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DIAMNIADIO – Le président Macky Sall inaugure la Zone de Recasement des Mécaniciens et Professionnels de l’Automobile (ZAMPA)

Le président de la République, Macky Sall, a inauguré ce mardi 2 Mai, dans l’après-midi, la Zone de Recasement des Mécaniciens et Professionnels de l’Automobile (ZAMPA) de Diamniadio. Ce projet qui est piloté par le ministère de l’Emploi de la Formation Professionnelle et de l’Artisanat et dont AGETIP est Maître d’Ouvrage Délégué (MOD), vise à mettre fin à l’occupation anarchique de la voie publique. Car Dakar offre, aujourd’hui, une image peu reluisante avec un peu partout des garages mécaniques à ciel ouvert, des sites de vente de pièces détachées et des concessionnaires automobiles visibles partout, occupant même une partie importante des trottoirs, sans oublier les nombreuses épaves abandonnées sur les artères de la ville. Ainsi, cet ambitieux projet a un objectif double : désencombrer Dakar et moderniser le secteur des professionnels de l’automobile.
Avec les 62,5 ha, ce projet permettra aussi la création de plus de 5000 emplois. Le site va abriter un espace d’épave de casse d’automobiles, des ateliers, une galerie et de vente de pièces détachées et un espace dédié aux concessionnaires de véhicules en face de la route nationale.
Les travaux d’infrastructures ont essentiellement porté sur les mouvements de terre, avec un terrain particulièrement difficile, des milliers de mètres cubes ont été déplacés et les déblais utilisés pour remblayer la zone de casse et une partie est mise en dépôt. Les niveaux voulus sont atteints pour la mise en œuvre des plateformes.
La première tranche a permis la réalisation de la voirie et des réseaux divers, une brigade de gendarmerie, une administration, des ateliers mécanique-auto, des ateliers mécanique-camion, une galerie de vente de véhicules et pièces détachées, une guérite de gardien, etc.
La deuxième tranche verra la construction de 270 ateliers mécaniques, un abris véhicule, une galerie pièces détachées module de 88 magasins, un hall restauration, un édifice religieux et des blocs de toilettes.

Nafissatou Diouf Directrice générale de la TDS sème un désordre total à la direction.

A peine nommée à la tété de la télédiffusion du Sénégal, (TDS) Nafisatou Diouf ancienne de la RTS1 est nommée par le président Macky Sall en remplaçant de Mr Amadou Diop. Après quelques mois à la tète de la TDS, Nafissatou Diouf démontre sa face cachée avec audace et arrogance envers les employés. En effet elle veut limoger l’équipe qui cheminer avec son prédécesseur Mr Diop Amadou pour recruter ses amis qui la soutenaient en politique. Cette colère des employés s’est fait savoir avec le port de brassards rouge des employés pour dénoncer l’attitude de cette ancienne journaliste politicienne de la RTS1

​« Près de 280. 000 Sénégalais ont demandé à figurer sur les listes électorales sur le plan national » (CENA)

CENA
CENA

La Commission Électorale Nationale Autonome (CENA), à la suite de son programme de la tournée d’inspection auprès des commissions de révision des listes électorales à Tivaouane Peul, aux Almadies, Grand-Dakar et au stade Iba-Mar-Diop, ce mardi a fait face à la presse pour tirer un bilan de cette tournée. Selon son Président pour la journée du 30 avril, sur le plan national, plus de 280. 000 Sénégalais ont demandé à figurer sur les listes électorales.

« Le président de la République a pris un décret qui fixe la date de l’élection présidentielle au 25 février 2024 et immédiatement après le processus électoral se déclenche. L’une des premières opérations est que les citoyens sont tenus d’aller s’inscrire dans les commissions plus les révisions exceptionnelles des listes électorales. Cette opération de révision de listes électorales permet aux Sénégalais qui ont atteint l’âge de la maturité qui est de 18 ans de s’inscrire avec une pièce d’identité…Selon les derniers statistiques qui sont remontés pour la journée du 30 avril, nous sommes à peu près à 280 mille Sénégalais qui ont demandé à figurer sur les listes électorales sur le plan national. À peu près une trentaine de mille qui ont demandé à figurer sur le fichier au plan étranger », a déclaré Doudou Ndir.

Poursuivant ses propos, il précise : « Aujourd’hui, nous sommes dans une commission parmi des centaines de commissions qui existe, celles du stade Iba-Mar-Diop. Ce que nous avons constaté ici au même titre que les autres les commissions de Tivaouane Peul, de Grand-Dakar et également celle des Almadies. Ce que les Sénégalais aujourd’hui qui est le dernier jour de la révision exceptionnel, sont engagés à venir s’inscrire auprès de ces commissions dans la tranquillité, la discipline et le respect des autorités chargés de conduire ces opérations. Nous avons également noté un esprit de coopération de collaboration et de partenariat que nous avons vu chez les autorités administratives ».

Pour le président du CENA, « cette façon de travailler main dans la main, entre autorités administratives, la population et les partis politiques, c’est quelque chose qu’il faut saluer ». Par ailleurs, il précise que « les partis politiques sont membres des commissions de révision exceptionnelle».

Doudou Ndir a aussi noté pour ce qui est du délai, qu’il était bon pour que tout le monde puisse s’inscrire. « Déjà, le nombre total d’inscrits laisse penser qu’il y a intérêt manifeste pour des sénégalais à aller au bureau de vote le 25 février. Ce que nous avons vu dans les commissions, le nombre d’électeurs dans les files d’attente, il aurait été souhaitable que l’autorité administrative examine cette question avec responsabilité dans le sens de faire en sorte que les Sénégalais qui disposent du droit constitutionnel puissent accomplir le droit de voter sans entrave », a-t-il suggéré. 

​« Près de 280. 000 Sénégalais ont demandé à figurer sur les listes électorales sur le plan national »  (CENA)

Révision exceptionnelle des listes électorales : Ce que le PDS demande à Macky Sall

Karim Wade,Macky ,Sonko
Karim Wade,Macky ,Sonko

A quelques heures de la clôture de la période de révision exceptionnelle des listes électorales, une forte affluence des jeunes est notée dans beaucoup de centres d’inscription.

Une délégation du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) conduite par Magatte Sy, Secrétaire National chargé des élections du PDS était dans les départements de Dakar et de Pikine (Grand-Yoff, Pikine Guinaw Rails Sud).

« Nous sommes venus nous enquérir de la situation des inscriptions sur les listes électorales. Les inscriptions des citoyens s’arrêtent ce Mardi 02 Mai 2023, mais du constat fait sur l’engouement et le désir ardent des citoyens de se faire inscrire, nous demandons la prolongation des délais. Qu’ils soient repoussés jusqu’en fin juillet afin de permettre à chaque citoyen de se faire inscrire et de jouir de ses droits fondamentaux, constitutionnels qui lui garantissent le vote, notamment, à la prochaine élection présidentielle du 25 février 2024 », a soutenu Magatte Sy.

Le Secrétaire National du Pds chargé des élections a par la même occasion affirmé que le PDS va répondre au dialogue national lancé par le président de la République Macky Sall. 

Dialogue politique : La réponse de la coalition Gueum Sa Bopp/Dakar de Bougane connue

Macky: Bougane
Macky: Bougane

La Fédération départementale Gueum Sa Bopp de Dakar s’est réunie ce mardi 2 mai 2023. Ils ont fait part de leur souhait, à leur leader Bougane Guèye Dany, sur le dialogue politique lancé par le Président Macky Sall.

