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2e retour de parquet pour Karim Xrum Xax et Cheikh Oumar Diagne

Cheikh Oumar Diagne et Abdou Karim Guèye Xrum Xax retournent encore au commissariat du Plateau. Ce, en attendant la désignation d’un juge, rapporte Les Echos.

Ils sont poursuivis pour les mêmes faits, c’est-à-dire appel à l’insurrection, appel à la violence contre les institutions et atteinte à la sureté de l’Etat.

Arrêtés ce dimanche, ils n’ont pas encore fait face à un juge d’instruction. Ils seront probablement fixés sur leur sort aujourd’hui.

Pour les autres interpellés, les 2ème,3ème et 7ème cabinets ont pris hier le relais et traité différents dossiers avec un total de 53 personnes à inculper.

Les 4 gros procès verbaux non encore traités seront répartis entre les autres cabinets du Tribunal de Grande Instance. Cette fois-ci il semble que l’on s’achemine vers la saisine de la totalité des juges d’instruction.

À noter que 4 mineurs à inculper au niveau du 2ème cabinet ont la possibilité d’éviter le placement sous mandat de dépôt, et de bénéficier ainsi d’un contrôle judiciaire.

Ce, à la condition qu’un civilement responsable se présente devant le juge Mamadou SECK et se fasse identifier comme un proche afin que le mineur puisse lui être confié.

Il s’agit des mineurs suivants, qui étaient en garde à vue au commissariat de police des Parcelles Assainies :

1- Ousmane DIALLO, 14 ans, né à Dakar, de Mamadou et Mariama DIALLO

2- Bouna GUÈYE, 15 ans, né à Dakar, de Cheikh et Adama DIALLO

3- Samba NDIAYE, 15 ans, né à Dakar, de Abou et Ramata NDIAYE

4- Chérif NIANG, 16 ans, né à Dakar, de Badou et Diakher MBAYE.

Après l’arrestation du Dr Babacar Niang : Me Patrick Kabou monte au créneau pour le respect du secret médical de Sonko

La clinique Suma Assistance, structure où a été interné Ousmane Sonko après les évènements du 16 mars dernier, est en pleine tempête. Le docteur Babacar Niang, patron de la clinique, a été mis aux arrêts, et le médecin qui a suivi Ousmane Sonko, durant son séjour, le Dr Ousmane Cissé, a été interrogé par les enquêteurs de la Sûreté urbaine. Ceux-ci semblent s’intéresser au traitement reçu par le maire de Ziguinchor afin de faire la lumière sur la supposée tentative « d’empoisonnement » que dénoncent les « Pastefiens ».

Une démarche que fustige Maître Patrick Kabou, avocat. « Quand on te dit que ça ne va pas sur tout ce qui concerne le respect des droits et libertés fondamentaux mais, en toute zénitude tu veux t’enfoncer encore plus », a-t-il écrit dans un texte. Avant d’enchaîner : « Maintenant, certains s’intéressent au traitement reçu par l’opposant sénégalais Monsieur Ousmane Sonko durant son hospitalisation dans une clinique privée ». L’avocat déplore le fait qu’on « s’intéresse au droit médical dans sa partie relative à la relation entre un médecin et son patient ». Pour Maître Kabou, « le secret médical ne parle pas à certains ».

Mamadou Fofana Sentv descend Dame Mbodji «politique léen té bayi sounou élève yi nguén di m@nifester lo» (vidéo)

Mamadou Fofana Sentv descend Dame Mbodji «politique léen té bayi sounou élève yi nguén di m@nifester lo» (vidéo)

Affaire Sonko le Directeur Suma arrêté « meussouma consulté Sonko mesoumako guiss xamouma dra si fébar am » (vidéo)

Affaire Sonko le Directeur Suma arrêté « meussouma consulté Sonko mesoumako guiss xamouma dra si fébar am » (vidéo)

Pourquoi Dr Babacar Niang, patron de Suma Assistance, a été interpellé par la gendarmerie…

Le propriétaire de Suma Assistance, la clinique où a été admis Ousmane Sonko, a été interpellé hier mardi à Médina Ndiathbé par la gendarmerie.

Le Dr Babacar Niang, propriétaire de Suma Assistance, a été interpellé hier mardi à Médina Niathbé par les gendarmes de la brigade de Pété. Ces derniers sont passés à l’acte à la faveur d’un avis de recherches et d’arrestation émis par la Sûreté urbaine (Su) de Dakar. Selon Libération, son interpellation est en lien avec l’hospitalisation d’Ousmane Sonko et la mort d’un proche de Bamba Fall lors des manifestations. Le maire de la Médina indiquait qu’une fois le blessé évacué à la Suma, il lui avait été demandé s’il était de Pastef avant sa prise en charge.

