Pr Malick Ndiaye: « Les alliés du 2nd tour tiennent entre leurs mains le sort de Macky Sall »

  Pr Malick Ndiaye, membre de la coalition Macky 2012 et non moins membre de la coalition Macky 2012, dans un entretien avec L’Obs, a fustigé la coalition Bennoo bokk yaakar (Bby).  « Ces alliés n’attendent que le bon moment pour dire à Macky Sall, qu’ils vont défier. Bennoo Bokk yaakaar est un marché de dupes. Il y a des mises en gardes qui ont été faites par des voix plus autorisées que la mienne dans Macky 2012 », a-t-il tenu à souligner.  « Il a, de fait, remis le pouvoir entre les mains des alliés du 2nd tour qui tiennent aujourd’hui entre leurs mains le sort de Macky Sall. A l’heure qu’il est, le sort de Macky Sall ne repose plus sur sa coalition primaire, Macky 2012, mais sur des coalitions de substitution, à savoir Bby. ce qui fait que les contre-performances notées présentent un fil directeur, à savoir que l’élu est passé du chemin initial que lui a confié le mandat, à des tergiversations et compromissions avec des forces qui ne sont pas forcement  des forces de changement, à tel point que son image et son crédit s’en sont ressentis », a analysé l’ancien ministre-conseiller du président Sall.

Pr Malick Ndiaye, membre de la coalition Macky 2012 et non moins membre de la coalition Macky 2012, dans un entretien avec L’Obs, a fustigé la coalition Bennoo bokk yaakar (Bby).

« Ces alliés n’attendent que le bon moment pour dire à Macky Sall, qu’ils vont défier. Bennoo Bokk yaakaar est un marché de dupes. Il y a des mises en gardes qui ont été faites par des voix plus autorisées que la mienne dans Macky 2012 », a-t-il tenu à souligner.

« Il a, de fait, remis le pouvoir entre les mains des alliés du 2nd tour qui tiennent aujourd’hui entre leurs mains le sort de Macky Sall. A l’heure qu’il est, le sort de Macky Sall ne repose plus sur sa coalition primaire, Macky 2012, mais sur des coalitions de substitution, à savoir Bby. ce qui fait que les contre-performances notées présentent un fil directeur, à savoir que l’élu est passé du chemin initial que lui a confié le mandat, à des tergiversations et compromissions avec des forces qui ne sont pas forcement  des forces de changement, à tel point que son image et son crédit s’en sont ressentis », a analysé l’ancien ministre-conseiller du président Sall.

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