La Fédération départementale Gueum Sa Bopp de Dakar dit ainsi être contre toute forme de dialogue politique avec le Président Macky Sall. A cet effet, ils demandent à leur leader, le président Bougane Gueye Dany de rejeter la main tendue du Président Macky Sall.

« Pour rappel, Gueum Sa Bopp ne saurait participer à un simulacre de dialogue politique au moment où les droits des citoyens sont foulés au pied. Deux dialogues politiques se sont tenus avec les résultats que tout le monde connait. Aucune avancée significative n’a été enregistrée en termes de renforcement de la démocratie et de la préservation des acquis démocratiques« , soutient la Fédération départementale Gueum Sa Bopp de Dakar.

Lutter contre une 3e candidature de Macky…

Qui poursuit, dans une note parvenue à Senego : « Des calculs politiques rien que des calculs politiques se cachent encore derrière cet appel au dialogue du Président Macky Sall. La seule chose qui vaille est de lutter contre une troisième candidature du Président Macky Sall, tout en lui faisant savoir qu’aucune menace sur l’éligibilité des candidats ne sera acceptée« .

Suivre les décisions « fortes » qui seront retenues du F24…

« La Fédération départementale Gueum Sa Bopp de Dakar lui demande solennellement de respecter les décisions issues d’instances internationales en ce qui concerne la loi sur le parrainage et de s’atteler à organiser une élection présidentielle transparente, démocratique et inclusive. Toutefois, partie prenante de la plateforme des forces vives de la nation (F24), la Fédération départementale Gueum Sa Bopp de Dakar demande au président Bougane Gueye Dany de suivre les décisions fortes qui y seront retenues« , conclut le communiqué signé le Ddélégué Mamadou Gueye l’original.

Vidéo Exclusive – Me Fatou Babou, fille de Me Abdoulaye Babou de retour au bercail, annonce une bonne nouvelle inattendue aux étudiants et immigrés français

Interview sur Sanslimitesn de Maître Fatou Babou, avocate au Barreau de Bordeaux spécialiste en immigration
Diplômée de Science Po Bordeaux, Administration et Actions Publiques elle apporte un regard pointu sur les refus de visa, les démarches des étudiants étrangers en France, l’immigration, et les relations France – Afrique. Elle a accordé un entretien exclusif à Sanslimites Tv …voir ci dessous la vidéo

Procès le 16 Mai prochain : Adji Sarr brise le silence après la récente sortie de Sonko

ADJI VOUS PARLE

Mes chers compatriotes,

Aujourd’hui, celui que J’ACCUSE nommément a fait un point de presse pour se laver à grande eau devant les sénégalais.

Je n’en ferai pas autant du moment que la justice de mon pays, en qui je place toute ma confiance, a fini de retenir la date de notre procès. Nul besoin !

On criait tous les deux qu’on était prêt à aller vers un procès et maintenant que c’est fait je ne vois aucunement l’utilité d’organiser des points de presse pour avoir l’opinion de son côté.

Le tribunal de l’opinion ce sera après le verdict basé sur l’existence ou non des preuves de mes allégations.

Si les sénégalais pensent que je suis assez folle pour accuser un citoyen d’actes aussi graves pour ensuite dire je n’ai aucune preuve, c’est mal me connaître.

J’espère qu’ils suivront ce procès avec toute l’impartialité et la neutralité requises.

Quand vous êtes une femme et que vous vous sentez salie, vous n’en n’avez cure de ce que représente la personne qui vous a souillé ou de qui elle est.

Aujourd’hui, je veux dormir du sommeil des justes avec le sentiment d’avoir lavé mon honneur et celui de toute ma famille.

Je ne demande à personne de nous croire sur parole, ni lii, ni moi. Que tout le monde attende que l’on arrive à ce procès que ce monsieur ne veut pour rien au monde.

Pour cela, il est prêt à sacrifier de jeunes sénégalais.

De quoi a t-il peur ?
N’est ce pas qu’il n’a rien fait ?

Qu’il donne l’opportunité aux sénégalais d’en avoir le cœur net.

C’est tout ce que je lui demande.

Prendre son courage à deux mains et oser m’affronter devant un juge.

Rendez-vous le 16 Mai.
En attendant, ne vous laissez pas manipuler.

Que la paix règne au Senegal et dans le monde !

Votre soeur, fille, nièce

Adji Rabi Sarr

Rappel à Dieu de Mame Less Camara : Le président Macky Sall rend hommage au journaliste et s’engage à « soutenir » la presse dans ses projets.

Mame Less Camara : Le président Macky
Mame Less Camara : Le président Macky

« Je vous présente à mon tour mes condoléances pour la perte de Mame Less Camara qui a été un symbole, un monument et surtout une boussole pour la presse. Au-delà des préceptes et des règles du journalisme qu’il enseignait, il a toujours prêché par l’exemple. Pour que Mame Less Camara continue de rester une boussole pour les journalistes, le CESTI va porter son nom. Comme vous, il a été secrétaire général du Synpics et a fait évoluer positivement

les conditions matérielles et morales des journalistes. Vous avez parlé de la presse d’antan. Mame Less Camara en était l’incarnation dans sa pratique professionnelle et personnelle, a témoigné le chef de l’Etat à l’endroit du défunt journaliste Mame Less Camara.

Selon lui, la presse a joué un rôle majeur dans la consolidation de notre démocratie. « Cette presse d’antan dont vous parlez a contribué à l’élargissement des bases de notre démocratie et a permis à notre pays de franchir les seuils de démocratisation qu’ont été les alternances de 2000 et 2012 ».

Une occasion de répondre au secrétaire général du Synpics sur les perspectives pour ainsi exprimer la disponibilité de l’État. « Monsieur le Secrétaire Général après avoir salué la presse d’antan, vous avez-vous-même fait le diagnostic de l’état de la presse et appelé à des assises de la presse. Je salue votre honnêteté pour ce diagnostic sans complaisance et vous assure du soutien de l’État parce qu’il ne peut y avoir de grande démocratie sans une presse à la hauteur. J’attends avec impatience les conclusions de vos assises qui permettront à la presse de partir sur de nouvelles bases. Je voudrais vous féliciter aussi pour tous les efforts que vous faites pour mieux organiser le secteur avec la carte nationale de presse. Cette carte va permettre une meilleure collaboration avec l’État et ses démembrements,  notamment les forces d’ordre avec qui vous partagez le « terrain » et vous doivent aussi protection et qui doivent donc être vos partenaires sur le terrain afin que chacun puisse faire son travail ».

Le président Macky Sall s’est ainsi exprimé sur d’autres points tels « le Régulateur », « les Assises nationales », « l’aide à la presse » etc… « Sur le Régulateur, l’État est d’accord pour poursuivre la réflexion avec les associations de presse car le Régulateur doit s’adapter à l’évolution des médias et surtout des réseaux sociaux. Les assises sont une bonne occasion pour peaufiner cette réflexion. Pour l’aide à la presse aussi, nous sommes ouverts à la discussion et à des propositions. Monsieur le Secrétaire Général, je vous remercie de nous avoir rappelé cette grande sagesse de Serigne Abdou Lahad Mbacké. Je vais inverser la formule et les rôles. À la presse, l’État qui est réaliste ne demande pas l’impossible mais juste le respect des règles parce que dans un État de droit, l’État est soumis au Droit mais la presse aussi. Notre relation est dialectique car il n’y a pas de démocratie sans liberté de presse mais une presse libre ne peut exister que dans une démocratie et je me réjouis comme vous le dites que les grands groupes de presse du monde choisissent d’installer leurs bureaux régionaux à Dakar permettant ainsi au Sénégal de tenir son rang en terme de démocratie et de liberté de presse ».

