Président, de grâce, ôtez les menottes à Assane et ne salissez pas votre récent lisse C.v, à cause de lui

Président, de grâce, ôtez les menottes à Assane et ne salissez pas votre récent lisse C.v, à cause de lui

Il y a de cela quelques jours, Actusen.com s’extasiait de bonheur et de contemplation face à la hauteur prise par le Président de la République d’ôter les menottes à la chanteuse Amy Collé Dieng qui avait ô combien manqué d’inspiration et de lucidité, au point de l’offenser via Whatsapp, à l’insulteuse de l’ethnie ouolof, Penda Bâ et à la journaliste Ouley Mané, coupable d’un photomontage insultant que rien ni personne ne saurait justifier. Actusen.com se prosternait, également, devant la posture de Père de la Nation incarnée dans ces différents dossiers par le Chef de l’Etat, Macky Sall.

Qui, en décidant de passer l’éponge sur des dossiers qui, à coup sûr, pourraient valoir aux trois femmes citées plus haut un long séjour carcéral, ne peut que gagner en capital de sympathie auprès de l’opinion. Surtout auprès de certains qui doutaient encore de la possibilité pour le locataire du Palais à ravaler sa colère, quand il a la possibilité de taper sur les doigts de ses compatriotes déviants.

Tous ont salué, à l’époque, sa grandeur d’esprit. Alors, Macky Sall aurait davantage étoffé celle-ci, s’il prenait l’option de fermer les yeux sur le cas Assane Diouf. Indiscipliné, irresponsable, maladivement maladroit…Bref, aucun épithète n’est de trop pour qualifier cet homme qui semble être doté d’un esprit de colibri dans un corps de grizzli.

Le Chef de l’Etat ne perdrait rien, s’il ignorait et le laissait vaquer librement à ses occupations que la nature est déjà en train de punir l’insulteur public. En effet, extirpé des Etats-Unis où il se la coulait des années heureuses, depuis plus d’une décennie, Assane Diouf est désormais un sans emploi. Et vient grossir les rangs des chômeurs du Sénégal.

Ce n’est pas tout. Dans la mesure où l’homme, qui manque de finesse, d’éducation et de retenue, est condamné par l’opinion publique. Assane Diouf est l’objet d’une «vindicte» populaire.

Car dans les cercles religieux, au niveau de la Jeunesse, dans les foyers, les marchés, les gares routières, entre autres lieux de rencontre, même chez les esprits les plus tordus, personne ne saurait prendre sa défense.

Parce qu’en insultant la PREMIERE INSTITUTION du SENEGAL, Assane Diouf a fait preuve de niveau zéro de l’existence humaine, en termes de savoir-être. D’ailleurs, l’homme est dépeint comme un malade. A tort ou à raison ? Allez savoir…

En un mot comme en mille, Assane Diouf ne mérite pas que le Président salisse son lisse C.v, quand il s’est agi, pour lui, de traiter les cas “Penda Bâ, Ouley Mané et Amy Collé Dieng”. Elles vont, désormais, vivre cachées. Parce que submergées par la honte.

Alors, encore une fois, la société, dans son ensemble, a déjà vengé le Chef de l’Etat. Qui, en bon Père de la Nation, peut, légitimement, pardonner à Assane Diouf, qui, à n’en point douter, ne fait pas la fierté des siens.

Toutefois, si, maintenant, le Président de la République ne pouvait pas peser de tout son poids, pour que Assane Diouf ne soit pas inquiété, alors, qu’il prenne toutes les dispositions idoines, afin que le maniaque puisse jouir de tous ses droits en prison. Afin que rien, absolument rien du tout ne puisse lui arriver au fond de sa cellule.

Et pour que, dans l’avenir, personne ne puisse dire qu’il a subi un traitement dégradant en prison, “à l’image de Boy Djinné et de l’Imam Ndao”, ont l’habitude de dénoncer les Organisations de défense des droits de l’homme.

Actusen.com

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