Instrumentalisation de la justice : Plus de cent intellectuels interpellent Macky Sall

Macky Sall
Macky Sall

Plus d’une centaine de professeurs d’universités, de journalistes, d’écrivains et même d’anciens ministres sont signataires d’un texte collectif dans lequel ils tirent la sonnette d’alarme face à une situation de plus en plus inquiétante. Outrés par l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques, Ils interpellent directement le chef de l’État Macky Sall « à prendre des mesures immédiates pour ramener le calme, assurer la paix sociale et s’éloigner de toutes les remises en cause de l’indépendance du pouvoir judiciaire ».

Seneweb vous propose l’intégralité de ce texte.

« TEXTE COLLECTIF:MACKY INTERPELLÉ

REVENIR À LA RAISON

Nous assistons au Sénégal à une continuelle escalade répressive qui préfigure de lendemains incertains. Il est de la responsabilité des intellectuels et de tous les citoyennes et citoyens de bonne volonté, vigies naturelles des libertés en péril, de prendre la défense des valeurs fondamentales dans un État de droit que sont : la liberté d’expression et de circulation, la liberté de manifester pacifiquement et de se rassembler, la liberté de proclamer son adhésion ou son opposition à des actes de gouvernance politique et sociale.

Sous ce rapport, nous constatons une violation flagrante, répétée et disproportionnée des droits des citoyens mais aussi la perpétuation d’un effort constant d’instrumentalisation politique du système judiciaire par l’administration du président Macky Sall.

Il est arrivé à tous les présidents de la République du Sénégal d’utiliser indûment la Justice à des fins politiques mais aucun d’eux ne l’a fait avec autant de véhémence et de brutalité que l’actuel chef de l’État.

Par-delà nos divergences et nos différences idéologiques, politiques ou culturelles, nous signataires de tous les pays, condamnons, fermement, les restrictions apportées à la liberté de mouvement des citoyens et à la continuelle instrumentalisation de la Justice au Sénégal.

Une menace réelle pèse sur la stabilité et la paix sociale du pays. Il est temps de revenir à l a raison.

Il est inacceptable :

-que les droits fondamentaux des citoyens soient bafoués sans suite,

-que la démocratie et l’exercice des libertés d’expression et de circulation soient confisqués,

-que les droits constitutionnels dans l’espace politique ne soient pas respectés -que la Justice soit instrumentalisée à souhait à des fins politiciennes.

Nous signataires, de cette présente déclaration, appelons le chef de l’État sénégalais à prendre des mesures immédiates pour ramener le calme, assurer la paix sociale et s’éloigner de toutes les remises en cause de l’indépendance du pouvoir judiciaire. »

Suma Assistance : les surprenantes déclarations du «médecin» de Sonko

Il est sur la photo. On le voit consultant Ousmane Sonko assis puis allongé sur une table de la clinique Suma Assistance où il est hospitalisé depuis les événements du 16 mars. Il se nomme Dr Ousmane Cissé. Ce neurologue de 39 ans officie à l’hôpital Fann.

Présenté comme le médecin traitant du leader de Pastef, il a été convoqué par la Sûreté urbaine (SU) dans le cadre de l’enquête sur l’état de santé de ce dernier. Mais ses déclarations, lors de son audition, n’ont pas permis aux enquêteurs d’être fixés. D’après Les Échos, Dr Cissé a précisé qu’il n’est pas le médecin traitant de Ousmane Sonko. Qu’il n’a pratiqué aucun acte médical sur lui et que, par conséquent, il ignore de quoi il souffrirait.

Le journal rapporte que la seule piste ouverte par le neurologue est que le président de Pastef serait suivi par une équipe de spécialistes. Cependant, les enquêteurs n’ont pas réussi à identifier les spécialistes en question. D’autant que tous les médecins de Suma Assistance interrogés dans le cadre de l’enquête ont déclaré n’avoir jamais eu accès à Ousmane Sonko, suivant ainsi les instructions du patron de la clinique privée, Dr Babacar Niang.

Ce dernier, qui faisait l’objet d’un avis de recherche, a été arrêté à Médina Ndiathbé.

Hospitalisation de Sonko : le patron de Suma, Docteur Babacar Niang, arrêté

L’hospitalisation de Ousmane Sonko à la clinique Suma Assistance connait un nouveau rebondissement. Babacar Niang, directeur de ladite clinique a été arrêté à Médina Ndiathbé par les éléments de la Sûreté urbaine, rapportent L’OBS et Le Quotidien.

