La situation s’enflamme au PDS et les vieilles habitudes des libéraux refont surface. Du temps de Diouf, on assimilait le pDS à toutes les formes de violences. Bagarres, insurrection, explosion de véhicule et…assassinat. Aujourd’hui toutes ces méthodes ont laissé place é des langues hyper venimeuses. Si ce n’est Oumar Sarr qui lance des piques assassines à Karim Wade, c’est le même Oumar Sarr qui en reçoit mais des piques humiliantes et infamantes. Après sa sortie sur RFI accusant Karim Wade d’avoir berné le PDS, Oumar Sarr voit son passé ressurgir. Le PDS exhibe l’affaire d’une…sextape…
OUMAR SARR OU L’HIRONDELLE ERRANTE QUI VEUT FAIRE LE PRINTEMPS DU SUQQALISME AU PDS
« L’ambition dont on a pas le talent est un crime » disait ChâteauBriand
De son passé de Communiste Bad Gamme et sans avenir politique certain, le sieur Oumar Sarr, sans sa reconversion circonstanciée dans le libéralisme du Président Wade et de son soutien n’aurait jamais imaginé gagné la commune de Dagana à l’issue des municipales de 1996 qui l’ont vu couronné comme maire jusqu’à ce jour.
Certes, le Président Wade, l’avait nommé DG de la Sicap, Puis ministre plusieurs fois et ensuite secrétaire général adjoint et coordonnateur du parti, mais hélas les observateurs avertis et particulièrement les membres du PDS ont assisté en différé au scénario de l’histoire de la grenouille qui se veut faire aussi grosse que le Bœuf.
Sauf que des faits d’armes politiques de Oumar sarr, les sénégalais n’en ont retenu que la rocambolesque histoire du plus grand scandale Politico-Sexuelle de l’indépendances à nos jours, dans l’affaire dite Diomabass Diaw, son ex rival à Dagana où son chef de cabinet Abdou Rahmane Sarr, Ramdane Dia et Pape Djiby Gaye ont été condamné à 6 mois de prison et 10 millions d’amende Chacun.
Aucune réformette institutionnelle, ni empreintes qui ont porté son nom durant les 12 années du Pr Wade et dont les sénégalais s’en souviendront, à part le gouffre à milliards du Plan Jaxayy que pilotait son ex directeur de cabinet Aziz Diop et sa Sœur d’alliance, Aîda Diongue qui ont fait la prison pour ce carnage de nos finances injustifié.
Par ailleurs, cet homme oubli qu’il nous a laissé un tableau comptable sombre et peu reluisant de son septennat de gestion « PAKKOU LAMBAYYE » du Parti et sans pour autant en rendre compte à qui de droit et au premier chef le SGN, le Pr Wade.
Les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être beaucoup se laisse tromper par les apparences. Rares sont ceux qui ont l’intelligence de voir ce qui se cache derrière les masques disait le célèbre poète romain Phèdre.
Tout le monde savait que ce scénario était digne digne des studios de MACKYWOOD et était écrit d’avance lors des festins funèbres chez Mme Oumou Salamata Tall, avec Aïda Diongue et s’est poursuit dans un baptême où Macky a appelé sur une même ligne pour parler à tous les hauts responsables du même clan que celles citées précédemment en passant par « Sama Yaram Dafa Daw » devant la demeure du Président Wade pour baisser le rideau de cette scène bien concoctée.
Aujourd’hui, il est permis de rêver pour Mr Oumar sarr, aprés qu’ait été liquidé avec un cynisme tranquille, ce qui fut le dynamisme historique du PDS et compromettre le retour de son Candidat, Karim Wade, dont vous disiez, devant les caméras, l’avoir demander d’attendre votre signal pour débarquer au Sénégal, alors que nenni !
Il est maintenant évident et attesté que votre SUQQALISME de comptoir n’était pas étranger à ce Sabotage et à votre arnaque du siècle vis à vis du parti, de son SGN le Pr Wade et de son candidat, Karim Wade .
Maintenant, nous en sommes à l’ère de la « cinétique politique », avec le nouveau Secrétariat National imprimé par le frère SGN, le président Wade qui a compris comme l’attestait Peter Sloterdijk que : « Nos sociétés modernes ont développé une religion du mouvement perpétuel, qui n’épargne ni la politique, ni le savoir, ni les peuples »
Etant entendu que le SUQQALISME est devenu par la force du temps l’idéologie et le réceptacle des politiciens errants, sans lendemain à part chercher à entretenir « L’embourgeoisement « de quelques pelés, ayant goutés aux délices du pouvoir du Pr Wade, il est évident que l’errance, par définition, quelle que soit la figure spécifique qu’elle incarne, n’est jamais entièrement la norme : elle est ce qui tend vers la transgression.
Et pour faire une révolution interne, il faudrait plus d’intelligence et moins de transgressions car ceux qui l’ont tenté avant Oumar Sarr n’ont pas réalisé leur printemps Bleu au sein du PDS.
Dr Seck Mamadou
Cadre Libéral- Paris
Membre du Secrétariat National du PDS
Adjoint du SGN en charge des Relation Internationales