Situation délétère à la Poste / Macky Sall : « Il faut arrêter les recrutements politiques dans ces boîtes… »

Macky Sall
Macky Sall

C’est le secrétaire général de la CNTS/FC qui a posé le problème de la Poste qui inquiète de plus en plus. Cheikh Diop lors de sa prise de parole, est revenu largement sur le cas de la boîte au moment où des centaines de travailleurs ne parviennent plus à trouver le salaire qu’il leur faut. Mais pour le chef de l’État, il faut revoir d’abord les recrutements qui se font dans certaines boîtes et la poste ne déroge pas à la règle. 

Selon le chef de l’Etat qui accueillait les centrales syndicales au palais de la République ce lundi, il faut que « les recrutements politiciens cessent ». « Ce sont ces recrutements qui ne sont pas durables encore moins viables. Nous avons réfléchi sur ce cas et le Premier ministre et son gouvernement travaillent pour un plan de sauvetage de la Poste. Des sociétés qui recrutent 3. 000, 4.000 et même 5.000 agents ou plus, c’est inacceptable » estime le président Macky Sall qui demande à arrêter ce genre de pratiques qui ne feront qu’augmenter inutilement les charges de l’État.

Même au niveau des communes, dénonce le chef de l’Etat, c’est le même cas avec ceux qui parlent de fonction publique locale. « Comment est-ce qu’on peut transférer des recrutements  politiciens sans aucune référence dans les corps de l’État ? Ce n’est pas possible car, aucune mairie ne pourra supporter cela »,  a encore signalé le président Macky Sall annonçant des séances de travail entre le ministre et les collectivités pour  résoudre ces irrégularités. 

Les terribles révélations de Dr Seck sur la substance douteuse versée sur Sonko «bouniou lako soti wé da ngay»

révélations de Dr Seck sur la substance douteuse versée sur Sonko
révélations de Dr Seck sur la substance douteuse versée sur Sonko

Les conseils de Mame Birame Wathie à Khalifa, Karim : « kou beugg dara 2024, na sori Macky Sall »

Mame Birame Wathie à Khalifa, Karim
Mame Birame Wathie à Khalifa, Karim

Mame Biram Wathie met en garde certains opposants qui veulent rejoindre l’appel de Macky Sall pour dialoguer avec l’opposition.

L’analyste politique a clairement indiqué à Khalifa Sall, Karim et Cie que les opposants qui veulent gagner l’élection présidentielle de 2024, doivent éloigner de Macky Sall qui n’a plus la côté auprès de la population.

Il informe que ce dialogue permette à certains leaders qui sont dans l’opposition et proches de Macky Sall, de mieux divulguer leurs positions.

Industrie automobile – Pendant que les autres parlent « politique » : Macky Sall travaille et inaugure

Macky Sall
Macky Sall

CEREMONIE D’INAUGURATION DE LA ZONE D’ACTIVITÉS DES MÉCANICIENS ET PROFESSIONNELS DE L’AUTOMOBILE

 (ZAMPA)

Discours de son Excellence Monsieur Macky SALL,

 Président de la République

                                         DIAMNIADIO, 02 MAI 2023

  • Monsieur le Premier Ministre ;
  • Monsieur le Ministre de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel ;
  • Mesdames et Messieurs les Ministres ;
  • Monsieur le Gouverneur de la région de Dakar,
  • Monsieur le Préfet du Département Rufisque ;
  • Monsieur le Président du Conseil départemental de Rufisque ;
  • Monsieur le Maire de Diamniadio ;
  • Honorables Députés, et membres du HCCT et du CESE ;
  • Monsieur le Président de l’Union Nationale des Chambres de Métiers ;
  • Madame et Messieurs les Présidents des Chambres de Métiers ;
  • Mesdames et Messieurs Maires;
  • Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux, Directeurs et Chefs de services ;
  • Chers Artisans ;
  • Chers Invités, Chères populations

Je suis heureux de me retrouver parmi vous, au lendemain de la fête du Travail, pour procéder à l’inauguration de la Zone d’Activités des Mécaniciens et des Professionnels de l’Automobile (ZAMPA).

Je voudrais saluer la forte présence à cette cérémonie historique, de nos braves et valeureux artisans que nous célébrons toujours, pour leur génie créateur, leur savoir – faire, leur engagement, leur sens de l’innovation et leur exemplarité.

Mesdames messieurs.

La réalisation de cette infrastructure sans précédent, traduit mon ambition d’accélérer la modernisation de l’artisanat national, qui constitue un catalyseur de transformation structurelle de l’économie et de développement du capital humain.

Comme vous le savez, l’Artisanat est un secteur névralgique de la vie économique et sociale du Sénégal. L’Artisanat demeure un secteur pourvoyeur d’emplois. Il occupe une population active estimée à plus d’un million de personnes, composées de Chefs d’entreprises, de Compagnons et d’Apprentis.

Souvent considéré comme une école de la deuxième chance, l’artisanat est devenu, aujourd’hui, à travers le Plan Sénégal Emergent (PSE), un véritable levier d’insertion de par sa capacité à absorber une frange importante de la population jeune souvent déscolarisée.  

A cet effet, les ateliers de production artisanale, demeurent des espaces essentiels d’apprentissage et de qualification professionnelle avec le concours des instruments d’accompagnement de l’Etat.

Je souligne qu’au titre de la formation et du perfectionnement, le 3FPT a permis de financer plusieurs actions de formation en faveur des artisans, en particulier ceux du sous-secteur de la mécanique automobile, dans des domaines tels que le diagnostic automobile, la mécanique automobile, le froid et la climatisation automobile, la pneumatique et la carrosserie automobile, pour un montant de plus de 917 millions de FCFA.

Pour l’année 2022-2023, le 3FPT a financé les projets de formation individuelle de 147 jeunes pour un coût de 44,6 millions de FCFA.

Pour 2023, des formations sont déjà validées entre autres pour, l’Union nationale des Chambres de métiers, le Cadre de Concertation des artisans et agriculteurs (CCAA), le Regroupement des vrais artisans de l’automobile du Sénégal (REVAAS), le regroupement des chauffeurs de la région de Kaffrine, le regroupement des artisans de la commune de Mbacké, l’association des mécaniciens et électriciens automobiles de Tambacounda entre autres.

Mesdames, messieurs.

Nous avons engagé, ensemble, dans un esprit de solidarité, le renouveau de l’artisanat fondée sur la formation, la formalisation, l’accès au financement et l’aménagement sites équipés de toutes les commodités.

C’est dans ce cadre que le Gouvernement a mis en place des zones dédiées telles que les Sites d’Exposition et de Commercialisation de l’Artisanat (SECA) à Méckhé, à Thionk Essyl et à Malicounda ainsi que les sites pilotes d’artisanat d’art comme celui de Pointe Sarène, du Lac Rose et de la Somone sans oublier de citer un fleuron : le Centre international des Expositions de Diamniadio.