Ce, suite à un avis de recherche et d’arrestation lancé par la police qui a été actionnée pour le convoquer et l’auditionner.

Ainsi, ajoute L’OBS, une convocation a été envoyée chez lui. Seulement docteur Niang n’était pas chez lui. Ainsi, un avis de recherche a été lancé et tous les brigades et commissariats ont été alertés et un système de filature mis en place.

C’est ainsi que les gendarmes de Pété l’ont aperçu Médina Ndiathbé. Le Quotidien informe que Docteur Babacar Niang avait confié le traitement de Ousmane Sonko à une équipe spéciale dont personne n’a vu la trace.

a été convoqué ce matin par la Brigade des affaires générales (Bag) de la DIC (Division des Investigations Criminelles). Ce suite à la plainte du ministre de la santé qui a saisi le procureur pour « propos diffamatoires de nature à porter le discrédit sur les efforts déployés dans la lutte contre le Covid. »

Vidéo-“nangouw ma kou guéné domou diambour bayi sa dom ci keur gui” les vérités de Thierno Bocoum à Sonko

“nangouw ma kou guéné domou diambour bayi sa dom ci keur gui” les vérités de Thierno Bocoum à Sonko

Vidéo-Affaire de 98 milliard: Thierno Bocoum appuie Bougane et brûle Mansour Faye “ Sunu Khaliss dina..”

Affaire de 98 milliard: Thierno Bocoum appuie Bougane et brûle Mansour Faye “ Sunu Khaliss dina..”

Vidéo-3em mandat, Thierno Bocoum disqualifie Macky Sall“dioxoul thieur sénégalais yi ndax… »

3em mandat, Thierno Bocoum disqualifie Macky Sall“dioxoul thieur sénégalais yi

La Commission des Musulmans du Sénégal (CMS) dévoile la date officielle du ramadan

Ramadan 2022
Ramadan 2022

C’est officiel La date du début du ramadan sera le jeudi 23 mars 2023 a annoncé la Commission des Musulmans du Sénégal.
(CMS)

« On doit se battre… »:Quand Thierno Bocoum appelait à descendre dans la rue pour faire face (VAR)

« On doit se battre et on va se battre pour qu’il ait du changement. Dans un pays, il faut que certains prennent leurs responsabilités, se sacrifient pour leur nation. Cela est inévitable… « avait appelé Thierno Bocoum.

L’ancien de rewmi d’ajouter : Les problèmes ne cesseront jamais tant qu’on agit pas. Toutes les générations se sont battues pourquoi pas nous pour faire changer les choses….

Pourquoi se confiner où rester derrière les claviers. Ce que nous devons faire, c’est rester débout et résister…

Dans un pays où les gens n’ont plus de confiance à la justice sous les ordres du régime où de quelqu’un , C’est qu’il y a problèmes.

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Vidéo-Ch O Talla tire sur le Conseil Constitutionnel « Macky dey dugal but hors-jeux gnou toog diko… »

Ch O Talla tire sur le Conseil Constitutionnel « Macky dey dugal but hors-jeux gnou toog diko seetan »

Urgent- Un des Maires du parti Pastef de Ousmane Sonko risque d’être arrêté

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

A travers un post, Bilal Diatta, le maire de Keur Massar Sud, se dit visé par le président Macky Sall qui, selon lui, a déployé un énorme dispositif de blindés de la gendarmerie à Keur Massar pour procéder à son arrestation.
Ainsi, l’édile annonce un live imminent.

