On l’appelle « khessal » au Sénégal, « bojou » au Bénin, « tchatcho » au Mali, « akonti » au Togo, « dorot » au Niger, « kobwakana » dans les deux Congo ou encore « kopakola » au Gabon. Vu ses conséquences sur la la santé, les Lionnes de l’équipe nationale féminine du basket ont tiré la sonnette d’alarme.
Même si le sujet reste encore tabou, la dépigmentation reste une réalité à laquelle les personnes de peau noire se donnent dans le but d’être belle. Si l’on en croit Aminata Fall, Ndéye Sène, Oumou Khayri Sarr, Fatou Dieng, entre autres, la dépigmentation peut être associée à un développement favorable des maladies de la peau, le cancer notamment.