S’y ajoutent, l’exécution du Projet pour l’Employabilité des Jeunes par l’Apprentissage non formel (PEJA) avec la Banque Mondiale l’apprentissage à hauteur de 30 milliards, l’accès des entreprises artisanales à la commande publique à travers le Projet Mobilier national, l’érection d’un ministère de plein exercice pour l’artisanat.

Mesdames Messieurs

Le Projet d’aménagement de la Zone d’Activités des Mécaniciens et des Professionnels de l’Automobile (ZAMPA) d’un coût global de 15 milliards 300 mille francs CFA exclusivement financé par l’Etat du Sénégal, s’inscrit dans cette dynamique de renforcement de l’attractivité de l’Artisanat.

Cette belle réalisation, va désormais offrir un cadre adéquat aux professionnels de l’automobile en vue de fournir des produits et services de qualité supérieure pouvant garantir l’efficacité et la compétitivité de nos artisans.

Cette zone dédiée au sous-secteur de l’automobile a également pour vocation d’apporter une réponse structurante aux lancinantes questions de l’occupation anarchique de l’espace public principalement en milieu urbain avec comme conséquences l’encombrement des rues, la dégradation de l’environnement, l’insalubrité et autres nuisances.

C’est pourquoi cette infrastructure majeure abritant un espace mécanique de 500 garages modernes, intègre :

  1. une fourrière d’une superficie de 10 ha ;
  2. une casse de 10 ha ;
  3.  une galerie de vente de pièces détachées et des espaces de ventes de véhicules d’occasion, et
  4. un centre de perfectionnement.

De plus, la ZAMPA est dotée d’un poste de santé, d’une brigade de gendarmerie, de lieux de culte et de restaurants faisant de cette infrastructure, une plateforme spéciale de dialogue et de partenariat, où professionnels et usagers pourront coexister en toute harmonie dans un cadre de vie agréable.

Mesdames, Messieurs, Chers Artisans,

Je vous exhorte, donc, à faire de cet espace, une zone d’excellence de la mécanique afin qu’elle reste une référence dans la sous-région voire en Afrique.

A cet égard, je demande au Ministre de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur Informel, d’œuvrer avec toutes les parties prenantes, notamment les professionnels de l’automobile et les collectivités territoriales, pour relever les défis d’une gouvernance inclusive et durable de la ZAMPA.

Il s’agit entre autres :

  • de la mise en place d’un système performant d’entretien et de maintenance ;
  • de la valorisation des déchets et des matériaux usagers surtout les pneus et des huiles usagers ;
  • du renforcement de la professionnalisation des artisans mécaniciens avec le recours aux nouvelles technologies.

Par ailleurs, à l‘instar du Projet Mobilier national qu’il convient de renforcer, conformément à mes récentes directives, vous veillerez à l’amélioration de l’accès des artisans, en général et des mécaniciens en particulier, à la Commande publique.

Je recevrai prochainement l’Union des chambres de Métiers en vue d’accélérer la modernisation et la relance de l’Artisanat national.

C’est le lieu d’exprimer toute ma satisfaction au Docteur Pape Amadou NDIAYE, Ministre de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur Informel, au PDG de la société GETRAN SA et au DG de l’AGETIP pour la bonne conduite ce projet et pour la bonne organisation de cette manifestation.  

Je ne saurais clore mon propos sans magnifier le rôle capital des artisans dans l’émergence du Sénégal et leur réaffirmer ma volonté de poursuivre, sans relâche, la transformation du secteur de l’Artisanat au profit de l’ensemble des artisans du Sénégal.

Je vous remercie de votre aimable attention.

Dernière minute – Ousmane Sonko en gambie

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

En route pour Ziguinchor, j’ai fait escale aujourd’hui en Gambie, consacrant ainsi ma première sortie du territoire national depuis deux ans et 3 mois.

Je rappelle que la mesure de mise sous contrôle judiciaire a juridiquement pris fin avec la fin de l’instruction.

C’est donc en toute illégalité que monsieur Oumar Maham DIALLO, juge du 1er cabinet d’instruction, refuse de me restituer mes documents de voyage.

Face à une portion de la justice inique et aux ordres politiciens, la désobéissance est un moyen et la résistance un droit.

Khalifa Ababacar Sall « J’incarne l’homme d’Etat qui va réconcilier le Sénégal »

Khalifa Ababacar Sall
Khalifa Ababacar Sall

« Cela m’étonnerait que Khalifa Sall se désolidarise de YAW pour aller seul au dialogue » (El Malick Ndiaye)

El Malick Ndiaye
El Malick Ndiaye

Le secrétaire national à la communication de PASTEF, El Malick Ndiaye s’est prononcé sur la possible présence de Khalifa Ababacar Sall au dialogue. Invité dans l’émission le « Grand jury », sur la Rfm, il affirme que ce serait étonnant que les opposants comme Khalifa Sall y participent, en se désolidarisant de la coalition Yewwi Aslan wi.

« Cela m’étonnerait que Khalifa Ababacar Sall se désolidarise de YAW pour aller seul à un dialogue. J’attends de voir sa réaction parce que pour l’instant, de ce que j’ai compris il s’agit des appels de la part de ses responsables a l’intérieur du pays (Tambacounda). Maintenant on attend de voir si Khalifa décide d’y aller seul », déclare-t-il.

Poursuivant, El Malick Ndiaye souligne qu’à l’issue de la décision de Khalifa Sall, « Yaw et Pastef vont apprécier ». Pour cause, il informe que dans « ces conditions là, on ne peut pas aller à vers un dialogue sans qu’il y ait des préalables qui vont rassurer tout le monde. Aujourd’hui de ce que nous notons, il ne s’agit pas d’un dialogue national, mais d’un dialogue politique parce qu’on ne parle que de politique alors que ça doit pas être le cas. Il faut qu’on parle d’autres questions comme économiques, de la gestion de nos ressources naturelles de la justice, les fonds du Covid, etc. Il y’a énormément de sujet qui intéresse les Sénégalais mais c’est comme si on veut limiter les Sénégalais. Ce n’est pas cela un dialogue. »

En outre, le secrétaire national à la communication de PASTEF déclare que si Khalifa décide de répondre malgré tout à l’invitation de Macky Sall pour le dialogue ils « décideront d’apprécier en conséquence ».

Pour rappel, la Coordination départementale de Taxawu Sénégal de Tambacounda a donné son feu vert à Khalifa Ababacar Sall afin qu’il aille répondre à l’invitation de Macky Sall pour un dialogue politique. Ce, à la suite de concertation dans les 8 communes du département de ladite région.

Ndeye Fatou Touré

Affaire des pyjamas achetés lors de la Covid-19 : Abdoulaye Diouf Sarr s’explique

Abdoulaye Diouf Sarr
Abdoulaye Diouf Sarr

L’ancien ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, a apporté des explications sur les pyjamas commandés dans le cadre de la riposte contre la Covid-19 et révélés par son ancien responsable logistique dans son ouvrage intitulé « Sur les vagues de la covid-19 ». A l’émission Jury du dimanche (JDD) sur Iradio, dont il était l’invité ce 30 avril, M. Diouf Sarr a fait savoir que ces pyjamas étaient destinés « aux malades internés dans les CTE (Centre de Traitement des Epidémies ) ». 