Nous y reviendrons

Tensions sociopolitiques : Benno Bokk Yaakaar apporte la réplique à Sonko et Cie

La coalition Benno Bokk Yaakaar a tenu une conférence de presse, ce mardi 21 mars 2023. Cette rencontre avec la presse fait suite aux événements du jeudi 16 mars marqués par des échauffourées qui ont fait suite au procès opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang.
 »Les grotesques mises en scène, les comédies fantasques et les manipulations qui ont placé notre pays au-devant de la scène internationale, du fait des appels à la violence d’un opposant irresponsable et de son refus de faire face à la justice, dans le cadre du procès l’opposant à Mame Mbaye Niang, ne sauraient rester impunies »,a fait savoir Me Amadou Sall qui s’est chargé de lire la déclaration liminaire. 
Les membres de la majorité présidentielle affirment que le leader du Pastef a tenté de faire croire aux Sénégalais que son procès devait être renvoyé, à la suite de la demande de récusation qu’il a faite contre le juge saisi de l’affaire l’opposant au ministre du Tourisme, en oubliant d’informer que sa requête en récusation en date du 14 février 2023 adressée au premier président de la Cour d’appel de Dakar avait fait l’objet d’une ordonnance de rejet depuis le 27 février 2023. 
 »Il a également oublié d’informer les Sénégalais qu’à la suite du rejet de sa demande de récusation, il a été condamné à une amende de 25 000 F », soulignent-ils.
Les membres de la coalition présidentielle relèvent que les séquelles dont se plaint Oumane Sonko ne l’ont pas empêché de faire une très longue diatribe contre les autorités du pays. Ils qualifient l’état de santé du candidat à l’élection présidentielle de 2024 de  »malaises imaginaires » et évoquent  »une tentative d’assassinat farfelue ».
  »La coalition BBY assumera sa responsabilité politique d’être du côté des populations pour faire face à toute tentative d’agression de la part de groupuscules qui ont fini de montrer leur nature violente aux relents terroristes », soutiennent-ils.
Ces derniers annoncent qu’aucune concession ne sera faite à Ousmane Sonko et à tous les aventuriers tentés de violer l’ordre public, la sécurité des personnes et des biens.

(Vidéo) Antoine Diome sort de ses gongs et avertit les manifestants « Na leer l’état prendra toutes mesures pour que regne… »

Antoine Diome
Antoine Diome

Manifester ne saurait être synonyme de pillages ou de destructions de biens appartenant à autrui… ». Ainsi parle le ministre de l’Intérieur.
Antoine Diome s’est rendu, cette après-midi, à Carrefour Business Groupe pour constater l’ampleur des dégâts de l’attaque subie par la structure.
Sur place, des débris de verre et du matériel détruit campent le décor. À cela s’ajoutent les nombreux téléphones portables volés.
C’est d’ailleurs ce qui a poussé le ministre de l’Intérieur à appeler « au sens élevé du patriotisme » et à assurer que « l’État prendra toutes les mesures pour préserver la paix au Sénégal »

Capitaine Touré sur Cheikh Yérim Seck : « Le jour de notre procès, je demanderai à tous les Sénégalais de… »

Capitaine Touré sur Cheikh Yérim Seck
Capitaine Touré sur Cheikh Yérim Seck

(Vidéo) Cheikh Omar Talla sur Macky « Dama rouss bimeu guissé limou tontou ci 3e mandat »

Cheikh Omar Talla sur la candidature de Macky
Cheikh Omar Talla sur la candidature de Macky

(Vidéo) Cheikh Omar TALLA interpelle Mansour Faye sur l’affaire 98 milliard « la personne concerné a insisté… »

Cheikh Omar TALLA interpelle Mansour Faye
Cheikh Omar TALLA interpelle Mansour Faye

Affaire Sonko : réaction inattendue de Capitaine Touré : « A chaque fois que je parle de lui, on… »

Capitaine Touré
Capitaine Touré

Sur plateau de nos confrères de seneweb, Capitaine Touré est largement revenu sur l’actualité qui est marquée ces derniers jours par le procès en diffamation qui oppose Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang dans l’affaire dite des 29 milliards du Prodac et les conséquences qui s’en sont suivies.

Abordant la question liée au maintien de l’ordre par les FDS, capitaine Touré s’est désolé du mythe de la gendarmerie qui tombe et perdant ainsi toute la sacralité que ce corps d’élites avait vis-à-vis des citoyens.

Par rapport à l’affaire Sonko, le jeune Capi a préféré garder son avis pour lui et pour des raisons qu’il donne ici.

Regardez !

Abdourahmane Diouf : « Nous ferons tout pour que Macky n’aille pas au conseil constitutionnel » (Vidéo)

Abdourahmane Diouf
Abdourahmane Diouf

Après Macky Sall à l’Express, Abdourahmane Diouf se confie à TV5 Monde et sur des questions liées aux élections. Le Présidentielle de 2024 est donc restée le seul sujet abordé avec le Président de Awalé.

Pour Abdourahmane Diouf, le Président Macky Sall sait qu’il n’a pas droit de briguer un autre mandat, car juridiquement la loi le lui interdit.

Le candidat déclaré à la Présidentielle de 2024 du parti Awalé annonce qu’il y a une entité en gestation qui aura comme mission fondamentale de tout faire pour interdire au Président Macky Sall de déposer sa candidature au Conseil constitutionnel.

Regardez !

