Cette révélation de nos confrères du journal Libération n’est pas de nature à faire l’affaire du présumé meurtrier de Feu l’étudiant Bassirou Faye, en l’occurrence Sidy Mouhamed Boughaleb.
En effet, selon le journal de Cheikh Mbacké Guissé, le jour du meurtre de l’étudiant, Sidy Mohamed Boughaleb disposait de cinq munitions, alors qu’en réalité, il n’en avait pas le droit. Du moins, ajoute le canard, venant de l’armurerie de la Police.
Une révélation qui pourrait glacer le sang de la famille du présumé tueur de Bassirou Faye. Récemment, le père du flic a fait une sortie dans la presse, non seulement en tirant sur le Doyen des juges, Mahawa Sémou Diouf. Mais aussi, en jouant à se faire peur. Histoire de dire que si les autorités judiciaires veulent jouer, “alors on va jouer”.