Dans son ouvrage « Sur les vagues de la covid-19 », Dr Abdoulaye Bousso a écrit : « Un jour, mon responsable logistique m’annonça qu’il avait reçu une dotation de pyjamas, commandés par le ministère de la Santé. J’ai pensé que c’étaient les tenues que nous portions dans les blocs opératoires qui avaient été achetées et que le personnel des CTE pouvait porter. Dans notre jargon chirurgical, le pyjama est la tenue qui est portée sous la blouse stérile ». 

Répondant à cette déclaration de Dr Boussa, Abdoulaye Diouf Sarr dit comprendre sa position : « Quand on remet à un médecin un pyjama à utiliser de manière classique, il peut être surpris. Ça relève de l’anecdote ». 

« Mais, a-t-il précisé, ces pyjamas-là ont été utilisés dans le cadre de la riposte. Vous savez combien de Sénégalais nous avons hébergé dans les hôtels ? Dans les CTE ? Et quand vous entrez dans le CTE vous êtes totalement pris en charge par le CTE et vos habits sont amenés à l’incinération ». 

A en croire l’ancien ministre de la Santé, ces pyjamas ont été utilisés dans les CTE de la manière « la plus normale ». « Je comprends que quand un médecin demande et qu’on lui amène un pyjama classique, mais effectivement il peut être surpris et ça relève de l’anecdote. Mais je suis persuadé que loin de son idée de penser qu’il y’a effectivement eu problème. Il a dit dans son livre des choses formidables qui expliquent ce que nous avons fait ensemble. Il était très transparent avec nous », a répondu Abdoulaye Diouf Sarr sur la question. 

Le Cesti va désormais porter son nom

Mame Les Camara
Mame Les Camara

Le Centre d’étude des sciences et techniques de l’information (Cesti) va porter le nom de Mame Les Camara. L’annonce a été faite ce lundi par le président Macky Sall.

«Au-delà des règles du journalisme qu’il enseignait, il a toujours prêché par l’exemple. Pour que Mame Less reste une boussole pour les journalistes, j’ai décidé de donner au Cesti son nom pour perpétuer son action», a annoncé le président Macky Sall. Il l’a dit lors de la traditionnelle cérémonie de présentation des cahiers des doléances des centrales syndicales, qu’il présidait ce 1er mai.

Mairie Fann Point-E-Amitié : Voici le remplaçant de feu Palla Samb

Palla Samb
Palla Samb

Décédé le 19 mars dernier des suites d’un malaise, le maire de Fann-Point E-Amitié, Palla Samb vient d’être remplacé par Dieynaba Ba Dème de la coalition Yewwi Askan Wi.

Lors des élections tenues, ce mardi 02 mai 2023, Dieynaba Ba Dème, investie aussi par Taxawu Dakar de Khalifa Sall, a battu ses protagonistes Malick Diop de Benno Bokk Yaakaar et Codou Diène, qui fut la première adjointe au maire.

Alioune Mbaye Nder fait des révélation sur Wally «soumakoy xol damay guiss sama bop defmay délo xalé»

Alioune Mbaye Nder fait des révélation sur Wally
Alioune Mbaye Nder fait des révélation sur Wally

« Présidentielle 2024: Comment une 3e candidature de Macky empêche le choc des idées… »

Présidentielle 2024: Comment une 3e candidature de Macky empêche
Présidentielle 2024: Comment une 3e candidature de Macky empêche

Au Sénégal, on a souvent parlé d’héritage et peu discuté d’avenir.

De Me Lamine Guèye à Macky Sall, le fait de gérer les affaires de la cité, à rebours des codes de la démocratie participative, amène à penser que le pouvoir est un gâteau à se partager quitte à engendrer des contradictions liées à des logiques de succession, qui posent des problèmes de démocratie interne, voire de démocratie tout court.

En 1948 déjà, Léopold Sédar Senghor, en quittant la Section française de l’internationale ouvrière (SFIO), adressa une mémorable lettre à Guy Mollet. Via cette missive, le futur président dénonçait la mainmise que Lamine Guèye exerçait sur l’appareil du parti. Senghor créera le Bloc démocratique sénégalais mais une fois au pouvoir, le Bds va conduire la même politique que la SFIO. Mieux, les deux hommes vont se retrouver dans l’Union progressiste sénégalaise (Ups).

En réalité, il n’y avait que des divergences d’ordre personnel entre ces deux gladiateurs du socialisme sénégalais que rien n’oppose profondément en dehors d’une querelle d’égos surdimensionnés.
En 2000, Me Abdoulaye Wade bâtit campagne en promettant le plein-emploi et sera incapable d’honorer ses engagements, puisqu’en 2008, il avouera son incapacité de résoudre la lancinante question de l’emploi des jeunes.

En fait, à la veille de la présidentielle de 2000, la série de défections connues par le Parti socialiste connut un si grand retentissement médiatique qu’on en a oublié que durant cette décennie 1990-2000, Moustapha Niasse, Abdoulaye Wade et Djibo Kâ ont travaillé dans des gouvernements de Abdou Diouf et qu’aucun changement radical ne pouvait être attendu de l’éclatement de leur mouvance.

Itou en 2012, le débat sur le projet supposé ou réel de dévolution monarchique du pouvoir ne favorisa pas une meilleure compréhension des programmes des uns et des autres.

En élisant Macky Sall, 65 % des électeurs ont, pour la plupart, sanctionné le projet supposément dynastique qui était prêté au pape du Sopi, mais ils n’ont pas été convaincus de la faisabilité de la promesse de création de 500 000 emplois le temps d’un septennat promis par le leader de l’Alliance pour la république.

D’ailleurs, la déchéance va vite gagner ces électeurs, qui ne tarderont pas à pousser la complainte « Deuk bi dafa Macky », devant les flottements du régime issu de la Seconde alternance qui n’a pu matérialiser, à ce jour, la « philosophie de gouvernance sobre et vertueuse » qui devait prétendument opérer la « rupture » tant attendue.

Les Sénégalais ont jusqu’ici éliminer un président de la République sortant sous le mode du « Tout sauf… ». En vérité, ils n’ont pas porté à la tête du pays un dirigeant transformateur capable de concrétiser le Changement sur la base d’une vision originale, pertinente, réaliste et réalisable.

Depuis 2012, différents livres programmatiques ont été écrits par des acteurs politiques réputés tels Abdourahmane Diouf, Ousmane Sonko, Thierno Alassane Sall, Boubacar Camara…Macky Sall lui-même a écrit son autobiographie intitulé « Le Sénégal au cœur », mais la promotion du livre a souffert du bilan immatériel de son magistère fait d’actes de mal-gouvernance et de régression démocratique.

Ainsi, la polémique sur le projet de 3e candidature prêté à Macky Sall est un parasite qui vient brouiller les regards en ne favorisant pas une meilleure lisibilité des programmes.

C’est pourquoi il faut saluer l’initiative du Parti républicain pour le progrès (Prp), qui innove avec la tenue d’un séminaire programmatique prévu du 5 au 7 mai à Dakar.

Ce séminaire à l’instigation des cadres de cette formation politique sera l’occasion de concevoir un projet de gouvernance pour installer le Pays de la teranga sur les rails de la vraie émergence économique. Cela, dans le sillage des livres-programmes déjà publiés par d’autres candidats.