(Vidéo) Xoulo bou Tang entre Biriame Khoudia Pastef et Sidaty APR «le 30 Niou déflen lou… »

Biriame Khoudia Pastef et Sidaty APR
Biriame Khoudia Pastef et Sidaty APR

(Vidéo) Direct à Ziguinchor: Siège saccagé et brûlé : Les responsables de l’APR se prononcent et annonce…

Ziguinchor: Siège saccagé et brûlé : Les responsables de l'APR
Ziguinchor: Siège saccagé et brûlé : Les responsables de l'APR

La Caisse de Sécurité Sociale au front : Les travailleurs réclament le départ du dg

Caisse de Sécurité Sociale
Caisse de Sécurité Sociale

Cependant, prévient le secrétaire général du syndicat, les travailleurs n’accepteront aucune nomination politique pour ne pas finir comme certaines structures étatiques à l’exemple de la Poste alors qu’elle ne reçoit aucune subvention de l’Etat.

Au regard des compétences existantes au sein de l’institution, ils souhaitent une promotion en interne d’un directeur préoccupé par les intérêts stricts de leur institution pour sa pérennisation et celle de leur emplois.

Par ailleurs, les travailleurs de Css exigent le paiement des primes de bilan de 2021 dans les plus brefs délais. Dans le même registre, ils invitent l’Etat à renouveler le Conseil d’Administration dont le mandat a expiré depuis 2016. Le syndicat national des travailleurs de la Caisse de Sécurité Sociale est prêt à la lutte, si les autorités font la sourde oreille.

“Li nara xew 30 Mars dina graw, Ahmed Khalifa na xam” Le Mara de Sonko jure bilahi walahi Sonko kouko

Le Mara de Sonko
Le Mara de Sonko

Rapport d’Etat Américain : Ce point ou les Etats-Unis critiquent Sonko

Sonko
Sonko

Ce lundi, le département d’État américain a publié son rapport 2022 sur l’état des droits de l’homme dans le monde. Parmi les 200 pays concernés, figure le Sénégal, avec notamment la situation des homosexuels.

«Le gouvernement et les attitudes culturelles sont restés fortement biaisés contre les personnes LGBTQI+», pointent les Américains à travers les trente pages consacrées au pays et rapportées par Les Échos.

Ainsi, les Américains donne l’exemple de l’affaire Idrissa Gana Gueye, qui avait refusé de porter un maillot du PSG floqué par les couleurs LGBT. Ainsi, les Américains reprochent à Sonko et Macky Sall d’avoir publiquement soutenu ce geste de l’international sénégalais aujourd’hui à Everton.

« Le 14 mai 2022, le footballeur sénégalais Idrissa Gana Guèye, membre de l’équipe professionnelle de football du PSG, a refusé de porter un maillot arc-en-ciel et de participer à un match parisien dédié à la sensibilisation à la discrimination LGBTQI+, une décision largement saluée au Sénégal. Le président Sall (Macky) et le chef de l’opposition Ousmane Sonko ont tous deux salué sur Twitter la décision de Guèye de ne pas participer au match», critique le rapport.

(Urgent) Tivaouane : Les élèves boudent les cours et menacent de plus retourner en classe

Les élèves boudent
Les élèves boudent

Les élèves de Tivaouane ont boycotté les cours ce mardi. Ils ont également menacé de plus reprendre les cours et qu’ils prévoyaient de bloquer le système éducatif à Tivaouane jusqu’à nouvel ordre afin de demander la libération de leurs camarades arrêtés lors des récents événements qui ont secoué le pays.

« Nous avons entamé avec eux le programme et nous le finirons avec eux. Au cas contraire, il n’y aura plus cours. Nous exigeons leur libération, nos camarades sont apolitiques. Ils ont été injustement arrêtés. Nous allons démarrer les compositions du second semestre durant le mois de ramadan, il faudra qu’ils fassent les examens avec nous », exigent-ils.

Ils soutiennent leurs camarades détenus et en attente de leur jugement qui aura lieu mercredi.

