Le Président Macky Sall ne se présente pas seulement comme le premier Président du Sénégal à parler les trois principales langues, le wolof, le peul et le sérère. Ce jeune chef d’Etat de 51 ans, qui se décrit comme un “Sénégalais de synthèse, un pulaar de culture sérère”, a aussi offert à son pays, pour la première fois, une Première dame 100 % sénégalaise.
D’ascendance Peule et Sérère et ayant évolué en milieu wolof, elle a très tôt été immergée dans les valeurs qui fondent aujourd’hui la stabilité multiethnique du Sénégal. Attachée à une vie de famille paisible, elle a réussi à faire l’unanimité autour de son humilité non feinte et de sa grande capacité d’écoute et de communication avec les couches pauvres de la population et les jeunes.
Madame Sall est fière d’avoir contribué, aux côtés de son époux, avant et durant la campagne électorale de 2012, et depuis l’accession de ce dernier à la magistrature suprême, à faire avancer le Sénégal vers un nouveau creuset d’humanisme, de partage équilibré et transparent des opportunités au bénéfice des populations les plus déshéritées et vulnérabilisées par des conditions adverses.
Dès l’annonce de la création de la « Fondation Servir le Sénégal » qu’elle dirige avec un Conseil d’Administration composé de compétences bénévoles de haut niveau, Madame Sall a orienté sa préférence pour l’action humanitaire et sociale discrète, au profit de ceux qui en ont le plus besoin, dans un élan de générosité désintéressée, instruite par l’équité mise au service de tous, et une foi inébranlable en un Sénégal de paix, de stabilité et d’innovations au service du pays et de l’Afrique.
Solidaire des préoccupations de la majorité de la population de son pays, et, s’inspirant du fait que toute sa vie durant, elle a été partie intégrante de l’élan de tout un peuple pour de nouvelles conquêtes au service de la prospérité et du changement social, Madame Sall entend « servir le Sénégal » et l’Afrique avec détermination.
Son action philanthropique a commencé par le soutien aux patients qui avaient un besoin urgent d’accès à l’hémodialyse et aux soins rénaux, aux populations en détresse des bas-fonds inondés, aux marchandes de poisson les plus démunies, et aux plus nécessiteux des pèlerins en route pour les lieux saints de l’Islam .