Dans ce pays d’Afrique, les femmes « dépucelées » sont obligées de faire un tour chez le chirurgien… La raison est à la fois foudroyante et alarmante !!!

La Tunisie accorde une importance capitale à la virginité.

 La population surveille les jeunes filles comme du lait sur le feu.  Aucune erreur n’est pardonnée ni tolérée de la part des Tunisiennes.  Les femmes vivent d’énormes contraintes  ! A l’exception des autres pays d’Afrique, les futurs maris sont très regardants sur la virginité de leur fiancée.

 Dans ce monde assez strict, les femmes « dépucelées » sont contraintes de faire un tour chez le chirurgien pour des petites réparations.  Une pratique qui fait les choux gras de la presse locale et qui prend une proportion démesurée…

BBC a fait une large enquête sur le fléau et a crevé l’abcès ! La virginité occupe une place de choix dans la société tunisienne et c’est l’une des conditions sine qua non pour les femmes qui désirent entrer dans les rangs du mariage.  Dans cette localité, les belles familles ne blaguent pas sur la chose ! Elles exigent d’ailleurs des certificats de virginité avant toute célébration nuptiale ! Une tradition qui ne connaît pas d’évolution…

La réalité en est que, les femmes qui ont perdu leur virginité avant le mariage perdent toutes chances de trouver un mari.

 Elles se doivent d’être parfaites à ce niveau pour le bonheur de l’époux qui seul à le droit de goûter en premier à leur sauce* !

Face à cette dure réalité, les femmes qui ont déjà connu le goût de l’intimité ont trouvé un stratagème bien rodé pour sauver leur peau.  Ces dernières choisissent de voir le chirurgien pour une opération toute particulière.  Le but, se faire reconstituer l’hymen, cette peau fine à l’entrée du vagin qui se rompt lors du premier rapport sexuel.

 Maama ! Un marché juteux qui nourrit bien les chirurgiens qui le pratiquent !

En général, l’opération ne dure qu’une demi-heure, mais il faut bien sûr débourser une petite fortune pour « retrouver sa virginité ».  Une étudiante en littérature de 28 ans qui se marie dans les prochains jours témoigne qu’elle a payé jusqu’à 900 dinars pour cette chirurgie soit un peu plus de 218 000 Francs CFA !

Effectivement, un docteur gynécologue révèle sous le coup de l’anonymat qu’il pratique des reconstructions d’hymen une à deux fois par semaine avec un pic avant la saison des mariages.  A en croire son témoignage, ses patientes viennent par peur des traditions.

Alors vos impressions face à ce phénomène grandissant ?

Source : jewanda

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