrai travail d’information – et même de propagande – afin de contrecarrer ces clichés. Cela permettrait de faire connaître le vrai visage de sa coopération avec l’Afrique. Par ailleurs, certains griefs des militants hostiles à la politique française sont justifiés. Par exemple, il perdure une tendance naturelle, au Nord, à considérer que les Africains doivent faire ceci et pas cela. Ces derniers ne supportent plus ce paternalisme d’un autre temps. Nos citoyens considèrent à juste titre que soixante-dix ans après les Indépendances, l’on ne peut plus se comporter et agir comme si la décolonisation venait de prendre fin. Notre population est très jeune. Elle n’a pas connu cette époque. Elle aspire à être traitée en partenaire, sur un pied d’égalité.

Source : L’Express

Macky Sall : « ceux qui parlent d’un recul de la liberté de la presse ne font qu’écouter notre opposition »

Le Sénégal a perdu 24 places dans le classement de Reporters sans frontières sur la liberté de la presse, établi en 2022. Une étude qui conforte les dires de certains hommes politiques et hommes de médias qui parlent d' »un recul » de la liberté de la presse au Sénégal. Contrairement à ces derniers, le président de la République, Macky Sall, lui est convaincu qu' »Il n’y a absolument aucune limitation sur la liberté de la presse ». Selon lui, ceux qui disent qu’il y a un recul de la liberté de la presse « ne font qu’écouter l’opposition »

« Ceux qui parlent d’un recul de la liberté de la presse au Sénégal ne font qu’écouter notre opposition, pour laquelle nous sommes la pire démocratie qui soit. Mais regardez le paysage médiatique du Sénégal : nous avons au moins une trentaine de quotidiens, aussi libres les uns que les autres. Il n’y a absolument aucune limitation sur la liberté de la presse », a soutenu le chef de l’Etat sénégalais lors d’une interview avec l’Express. Fr.

« Cependant, a tenu à préciser Macky Sall, il ne faut pas tout confondre : le journaliste arrêté récemment [Pape Ndiaye, chroniqueur à la télévision Wal Fadjri, NDLR] ne l’a pas été pour délit de presse, mais pour « diffusion de fausses nouvelles » [il avait mis en cause l’indépendance de la justice dans l’affaire Sonko, NDLR]. La justice sénégalaise est reconnue pour son impartialité ».

Macky Sall affirme qu’il a le droit de se présenter en 2024 « le débat est tranché » (L’Express)

Macky Sall
Macky Sall

Le président sénégalais Macky Sall a donné une interview ce 20 mars 2023 au journal français L’Express que Senego a parcouru et dans laquelle il a abordé plusieurs sujets d’actualité. Il a notamment parlé de la Russie, de l’Union africaine et des récentes émeutes à Dakar.

Cependant, la question qui était dans tous les esprits était celle de sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. Le président a annoncé que la question n’était plus juridique car le problème avait été réglé. En substance, il a affirmé que le mandat qu’il a reçu en 2012 était hors de portée de la réforme constitutionnelle, ce qui lui permettrait de briguer un troisième mandat.

Interrogé sur sa candidature en 2024, le président Macky Sall a déclaré que cette question est répétitive: « Cette question m’a été posée des dizaines de fois. Dans mon camp, les gens se sont déjà positionnés pour m’investir comme candidat. Je n’ai pas encore apporté ma réponse. J’ai un agenda, un travail à faire. Le moment venu, je ferai savoir ma position, d’abord à mes partisans, ensuite à la population sénégalaise. » Une réponse évasive qui ne permet pas de savoir avec certitude si le président sera candidat ou non.

La perspective d’un troisième mandat inquiète une partie de la société civile et certains partenaires occidentaux du Sénégal. Interrogé sur ce sujet, le président a répondu qu’il a le droit de se présenter : « Sur le plan juridique, le débat est tranché depuis longtemps. J’ai été élu en 2012 pour un mandat de sept ans. En 2016, j’ai proposé le passage au quinquennat et suggéré d’appliquer cette réduction à mon mandat en cours. Avant de soumettre ce choix au référendum, nous avons consulté le Conseil constitutionnel. Ce dernier a estimé que mon premier mandat était intangible et donc qu’il était hors de portée de la réforme. La question juridique est donc réglée. Maintenant, dois-je me porter candidat pour un troisième mandat ou non ? C’est un débat politique, je l’admets.