Ce recentrage sur l’exercice intellectuel est d’autant plus nécessaire que la nouvelle ère géopolitique fait que l’Afrique est devenue un plus grand enjeu pour les grandes puissances qui s’y entredéchirent sous le mode d’une guerre froide.

A cet égard, les contrecoups néfastes du Coronavirus et les répercussions de la guerre entre la Russie et l’Ukraine prédisposent à devoir dégager un meilleur profil pour au moins permettre au Sénégal de développer enfin son agriculture et, conséquemment, de ne plus avoir à vivre les affres d’une crise alimentaire reliée à des chocs exogènes.

Dans tous les domaines, des solutions doivent être proposées pour que le débat cesse de porter sur les personnes lorsque l’on déplacera le curseur sur les idées. Pour découvrir une meilleure idée du Sénégal…

* Par Thierno Diop…

Le coup de gueule de Macky Sall : « C’est inacceptable, il faut arrêter »

Ce lundi 1er mai, le chef de l’Etat Macky Sall accueillait les centrales syndicales au palais de la République ce lundi. Interrogé sur les difficultés de La Poste, il a pointé du doigt la problématique du recrutement politique.

« Il faut que les recrutements politiciens cessent. Ce sont ces recrutements qui ne sont pas durables encore moins viables. Nous avons réfléchi sur ce cas et le Premier ministre et son gouvernement travaillent pour un plan de sauvetage de la Poste. Des sociétés qui recrutent 3. 000, 4.000 et même 5.000 agents ou plus, c’est inacceptable », estime le président Macky Sall, rapporte Dakaractu. Selon le président Sall, ce genre de pratiques ne feront qu’augmenter inutilement les charges de l’État.

« Comment est-ce qu’on peut transférer des recrutements politiciens sans aucune référence dans les corps de l’État ? Ce n’est pas possible car, aucune mairie ne pourra supporter cela », a encore signalé le président Macky Sall annonçant des séances de travail entre le ministre et les collectivités pour résoudre ces irrégularités.

Boubacar Camara : « Comment Macky Sall utilise le dossier Sonko pour valider sa candidature… »

Invité de « Tolluway » sur Seneweb TV, Boubacar Camara estime que le président Macky Sall joue avec les nerfs de ses opposants, pour valider sa candidature en 2024. 

Il déplore la procédure enclenchée contre le leader de Pastef, dans le but de non pas de l’empêcher de se présenter aux prochaines joutes électorales, mais en ouvrant des brèches pour une troisième candidature de Macky Sall. 
 « Il (Macky Sall) te tire à l’usure pour te tendre la main après. Son objectif est de jouer avec les nerfs jusqu’au bout, pour imposer sa candidature en validant les autres », analyse Boubacar Camara.
Il soutient néanmoins qu’il faut d’abord régler les procédés des dossiers de Sonko avant de prétendre à quoi que ce soit. Sinon, il faudra tout suspendre jusqu’après les élections, suggère l’auteur du livre « Comment sortir de la pauvreté ». 

« Ousmane Sonko entre outrances, leurres et chaos », Par Doudou KA

Il est du devoir de tout républicain de rompre le silence lorsque la République est attaquée, insultée, menacée et bafouée. Dans sa stratégie de décrédibilisation de nos institutions, Monsieur Ousmane Sonko vient de franchir la ligne rouge en piétinant, avec une légèreté et une gravité inédites, l’honneur, la dignité et le sacro-saint respect dû à ces milliers de femmes et d’hommes au service de la Nation.

Parfois au péril de leur vie. En s’attaquant avec une rare virulence aux Forces de Défense et de Sécurité (FDS) sénégalaises, le Pastef et son chef viennent une fois de plus, de dévier du code de conduite républicain.

Alors qu’il faisait preuve, depuis sa récente condamnation par la justice pour diffamation, d’une surprenante discrétion acoustique et médiatique, revoilà Monsieur Sonko encore face à ses démons.

Les accusations de « tentative d’assassinat sur sa personne » en mondovision, qu’il a portées contre les Forces de Défense et de Sécurité Sénégalaises, questionnent une fois de plus, sur les dérives d’un homme qui a fait de la prophétie du pire, de l’atteinte aux institutions et de l’acharnement contre la République, le levier stratégique de sa ligne politique.

Ainsi va Monsieur Ousmane Sonko. Emporté par sa haine sans limite de l’État et du président de la République, englué dans sa stratégie de la manipulation, embourbé dans son obsession insurrectionnelle et anarchiste, l’homme vient de franchir un cap dangereux en soupçonnant nos gendarmes et policiers de vouloir attenter à sa vie. Rien de moins. Rien que ça.

Sauf à être ennemi du Sénégal, aucune ambition, fut-elle présidentielle, ne doit autoriser un leader politique à se laisser à de telles outrances qui ne doivent pas rester impunies et qui ne vont certainement pas rester sans conséquences judiciaires.

Sauf à être anti-républicain, aucune ambition politique ne saurait justifier qu’on ait pu livrer à la vindicte nationale et internationale, l’honneur de toute l’institution sécuritaire sénégalaise en portant contre elle, des accusations aussi extrêmement infamantes que celles de tentative d’assassinat.

Une fois encore, Monsieur Ousmane Sonko est allé loin. Trop loin. L’insulte de trop. L’irresponsabilité de trop. La dérive de trop. L’infamie de trop. L’outrance de trop de la part d’un homme animé par une seule volonté, déstabiliser la République en portant gravement atteinte aux fondations de l’État de droit.

Ce jeu est d’une terrible dangerosité en ce sens qu’il participe à la rupture du pacte de confiance entre le peuple et ses forces de l’ordre. Cela est inacceptable venant d’un personnage qui veut incarner la République.

Sous ses airs de Sankara de carnaval, le cas Ousmane Sonko interroge sur sa légitimité à prétendre gouverner le Sénégal. Par ses récurrentes accusations graves, déshonorantes et insultantes contre les institutions, les forces de sécurité sénégalaises, ce manipulateur fanfaron, diffamateur condamné s’est auto disqualifiée pour être le Commandant Suprême des Armées.

À force de zigzaguer en permanence entre le moitié-vrai et le totalement faux pour manipuler les esprits et déstabiliser le pays, à force de vouloir se prendre pour cet omni opposant sans équivalent dans l’histoire, qui ne s’oppose pas comme tout le monde et qui s’oppose comme personne avant lui, il s’est enfermé dans son propre piège.

Son tout récent revirement sur la présence économique française au Sénégal, constitue le symbole de la versatilité d’un homme prompt à s’accommoder de tout l’inverse de ce qu’il a combattu hier.

Alors qu’il s’insurgeait à tort et avec véhémence il y a encore peu, contre l’implantation des magasins Auchan au Sénégal qu’il considérait comme une catastrophe économique nationale, le voilà déguisé en VRP de la chaîne de distribution française. Un brutal et inattendu rétropédalage qui vient scier un peu plus, ce qui lui restait de branches pour asseoir un semblant de crédibilité. À trop en faire, il s’est décrédibilisé, il’s’est disqualifié.

Entre promesses non tenues, caisses municipales vides, investissements nuls, taxes tous azimuts, agents municipaux en colère, manque de vision avec en prime, l’ improvisation qui a remplacé la gestion, le tout sur fond d’amateurisme, de manque criard d’ambition pour la ville de ziguinchor et pour les Ziguinchorois, le bilan catastrophique de 15 mois de municipalité de Sonko est sans appel. Et l’addition risque d’être encore plus salée pour les Ziguinchorois.

