Selon Nafy Ngom Keïta, la validité scientifique des résultats de l’étude dépendra en outre du respect de l’indépendance du Cabinet et de la procédure mise en place pour un suivi efficace. « Ces exigences commandent la mise sur pied d’un comité scientifique de suivi pour veiller au respect des principes et règles qui garantissent la crédibilité des résultats », conseillera-t-elle.
Cette étude sur la perception et le coût de la corruption constitue aussi et surtout, dira Nafy Ngom, pour les autorités publiques un projet d’une grande valeur ajoutée, « dans la mesure où la réalisation du PSE et la mise en œuvre de l’acte 3 requièrent un encadrement strict de la collecte et de l’utilisation des ressources publiques. »