Audience du 16 Mars : Voici le communiqué de presse du CORED

CORED
CORED

Le Conseil pour l’Observation des Règles d’Ethique et de Déontologie dans les médias (CORED) rappelle l’interdiction formelle de filmer ou de prendre en photo l’intérieur des salles d’audience. Le 16 mars 2023, le site d’informations senenews.com a publié une photo de la salle d’audience No 3 du Palais de justice, qui a abrité le procès Ousmane
Sonko/Mame Mbaye Niang.
Alerté, le CORED a saisi l’administrateur du site qui a immédiatement retiré la photo en question et présenté ses excuses. Il s’est rendu compte que c’est un photographe qui l’a postée à son insu et en totale ignorance des textes de lois.
En effet, il est formellement interdit de filmer ou prendre en photo l’intérieur des salles d’audience. En attendant une évolution de la législation sur la question, le CORED rappelle aux administrateurs de sites et directeurs des rédactions, leurs responsabilités quant aux publications sur leurs supports conformément aux articles 43, 74 et
179 du Code de la presse.
Le CORED compte organiser prochainement une formation sur le bon usage de la photo et de la vidéo à l’intention des techniciens et photoreporters pour mieux les outiller en la matière.

Le Président
Mamadou THIOR

« Les africains ne supportent plus ces présidents », la réplique de Guy Marius Sagna à Macky Sall

Guy Marius Sagna
Guy Marius Sagna

Macky, vous avez dit dans votre dernière interview « Les africains ne supportent plus ce paternalisme d’un autre temps. Nos citoyens considèrent à juste titre que soixante-dix ans après les Indépendances, l’on ne peut plus se comporter et agir comme si la décolonisation venait de prendre fin. Notre population est très jeune. Elle n’a pas connu cette époque. Elle aspire à être traitée en partenaire, sur un pied d’égalité́. ». En réalité, la vérité est que : Les africains ne supportent plus ces présidents – comme Macky, Ouattara, Bazoum, Talon, Bongo, Sassou – qui sont des laquais, des valets de l’impérialisme qui pérennisent franc CFA néocolonial, présences militaires française et GI’s, politiques du FMI et de la banque mondiale, accords de pêche léonins, accord de partenariat économique (APE), teranga pour les multinationales impérialistes et portion congrue pour les entreprises africaines…

Macky Sall, vous avez dit il y a quelques heures « (…) certains griefs des militants hostiles à la politique française sont justifiés« . Nous aurions aimé que vous lisiez ces « griefs (…) justifiés« . Merci d’avouer enfin – même en faisant la fine bouche et en faisant un chantage à la France – que nos griefs sont justifiés.

Mais Macky, si vous pensez sérieusement ce que vous avez dit, qu’avez-vous dit à votre premier ministre Amadou Ba qui lors de son dernier voyage en France en décembre 2022 a dit au premier ministre français « Le seul problème entre nos deux pays, c’est qu’il n’y a pas de problème« .

Si 11 ans après votre accession au pouvoir vous trouvez nos griefs justifiés, cela signifie que vous avez lamentablement échoué n’ayant pas réussi à transformer structurellement les relations entre le Sénégal/l’Afrique et le reste du monde.

Mais heureusement que c’est fini pour vous et que conformément à la constitution du Sénégal vous n’aurez ni troisième candidature ni troisième mandat. En 2024, avec Ousmane Sonko va s’ouvrir une page souveraine et panafricaine pour le Sénégal. Une page de prospérité pour les sénégalais.e.s.

Guy Marius Sagna 

Justice : Du nouveau dans le dossier Nit Doff, en prison depuis des semaines

Nit Doff
Nit Doff

Nit Doff, également connu sous le nom de Mor Talla Guèye, un rappeur et activiste, a été arrêté par la Sureté urbaine et placé en détention provisoire. D’après les dernières informations de SeneNews, il sera convoqué le 28 mars prochain pour être entendu sur le fond.

L’organisateur de «Show of the year» est soupçonné de plusieurs infractions. Nit Doff est accusé d’incitation à l’insurrection, d’outrage à magistrat, de provocation à la violence, d’incitation à la désobéissance des institutions, d’avoir proféré des menaces de mort à l’encontre des autorités judiciaires et d’avoir proféré des insultes publiques.

Prolifération des contenus d’adulte en ligne, quelle est la situation au Sénégal ?

Le Sénégal, comme beaucoup de pays en Afrique, est confronté à des défis de la pornographie. Alors que de nombreux Sénégalais considèrent la pornographie comme immorale et dangereuse pour la société, d’autres la voient comme un moyen de gagner de l’argent facilement et de s’épanouir.

La pornographie est illégale au Sénégal et les personnes reconnues coupables de production ou de distribution de matériel pornographique risquent jusqu’à 10 ans de prison et une amende importante. Cependant, malgré ces lois strictes, la pornographie est toujours disponible dans le pays.

