Se prononçant sur l’affaire Khalifa Sall, le député Moustapha Guirassy a reproché aux journalistes leur silence devant ce qu’il considère comme une violation de la Constitution. Selon l’ex-ministre de la Communication qui a assisté à la conférence de presse de l’opposition sur cette affaire, la presse, qui doit jouer son rôle de quatrième pouvoir, ne doit pas être neutre quand il s’agit de dire où se situe la vérité. « Depuis quelque temps, les mains et les plumes tremblent », regrette l’ancien maire de Kédougou.