La mise en scène théâtrale de ses récentes promesses de modernisation de la ville relève du leurre politique. Cible du courroux grandissant de ses administrés, l’inventaire laborieux de ses projets aux pertinences douteuses et financements hasardeux et non maîtrisés est une manière de calmer l’exaspération de la population et gérer la déception des Ziguinchorois. Un leurre politique qui porte la signature politique d’un illusionniste anarchiste politique.

Ainsi va Monsieur Ousmane Sonko. Sans moteur ni direction. Avec des ambitions et une vision qui épousent sa propre caricature. Celle d’un homme en rupture de ban républicain, sans autre horizon que lui-même et qui a fait de l’outrance, du chaos, de la diffamation, de la fureur et de l’insulte, sa stratégie de conquête de pouvoir.

Il y a les manipulateurs, les dissimulateurs, les calculateurs. Les princes de la victimisation aussi. Et à ce jeu, le Président du Pastef M. Ousmane Sonko, tient le pompon. Tant il semble être le seul homme politique sénégalais à être tout cela à la fois.

Mais Monsieur Ousmane Sonko doit se le tenir pour dit. Dans une démocratie, la seule voie permise est le respect des principes républicains. Car l’alternative, c’est le renversement de l’ordre constitutionnel. On appelle ça : haute trahison.

Doudou KA
Président de la Coalition « DOGGU pour le Grand Sénégal »

Manipulation et mensonges de qui se moque Adji Mbergane KANOUTE ?


Au moment où le Président de la République Macky SALL a lancé le dialogue à l’endroit de toutes les composantes de la nation. Les femmes de BBY font dans la manipulation sous la houlette de sa vice-présidente Adji Mbergane KANOUTE. En effet, cette dernière sème la zizanie entre les femmes de BBY. Dans un audio, elle invite une partie des femmes à leur conférence de presse, tout en écartant d’autres qui ne seraient pas en phase avec le troisième mandat, ou qui ne seraient pas en accord avec elle. Tout porte à faire croire qu »elle gére au sein de BBY une opposition bien entretenue à la place de celles qui se vouent corps et âme au Président de la coalition. N’est-ce pas de l’arnaque au Président de la République?
Avant d’appeler au dialogue, il faut au préalable que la cohésion tant chantée par le Président de BBY soit de mise.

BICIS groupe Sunu : Voici la nouvelle directrice (photo)

La BICIS du groupe Sunu de Pathé Dione vient d’avoir une nouvelle patronne. En effet, l’ancienne Directrice Générale Adjointe de la BDK, Ndèye Coumba Teuw Aw, a été nommée à la tête de la banque. Elle avait fait un passage à la BICIS pendant 18 ans avant d’aller à la CBAO puis à la BDK.

Pour rappel, depuis l’année dernière, le BICIS fait partie du groupe SUNU après avoir été racheté par feu Pathé Dione. Il a acheté 54% des parts de la banque, quelques mois avant son décès.

Journalistes et Forces de l’ordre : la recette de Macky pour mettre fin aux tensions

Le secrétaire général du Synpics qui s’est exprimé lors de cette rencontre a attiré l’attention du chef de l’Etat , Macky Sall sur les conditions de travail des journalistes et des techniciens notamment lors des manifestations.

Répondant à cette interpellation, le président de la République a souligné que « les journalistes doivent rapporter ce qui se passe mais dans la limite de l’exercice des autres ». D’après M. Sall, « il doit y avoir une possibilité avec le ministre de l’Intérieur et les professionnels pour trouver un code de collaboration entre les journalistes et les Forces de l’ordre. »

En outre, le secrétaire général du Synpics a fait savoir qu’à la fin du prochain trimestre le président de la République recevra les premières conclusions des Assises de la presse et les propositions de réformes y afférentes. Le président de la République a assuré qu’il sera « très attentif » aux conclusions de ces assises « parce qu’il y va de l’intérêt national d’avoir une presse autonome, capable de jouer pleinement son rôle dans un Etat de droit ».

Mamadou Fofana attaque sévèrement Mimi Touré après sa sortie sur Karim Wade « na dem wouti mbolo té bayi conférence de presse yi… » (vidéo)

Mamadou Fofana attaque sévèrement Mimi Touré après sa sortie sur Karim Wade « na dem wouti mbolo té bayi conférence de presse yi… » (vidéo)

Grève, hausse des salaires : les mises en garde de Macky

Les centrales syndicales ont remis leurs cahiers de doléances au président de la République, Macky Sall. Mais ce dernier a aussi voulu être clair sur certaines questions. Macky Sall a dénoncé les grèves sans préavis, a dit qu’il n’y aura pas d’augmentation de salaires dans le public parce que le niveau maximal a été atteint. Il s’est aussi insurgé contre la mauvaise gestion dans les entreprises publiques.

D’après le président de la République, « les grèves sans préavis, qui n’ont rien à voir avec les revendications sociales des travailleurs, doivent être prohibées et punies ».

Et d’indiquer : « Je veux bien payer, mais je veux que le travail et la productivité suivent, on ne peut pas tous les jours sans préavis se mettre en grève. C’est violer la loi, moi j’ai dit au gouvernement qu’il faut appliquer la loi dans toute sa rigueur. Dans ce cas, un jour de grève, c’est un jour sans salaire. Nous devons nous accorder là-dessus, peut-être dans le cadre d’un nouveau pacte de stabilité et d’émergence économique .»

Revenant sur les efforts consentis ces deux années, le Président Sall souligne qu’en 2022, l’enveloppe pour les augmentations de salaires est estimée à «160 milliards 750 millions» et pour 2023, 159 milliards. Le total de ces montants, selon M. Sall, « c’est plus que la moitié du budget du Sénégal en 2000 ».

Appelant ainsi les syndicalistes à la raison, le président de la République soutient que « l’Etat ne peut plus augmenter des salaires». « On a atteint le niveau maximal, il est important que le gouvernement reste clair sur cette question salariale. Il faut faire des efforts vers d’autres secteurs et d’autres catégories, nous devons partager les fruits de la croissance de façon équitable », a-t-il averti.

Birahim Toure recadre Sonko «yagui beug nek Président ba paré di attaqué sunu FDS ak sunu magistrat »

Birahim Toure recadre Sonko «yagui beug nek Président ba paré di attaqué sunu FDS ak sunu magistrat »

Mansour Diop humilie son invité partisan Khalifa Sall « meunolen bok F24 beug wouyou dialogue Macky (Vidéo)

Mansour Diop humilie son invité partisan Khalifa Sall »meunolen bok F24 beug wouyou dialogue Macky

Affaire Ousmane Sonko : Adji Sarr, Abdou Nguer, la clé USB…, Sidy Mouhamed Mbaye déballe

Sidy Ahmed Mbaye fait des révélations explosives sur l’histoire de la vidéo à 10 millions FCFA impliquant Adji Sarr et Ousmane Sonko et pour laquelle il a été interpellé avant d’être libéré.