Photos – Ce Dimanche 19 Mars le Premier ministre a présidé le Meeting régional BBY de Kaolack à Ndiaffate…

Le Premier ministre Amadou BA accompagné d’une très forte délégation composée du ministre d’état Abdoulaye Daouda Diallo, Directeur de cabinet du Président de la République, mr le ministre des Finances et du budget Moustapha Ba, mr le ministre d’état Mahmoud Saleh, coordonnateur de l’ APR, mr le ministre d’état Mbaye NDiaye directeur des structures de l’APR, mr le ministre d’état Augustin Tine, Mme le ministre Ndeye saly Dieng Présidente nationale des femmes de l’APR etc…
Dans son discours, le PM a salué au nom du Président de la République Macky SALL l’engagement et la détermination de tous les responsables de la coalition BBY du département.
Le PM a aussi transmis les messages d’encouragement et de félicitations du Président de la coalition BBY à tous les responsables, militants et sympathisants pour leur très forte mobilisation et la réussite totale du mega meeting.
Le PM est revenu sur les nombreuses réalisations du President de la République dans le Sine Saloum mais aussi à rendu un vibrant hommage au Président Moustapha Niasse parrain du mega meeting, un homme d’état très loyale qui a servi dignement son pays et à tous les valeureux fils du saloum qui font la fierté du sénégal.
Le PM a terminé son allocution par un message de mobilisation des troupes à tous les responsables et militants de BBY du département pour les échéances futures dans la paix et la cohésion sociale.

Macky Sall tance Sonko « Si le Sénégal n’était pas une démocratie authentique, son sort aurait été réglé depuis longtemps »

Dans un entretien avec le journal Français l’Express, le président de la république Macky Sall est revenu sur les derniers événements qui se sont déroulés au Sénégal dans le cadre politico-juridique.

A la question « Au Sénégal, l’opposition est fortement mobilisée en soutien de son leader Ousmane Sonko, poursuivi dans une affaire de viols présumés et une autre de diffamation. Son camp accuse le pouvoir de vouloir l’écarter de la course à la présidentielle de février 2024. Votre commentaire ? »

« Dans un Etat de droit, un leader politique ne peut chercher à se soustraire à la loi en instrumentalisant la rue. CE qui se passe n’est acceptable dans aucune démocratie. Un individu ne peut pas bloquer la capitale, Dakar, au seul prétexte qu’il est convoqué au tribunal. Si le Sénégal n’était pas une authentique démocratie, croyez-moi, son sort aurait été réglé depuis longtemps… », rétorque Macky Sall.

« J’ignore ce qui peut se passer. J ne suis pas devin. Mais une chose est sûre : ceux qui s’imaginent pouvoir intimider le pouvoir et bloquer la justice se bercent d’illusion. Chacun devra assumer ses responsabilités. », ajoute t-il.

Ce que « Xrum Xax » et Cheikh O. Diagne ont dit aux enquêteurs

Cheikh Oumar Diagne et Abdou Karim Gueye ont été arrêtés et placés en garde à vue. Devant les enquêteurs, ils se sont exprimés sur les faits qui leurs sont reprochés.

Lors de son audition, Cheikh Oumar Diagne a reconnu la paternité des propos en cause, après visualisation de la séquence de vidéo d’une durée d’une minute, rapporte Libération. Il précise n’avoir pas appelé à l’insurrection, mais plutôt en tant que citoyen et acteur politique, il veut lancer un message fort au Chef de l’Etat afin de parer à tout abus de pouvoirs de sa part.

Il a soutenu qu’il faisait appel au peuple sénégalais pour un rassemblement pacifique d’au moins un million de manifestants, pour exiger la démission du Président de la République. Et aussi, exiger la libération des détenus politiques et enfin réclamer justice pour toutes les agressions et meurtres commis depuis le mois de mars 2021.

Quant Abdou Karim Guèye, il a préféré garder le silence, informe le Journal. Il est poursuivi pour appel à l’insurrection, appel à la violence contre les institutions et atteinte à la sûreté de l’Etat.

DIC : Mis devant sa vidéo, ce que Cheikh Oumar Diagne a répondu aux enquêteurs

Ce dimanche, Cheikh Oumar Diagne a été arrêté chez lui par les éléments de la Division des investigations criminelles (Dic) puis placé en garde à vue. Il est poursuivi pour appel à l’insurrection, appel à la violence contre les institutions et atteinte à la sûreté de l’Etat, selon son avocat.

Lors de son audition, les enquêteurs ont diffusé une séquence vidéo de Cheikh Oumar Diagne. Vidéo qui serait à l’origine de son arrestation. Après avoir visualisé la vidéo, il a reconnu être l’auteur des propos dans la séquence, mais selon Libération, le mis en cause a nié le délit d’appel à l’insurrection.

Selon lui, il a voulu lancer un appel au chef de l’État contre tout abus de pouvoir, comme un citoyen sénégalais peut le faire. Il a aussi soutenu avoir lancé un appel au peuple sénégalais pour un rassemblement pacifique d’au moins 1 million de manifestants pour exiger non seulement la démission du Président Macky Sall mais aussi la libération des détenus politiques.

Meeting Bougane saboté «Antoine Felix moko def,bimou déssé 10mn lagn ko autorisé…98 milliard Mansour Faye motax niou… (vidéo)

Meeting Bougane saboté «Antoine Felix moko def,bimou déssé 10mn lagn ko autorisé…98 milliard Mansour Faye motax niou… (vidéo)

Mame Mbaye Sentv«nagn bayi Karim xrum xakk»@rrestation yi camera yi niolen di fégnal ak niouy Live

Mame Mbaye Sentv«nagn bayi Karim xrum xakk»@rrestation yi camera yi niolen di fégnal ak niouy Live