L’une des raisons de la prolifération de la pornographie est l’accès facile à Internet. Les Sénégalais peuvent accéder à des sites pornographiques en ligne PDCams à partir de n’importe quel endroit, que ce soit à la maison, au travail ou dans des lieux publics tels que les cybercafés. Les smartphones sont également largement utilisés au Sénégal, ce qui facilite encore plus l’accès à la pornographie.

La pornographie peut également être trouvée sous forme de magazines, de DVD et de vidéos sur des disques durs portables vendus dans les rues de Dakar et d’autres grandes villes du pays. Les enfants sont également exposés à la pornographie à travers des images et des vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux.

La pornographie a des effets négatifs sur la société sénégalaise. Elle encourage la violence sexuelle et peut causer des troubles psychologiques et émotionnels chez les consommateurs. Elle peut également conduire à une dépendance et affecter les relations familiales et conjugales.

Pour lutter contre la pornographie, le gouvernement sénégalais travaille en étroite collaboration avec les organisations de la société civile pour sensibiliser le public aux dangers de la pornographie et pour fournir des services de conseil et de traitement pour ceux qui en sont dépendants. Des campagnes de sensibilisation sont menées dans les écoles et les communautés pour informer les jeunes sur les dangers de la pornographie.

La société civile joue également un rôle important dans la lutte contre la pornographie et les sex cams. Des groupes de femmes, des groupes religieux et des organisations de jeunesse travaillent ensemble pour lutter contre la pornographie en organisant des manifestations, en créant des programmes de mentorat pour les jeunes et en fournissant des services de conseil aux personnes touchées.

La pornographie est un sujet croissant au Sénégal, mais des mesures sont prises pour lutter contre cette pratique illégale. Il est important que le gouvernement, la société civile et les citoyens travaillent ensemble pour sensibiliser le public aux dangers de la pornographie et pour offrir des services de conseil et de traitement pour les personnes touchées.

La pornographie en ligne est souvent associée à la traite des êtres humains et à l’exploitation sexuelle. Les jeunes femmes, en particulier, sont souvent victimes de ces pratiques, étant recrutées pour travailler dans l’industrie du sexe et être exposées sur des sites pornographiques en ligne.

Au Sénégal, certaines jeunes femmes sont recrutées pour devenir des modèles pour des sites pornographiques en ligne, souvent sous la promesse de gagner de l’argent facilement. Ces femmes sont souvent issues de milieux défavorisés et sont vulnérables aux promesses de revenus élevés et rapides.

Le recrutement de ces femmes pour devenir des modèles de sites pornographiques en ligne peut se faire par l’intermédiaire de connaissances ou d’amis, ou par le biais de sites de réseautage social. Les femmes sont souvent incitées à envoyer des photos d’elles-mêmes nues ou à participer à des conversations en ligne sexuellement explicites, avant d’être recrutées pour travailler comme modèles de sites pornographiques.

Ces femmes sont souvent mal informées sur les conséquences de leur travail et ne sont pas conscientes de leurs droits précise un média d’actualité qui a enquêté sur le sujet. Elles peuvent être exploitées, maltraitées et contraintes à travailler dans des conditions dangereuses et insalubres. Certaines femmes peuvent également être forcées de se prostituer ou de participer à des actes sexuels non consentis.

Il est important de souligner que la traite des êtres humains et l’exploitation sexuelle sont des crimes et qu’il est important de protéger les droits des victimes. Les jeunes femmes qui sont recrutées pour devenir des modèles pour des sites pornographiques en ligne doivent être informées de leurs droits et de l’illégalité de ces pratiques. Des services de soutien et d’assistance doivent être mis en place pour les aider à sortir de ces situations et à se remettre sur pied.

Les chiffres vertigineux de cette industrie

Selon un rapport de l’entreprise de recherche IBISWorld en 2021, l’industrie des contenus pour adultes aux États-Unis génère environ 10 milliards de dollars de revenus annuels. Ce chiffre comprend les revenus des vidéos, magazines, sites web, services de webcam en direct, etc.

De plus, un rapport de la société de conseil McKinsey en 2020 a estimé que l’industrie mondiale des contenus pour adultes représentait environ 97 milliards de dollars de revenus annuels, avec une croissance annuelle de 7,7%. Le rapport a également noté que l’industrie est en constante évolution, avec une augmentation de la consommation de contenus en ligne et mobiles.

Il est important de noter que ces chiffres peuvent varier en fonction de divers facteurs, tels que les réglementations locales, la popularité des sites web, les préférences des consommateurs et d’autres facteurs économiques.

