« Petite Compilation Des Mensonges Et Contradictions D’Adji Sarr »

Le niveau intellectuel élémentaire d’Adji Sarr, son impréparation au banditisme d’État, la médiocrité du scénario proposé par les commanditaires et surtout sa facilité à mentir systématiquement sans réfléchir sur la cohérence d’ensemble de ses propres mensonges font que nous sommes carrément en face d’accusations totalement fantaisistes qui ne feront perdre du temps à aucun juge sérieux.

I-Sur l’auteur de la plainte

Version A : A la question « êtes-vous la rédactrice de la plainte », Adji Sarr répond en toute naïveté qu’elle a bien rédigé la plainte.
Remarque : Toute personne objective sait qu’elle ment. Elle ne peut dans l’absolu rédigé la plainte. Adji sarr a donc commencé son audition par un mensonge flagrant. Aussi, entre la plainte et les PV, les déclarations de la plaignante sont discordantes. Signe d’un manque de coordination entre Adji et les commanditaires sur ce point.
Version B : La plainte a été rédigée par un avocat ou une avocate. Preuve : Sidy Ahmed Mbaye, dans son PV d’audition, dit avoir pris contact avec un avocat qui leur a aussi mis en relation avec un médecin.
Entre l’évidence qu’elle n’a pas rédigé la plainte et l’implication de l’avocat (e) dont parle Sidy A. Mbaye on sait où se situe la vérité : elle n’a jamais écrit la plainte.

II- Sur la date de son prétendu premier viol, Adji Sarr a eu un trou de mémoire !

1°) C’était quand la date du premier viol, elle répond : « je ne sais pas, j’ai oublié »,
2°) Elle oublie la date de son premier viol, mais n’a pas oublié les dates et jours où elle a massé Sonko : 31 décembre, 21 janvier, 2 février. Mieux, elle donne avec une relative précision les heures de passage de Sonko : le 2 février c’était à 21 h ; le 31 décembre 2020 c’était à 19 h00 ; le 21 décembre c’était entre 14 h et 15 h
NB : Quand on imagine on n’a pas toujours le temps et le réflexe intelligent d’inventer avec une date précise. L’essentiel étant de sortir l’accusation et non de la dater. Comment ne pas connaitre le jour clé à partir duquel, comme elle l’a dit dans la plainte, sa « vie a basculé » ?

III- Sur les circonstances des supposés viols

Entre son PV d’audition et sa plainte, Adji Sarr a du mal à présenter une seule version des faits ; elle prétend pourtant avoir rédigé seule sa plainte rappelez-vous :
1°) Version A – Dans son PV d’audition, Adji Sarr déclare que lors du premier viol que : « Pour me violer, Sonko m’a menacé de me faire licencier…» ; donc chantage.
2°) Version B – Dans sa plainte cette fois-ci, Adji Sarr dit plutôt que pour la violer Ousmane Sonko l’a « étranglé et contrainte d’avoir des rapports sexuels avec lui » ;
3°) Version C – Dans la plainte aussi Adji Sarr dit qu’Ousmane Sonko vient toujours avec 2 armes et c’est avec ces armes qu’il l’a menacé pour avoir des rapports sexuels non consentis avec elle ;
NB : Mensonge : lors de son AUDITION Adji Sarr décrivant les circonstances des ‘‘viols’’ ne parle ni de menaces de mort, ni d’armes, ni de strangulation, mais SEULEMENT de chantage au licenciement. En présentant alors les faits différemment dans sa PLAINTE, nous avons preuve qu’elle n’a pas écrit la plainte et qu’elle a oublié le scenario inscrit dans la plainte.

IV- Sur sa prétendue grossesse et l’introuvable plainte de son père contre Sonko


1°) Pour quitter son logement dans le domicile de sa patronne Adji sarr a prétendu être en état de grossesse, avoir été engrossée par Ousmane Sonko et que son père avait porté plainte contre Sonko
2°) Tout est faux ici :
-Elle n’a jamais été en état de grossesse, sinon le gynécologue, Alfousseyni Gaye l’aurait constaté dans son bilan.
-Son père n’a jamais porté plainte contre Sonko
NB : ce mensonge (grossesse) elle l’a produit juste pour pouvoir quitter le domicile de Ndeye Khady Ndiaye qui la logeait.

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