Les voyagistes très en colère ont déploré qu’aucun ordre du jour ne leur a été soumis avant la rencontre et que le commissaire au pèlerinage ait proposé lors de la rencontre de faire l’évaluation du pèlerinage de 2019 et dresser les perspectives pour l’édition de 2020.
« Nous sommes venus répondre à cette convocation par courtoisie. Mais on peut ne pas admettre qu’on nous demande de faire l’évaluation du pèlerinage de 2019 et de dresser les perspectives pour 2020, alors qu’aucun ordre du jour ne nous a été communiqué. Nous n’étions pas préparés. Et puis, il y a des points sur l’édition de 2018 dont on doit discuter. On doit également discuter sur le cahier des charges qui est nul et non avenu. Nous allons tenir une assemblée générale lundi prochain pour discuter de tout ça et arrêter une position », a martelé le porte-parole des voyagistes privés sur la RFM.
Qui poursuit, « ce gars est un dictateur, il a menacé les gens, disant que celui qui quitte la salle n’aura pas de quotas l’année prochaine, comme si les quotas lui appartiennent. Il ne sait même pas qu’il accomplit une mission de service public ».