On peut donc considérer que la pornographie en ligne peut être une source de danger pour les jeunes femmes qui sont recrutées pour devenir des modèles pour ces sites. Il est important de sensibiliser les femmes aux risques liés à cette industrie et de mettre en place des mécanismes pour les protéger contre l’exploitation sexuelle et la traite des êtres humains.

Farba Ngom « Ceux qui doutaient de la candidature de Macky Sall en 2024 ne faisaient que perdre leur temps. Maintenant, c’est clair»

Farba Ngom
Farba Ngom

La question de la 3e candidature de Macky Sall est toujours d’actualité au Sénégal. Farba Ngom s’est prononcé sur la récente sortie du chef de l’État dans les colonnes du journal français « L’Express » sur son éventuelle candidature en 2024. Le parlementaire adoube Macky Sall.

« Ceux qui doutaient de la candidature de Macky Sall en 2024 ne faisaient que perdre leur temps. Maintenant, c’est clair« , a déclaré Farba Ngom, sur la Rfm.

Le député ajoute : « Je l’ai dit dès le départ. Nous n’avons qu’un seul candidat en 2024 et c’est le président Macky Sall. Donc, aujourd’hui, je crois que les choses s’éclaircissent de plus en plus. »

Manifs, saccages, morts : Thierno Bocoum attaque les manifestants

Thierno Bocoum
Thierno Bocoum

Cette sortie du président du mouvement Agir risque de ne pas plaire aux membres du parti Pastef. Sans citer son nom, Thierno Bocoum a pointé du doigt la responsabilité d’Ousmane Sonko sur les saccages et les pertes en vies humaines notés lors des manifestations. Pour le président du mouvement Agir, « trop, c’est trop ». 

Thierno Bocoum considère que ces leaders qui appellent aux manifestations doivent mettre en avant leur propre famille, leurs propres enfants et ne pas envoyer mourir les enfants des autres. 
Dans une vidéo publiée sur sa page Facebook, il exprime son amertume face à ces morts. Allant plus loin, il considère que cette attitude de va-t-en-guerre risque de ne pas avoir les effets escomptés.

« Les africains ne supportent plus ces présidents », la réplique de Guy Marius Sagna à Macky Sall

Guy Marius Sagna
Guy Marius Sagna

Macky, vous avez dit dans votre dernière interview « Les africains ne supportent plus ce paternalisme d’un autre temps. Nos citoyens considèrent à juste titre que soixante-dix ans après les Indépendances, l’on ne peut plus se comporter et agir comme si la décolonisation venait de prendre fin. Notre population est très jeune. Elle n’a pas connu cette époque. Elle aspire à être traitée en partenaire, sur un pied d’égalité́. ». En réalité, la vérité est que : Les africains ne supportent plus ces présidents – comme Macky, Ouattara, Bazoum, Talon, Bongo, Sassou – qui sont des laquais, des valets de l’impérialisme qui pérennisent franc CFA néocolonial, présences militaires française et GI’s, politiques du FMI et de la banque mondiale, accords de pêche léonins, accord de partenariat économique (APE), teranga pour les multinationales impérialistes et portion congrue pour les entreprises africaines…

Macky Sall, vous avez dit il y a quelques heures « (…) certains griefs des militants hostiles à la politique française sont justifiés« . Nous aurions aimé que vous lisiez ces « griefs (…) justifiés« . Merci d’avouer enfin – même en faisant la fine bouche et en faisant un chantage à la France – que nos griefs sont justifiés.

Mais Macky, si vous pensez sérieusement ce que vous avez dit, qu’avez-vous dit à votre premier ministre Amadou Ba qui lors de son dernier voyage en France en décembre 2022 a dit au premier ministre français « Le seul problème entre nos deux pays, c’est qu’il n’y a pas de problème« .

Si 11 ans après votre accession au pouvoir vous trouvez nos griefs justifiés, cela signifie que vous avez lamentablement échoué n’ayant pas réussi à transformer structurellement les relations entre le Sénégal/l’Afrique et le reste du monde.

Mais heureusement que c’est fini pour vous et que conformément à la constitution du Sénégal vous n’aurez ni troisième candidature ni troisième mandat. En 2024, avec Ousmane Sonko va s’ouvrir une page souveraine et panafricaine pour le Sénégal. Une page de prospérité pour les sénégalais.e.s.

Guy Marius Sagna

« kén empoisonner wouko dra diotouko day tapalé liko dal Guy Marius la » Ce militant Apr détruit Sonko (Vidéo)

« kén empoisonner wouko dra diotouko day tapalé liko dal Guy Marius la » Ce militant Apr détruit Sonko (Vidéo)