Il déballe dans un entretien avec L’Observateur :

« Abdou Nguer m’a accusé à tort »

«Abdou Nguer m’a accusé à tort. Il a fait cette sortie pour m’atteindre. Il a été manipulé par une personne que j’ai fini par identifier. (…) Je ne suis allé vers personne. Abdou Nguer et ses soutiens étaient à la recherche de supposées vidéos compromettantes contre quelqu’un (Ousmane Sonko, Ndlr), car ils voulaient salir son nom. Si j’avais ces vidéos, je ne les vendrais pas à 10 millions F CFA parce que je sais qu’ils étaient prêts à débourser plus. (…)

« Si arnaque il y a »

«Quelqu’un qui était au courant que des gens sont à la recherche de vidéos m’a appelé un jour pour me dire qu’il en détient. Je lui ai rétorqué que je ne me mêle pas de cette affaire jugée louche car je ne veux pas en rajouter à mes problèmes. Il a insisté pour que je le mette en rapport avec des gens. C’est ce que j’ai fait. Ensuite, ils ont discuté et trouvé un terrain d’entente. Je n’étais pas présent quand ils faisaient la transaction, mais il s’est trouvé que la clé USB était vide. Donc je n’étais pas censé savoir que le gars les a arnaqués, si arnaque il y a. Puisque je suis le plus célèbre du groupe, Abdou Nguer s’est déchargé sur moi. Il n’a pas mesuré les conséquences de l’acte qu’il a posé. Il prétendait soutenir Adji Sarr, mais il lui a causé un préjudice énorme.

Deux millions remboursés

«(Sur le remboursement de 2 millions pour recouvrer la liberté dans l’affaire de la clé USB), c’est faux. Je n’ai pas payé un rotin à la gendarmerie. Je défie quiconque de fournir les preuves. À la gendarmerie, les enquêteurs m’ont indiqué trois voies : sortir la vidéo, rembourser les 10 millions ou aller en prison. Je leur ai répondu que je préfère aller en prison car je ne détenais pas de vidéo. Je ne pouvais rembourser une somme que je n’avais pas encaissée. Ce qui les intéressait, c’était de me décrédibiliser et de me mettre la pression pour que je sorte les vidéos. (…) Après, on m’a appris que quelqu’un a payé à ma place pour que l’affaire ne prenne pas une autre tournure. Mais je ne sais pas s’il a fait pour trouver une solution. Je n’ai pas vu la couleur de l’argent. C’est ça la vérité. Si ces gens voulaient m’aider, ils pouvaient le faire bien avant que je ne me retrouve dans cette situation.»

L’avenir de Khalifa Sall et Karim Wade est entre les main de Macky Sall motax yag yag dinaniou dem

L’avenir de Khalifa Sall et Karim Wade est entre les main de Macky Sall motax yag yag dinaniou dem

Parcelles-Assainies: L’activiste « Sau Kana » arrêté par la police, voici la raison

« Sau Kana » est en garde à vue ! Ce célèbre activiste a été arrêté par les éléments du commissariat de l’unité 15 des Parcelles-Assainies selon les informations exclusives de Seneweb, pour injures publiques et outrages à agent. Détails !
Arrêté puis déféré au courant du mois de juin dernier par les policiers du commissariat de l’unité 15 des Parcelles-Assainies, « Sau Kana » est encore en détention.
Cet homme très actif sur les réseaux sociaux est accusé d’avoir semé le désordre sur la voie publique et proféré des propos injurieux à l’endroit des policiers selon des sources de Seneweb.
Tout a commencé lorsque cet activiste a tenté de perturber la quiétude des citoyens. Contre toute attente, Sau Kana aurait insulté les éléments de la compagnie de circulation qui tentaient de le raisonner. Puis, il a proféré des propos injurieux à tout-va.
En conséquence, l’activiste a été arrêté par les éléments du commissariat de l’unité 15 des Parcelles-Assainies. Entendu par les hommes du commissaire Khouma, le mis en cause a reconnu sans ambages les faits.Selon lui, il a  l’intention de mettre de l’ordre dans le pays selon des sources de Seneweb.
Placé actuellement en garde à vue pour injures publiques et outrages à agent, Sau Kana sera déféré prochainement au parquet.

Appel au dialogue : Alliance Libérale Pour le Développement du Sénégal (ALPDS) donne sa réponse au président Macky Sall

COMMUNIQUE

L’Alliance Libérale pour le Développement du Sénégal (ALPDS) apprécie positivement la volonté exprimée du Président de la République, Macky Sall d’ouvrir un dialogue national.

L’ALPDS adhère totalement à cette initiative et encourage une large adhésion des différentes forces vives du Sénégal.

A un an de l’élection présidentielle, l’ALPDS pense qu’un dialogue et une concertation sincères liés au processus électoral et à plusieurs autres sujets qui préoccupent certaines parties prenantes ne font que renforcer davantage notre système électoral qui a fini de faire ses preuves.

L’appel du Chef de l’Etat réitéré à plusieurs occasions nous invite à œuvrer ensemble pour :

– la tenue d’une élection présidentielle transparente et apaisée ; 

– la préservation de la paix et de la stabilité ;

– la préservation de la cohésion nationale au Sénégal ;

– la préservation de la démocratie, des valeurs de la Républiqueet de l’état de droit.

L’ALPDS soutient la régularité de la croissance économique de notre pays et appelle à un dialogue inclusif et constructif qui met en avant le développement économique et social du Sénégal.

L’ALPDS milite pour un Sénégal qui continue de faire preuve d’un génie exceptionnel. 

L’ALPDS continue à solliciter les prières de nos illustres guides religieux afin d’éclairer encore notre chemin vers l’émergence dans la sérénité, l’équité et la responsabilité. 

​​​​​​​​​ 

Dakar, le 01 mai 2023

Vive le Sénégal

Vive l’Afrique

Le Président, Mayoro FAYE

Urgent: Pierre Atépa Goudiaby Invite Sonko à Répondre à l’Appel de Macky SALL

Pierre Atépa Goudiaby Invite Sonko à Répondre à l’Appel de Macky SALL

Alioune Tine à Macky et Sonko : « La confrontation n’est dans l’interêt de personne, il ya trop de morts »

Alioune Tine à Macky et Sonko
Alioune Tine à Macky et Sonko

Le fondateur d’Afrikajom Center, Alioune Tine est formel: « Le choix de la confrontation n’est pas dans l’interêt de la Nation, il va rendre ce pays trop vulnérable dans un contexte régional dominé par les conflits et des violences apocalyptiques ».

D’après Alioune Tine, sa conviction profonde c’est que le dialogue politique a souvent sauvé notre pays quand il est sincère sans calculs, sans manoeuvres et quand il met à l’aise les acteurs.

Pour lui, il faut créer les conditions de succès. Libérer les détenus politiques, résoudre l’équation de l’éligibilité ».

« Au PR Macky Sall de faire bouger les lignes pour qu’on l’aide à construire l’unité et la paix », déclare M. Tine.

« La confrontation n’est dans l’interêt de personne, il ya trop de morts, trop de bléssés, trop de personnes en prison. Quid de l’image du pays avec des FDS partout, des chars partout et le gazage des militants de l’opposition. Ça suffit », ajoute Alioune Tine.

Selon Alioune Tine, le courage, la lucidité, la raison et le réalisme tout court, impose le succes du dialogue, un dialogue inclusif la présence de tous les acteurs politiques. Pour lui, c’est possible avec la restauration d’un climat de confiance. « Mettre fin à la répression tous azimuts, aux arrestations », demande-t-il.